Le Roi Fontaine De Justice

l’abondance mais aussi l’immensité de la ville. Insistance sur le gigantisme de la ville, très étendue et très élevée : « élevées jusqu’aux nues ». Utilisation de nombreux pluriels et du procédé de l’accumulation : « édifices », « marchés », « fontaines », « celles de liqueurs». La richesse matérielle : des matériaux précieux telles les « pierreries » sont cités, le « tissu de duvet de colibri » suggère l’idée d’une étoffe précieuse, la « gérofle », « la cannelle » sont des épices très coûteux

lecteur. Il présente un récit imagé qu’il faut interpréter, il met en scène des situations et des personnages symboliques, comme le pêcheur et l’homme, à travers lesquels le lecteur est amené à réfléchir sur sa propre condition. Comme nous le montre La Fontaine à travers ses fables telle « l’homme et la couleuvre ». Ce sont des personnages auxquels on peut s’identifier car même s’ils sont un peu caricaturaux, ils ont quelque chose de réel. Les faits sont en général très simples, intemporels et peuvent être

de simples voyageurs. Les usages vis-à-vis de roi sont également inversés : rapprochement inhabituel (« Candide et Cacambo sautèrent au coup de Sa Majesté, qui les reçut avec toute la grâce imaginable, et qui les pria poliment à souper » l.10) inversement réactions. Ce comportement fait apparaître Candide comme un héros comique. 2) Inversion des institutions Nous ne retrouvons aucun appareil répressif : « Candide demanda à voir la cour de justice, le Parlement ; on lui dit qu’il n’y en avait

Les animaux malades de la peste, Jean de La Fontaine Au XVIIe siècle, Jean de La Fontaine a repris le sous-genre de l’apologue inventé par Esope. Dans son recueil intitulé Fables paru en 1678, figure « Les animaux malades de la peste ». Nous verrons en quoi cette fable constitue un apologue, après avoir démontré, dans un premier temps, que le récit allégorique était plaisant et qu’il contenait un enseignement. De la même manière, nous nous intéresserons aux cibles du fabuliste, dans un second

| | |Car on doit souhaiter selon toute justice | | |Que le plus coupable périsse. | | |Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; | | |Vos scrupules

commode pour s'abriter de la sencure, c'est un masque transparent dans ce cas précis. La Fontaine mêle les deux mondes ( humains / animal ) la femme du lion : antre v13 rugir v 16 ongles v36 (mis pour griffes) -> la mise à mort à une connotation sauvage des sentiments humains allusions à l'étiquette au protocole, les animaux sont stéréotypés. [pic] les interventions du narrateur dans le récit La Fontaine se permet d'interrompre le récit pour une longue paranthèse qui est une digression il ne

Les Animaux malades de la peste est la première fable du livre VII de La Fontaine situé dans le deuxième recueil des Fables de La Fontaine. On a une critique envers le système de justice de l'époque; la morale à la fin "Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir." Nous laisse penser à cette critique, c'est à dire, la "grandeur" du crime ou de la faute que le Lion (roi) et les autres dépredadeurs (courtisans) on commit n'a pas de réelle importance

"Du temps d'Ésope la fable était contée simplement; la moralité séparée, et toujours ensuite", écrit La Fontaine dans sa préface du premier recueil. Il remarque que déjà Phèdre « ne s'est pas assujetti à cet ordre ». Lui encore moins. On note une grande variété dans les rapports entre la « moralité » et le récit : pas de morale du tout (VIII, 2 ou XI, 8), morale en tête (VII, 2), morale à la fois en tête et à la fin (VIII, 17 ou VIII, 1), morale répartie en divers points du corps même de la fable

- Corpus de textes : fables de La Fontaine "Le Loup et l'Agneau" fut publié en 1668. Dans cette fable, le loup désigne la royauté. Il s'adresse à l'agneau à la 2ème personne du singulier "Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?" ( vers 7 ). Cela montre que le loup manque de respect envers l'agneau. L'agneau apparaît comme un sujet du roi. Il s'adresse au loup à la 3ème personne du singulier, ce qui marque le respect : "Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté ne se mette pas en colère

de La Fontaine (8 juillet 1621 à Château-Thierry, 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. I) Une fable habilement menée : a. Un Préambule qui rappelle les récits mythologiques tragiques : • Evoque tragédie d"Œdipe roi" (Sophocle)