Le Roi Fontaine De Justice

capitale. Structure du passage : l.1-7 : « Arrivée devant le portail » l.8-14 : « Accueil » l.15-23 : « Salutations du roi » l.24-37 : « Visite de la ville » Cet œuvre un est conte philosophique. Un conte car : * On parle de château * Pays magique -> Eldorado : * Les moutons volent * Un portail magnifique et gigantesque * Fontaines de liqueurs * Tout est magnifique, précieux * Pas de parlement, de prison et tout va bien Tous ces éléments

construction humaine , et insiste sur l’aspect protégé , défendu , infranchissable . -égalité homme/femme «  les grands officiers , les grandes officières » -organisation de la ville avec une importance de l’esthetique enumération «  les marchés , les fontaines , les edifices » champ lexical des sens : la vue , le goût , l’odorat permet de créer un lieu acceuillant . b)Un monde rêvé : merveilleux et exagération -des hyperboles chiffrées : "portail [...]de deux cent vingt pieds de haut et de cent de

La symbolique de la nature chez Lafontaine I)Des animaux types 1) Une société typisée Société = animaux type : -Lion représente le roi (« Les animaux malades de la peste », « La cour du lion » …) -Personnages comme renard, singe, ours, chat, etc… représente courtisans (« Le lion le loup et le renard » (VIII, 3) « le chat et le renard » (IX, 14) -Personnages comme l’âne, le lapin, le rat, etc … représente le peuple naïf et victime (« Les animaux malades de la peste » (VII, 1) « Le chat

La Fontaine, « Les Obsèques de la Lionne » 1. Un schéma classique Ce schéma est le suivant : – un récit aux étapes bien marquées, suivi d’une morale ; – les 16 premiers vers plantent avec vivacité le décor (octosyllabes, sauf vers 44 et 8, succession de passés simples, nombreux enjambements) : la mort de la lionne, l’annonce des obsèques, le chagrin de commande de la cour ; – le vers 17 interrompt le récit à la faveur d’un « je » qui marque l’intervention du fabuliste. Celui-ci

Chapitre 2 : La justice. C’est le cœur de la fonction royale. Les théoriciens se rapportent à Aristote, saint Thomas d’Acquint. Le prince n’est légitime que dans la mesure où il assure à ses sujets un bon gouvernement, c'est à dire la paix et l’ordre. Le prince doit donc faire preuve de qualité, de vertu notamment la sagesse. Or la paix ne sera observée que si chacun est traité avec justice. C’est parce que les théoriciens politiques traditionnelles à la vision du prince aristotélicienne que la

’apologue Texte A : Anonyme, Le Prud’homme qui sauva son compère, XIIIe siècle. Texte B : Jean de la Fontaine, Fables, I, 21, « Les frelons et les mouches à miel », 1668. Texte C : Voltaire, Zadig, chapitre 6, 1747. Texte A : Anonyme, Le Prud’homme1 qui sauva son compère, XIIIe siècle. Traduction en prose de G. Rouger. Un jour un pêcheur s’en allait en mer pour tendre ses filets. Regardant devant lui il vit un homme près de se noyer. Il était vaillant et agile

Les animaux malades de la peste Jean de La Fontaine 1ère partie, v. 1-14 : la peinture de la peste. Cette première partie décrit la peste, fléau moins fréquent au XVIIème siècle, mais qui avait laissé de terribles souvenirs. Allusions aussi à l'Achéron (fleuve des enfers ; il fallait payer son passage, d'où la richesse !). On voit ici se mettre en place la symbolique animale : opposition entre les prédateurs (Loups, renards) et les proies (innocentes !), entre animaux belliqueux et pacifiques

Jean de la Fontaine I/ La biographie de la Fontaine. 1) 2) ------------------------------------------------------------------------------------------------------------> 3) Jean de la fontaine est le fils de Charles, conseiller du roi et maître des eaux et forêts du duché du chateau-thierry. Les origines sociales de La Fontaine sont donc assez aisées. Ses principaux mécènes sont Nicolas Fouquet (surintendant des finances de Louis XIV), Madame de la Sablière, la duchesse d'Orléans

parlent à l’imaginaire des petits. Tout cet univers permet donc à l’enfant de s’évader, tout en le rassurant par la présence de caractéristiques, propres à l’être humain. De plus, pour captiver l’enfant et éviter sa lassitude, les histoires de La Fontaine sont assez courtes, avec un nombre restreint de personnages et la présence récurrente d’un dominant et d’un dominé, facilite la compréhension enfantine. On peut prendre l’exemple du loup qui, dans la plupart des fables, apparaît comme le bourreau

moins fréquent au XVIIème siècle, mais qui avait laissé de terribles souvenirs ; ajoutons une dimension intertextuelle : peintures de la peste dans Œdipe-Roi de Sophocle (IVème siècle av. J-C), chez Thucydide (même époque) ou encore chez le poète latin Lucrèce (Ier siècle avant J-C). C'est surtout le mythe d'Œdipe qui nous intéresse ici : le Roi évoque naturellement le début de la tragédie de Sophocle. Allusions aussi à l'Achéron (fleuve des enfers ; il fallait payer son passage, d'où la richesse