Le Roman Le Parfum Süskind

contexte olfactif. La peste a été conçue comme une odeur, ce qui commande à la fois la vision de son mode d'expansion et le choix de la thérapie par parfums. Ce qu'on appelle « aromathérapie » comme moyen de lutte contre la maladie. L'étude du traitement de la peste, illustre une démarche intellectuelle et praticienne. Aux odeurs mortelles on oppose des parfums vitaux, d'où le masque protecteur avec son bec rempli d'aromates. DANIEL DEFOE - Journal de l'année de la peste. { A chaque fléau de l'Histoire

de Satan – Bernanos 23. Premier amour – Tourgueniev 24. Une vie – Maupassant 25. Le bruit et la fureur – Faulkner 26. Jane Eyre – Brontë (Charlotte) 27. Le dahlia noir – Ellroy 28. Notre dame de Paris – Hugo 29. Si c’est un homme – Levi 30. Le parfum – Süskind 31. Les vestiges du jour – Ishiguro 32. American Psycho – Easton Ellis 33. Les hauts de Hurlevent – Brontë (Emily) 34. Raison et sentiments – Austen 35. Gatsby le magnifique – Fitzgerald 36. La ferme africaine – Blixen 37. Grandeur et décadence

plusieurs personnes. Et, ces projections permettent de découvrir des auteurs et des films tirer de livre comme « La peau de Chagrin » de Honoré de Balzac, long-métrage tiré d'une nouvelle de celui-ci ou encore « Le parfum » de Patrick Süskind réalisé par Tom Tykwer. Les films tiré de roman, nous permettent de ne pas trop nous investir dans un concentration comme en lecture et parfois même de mieux comprendre les livres lus. Mais ce genre film grand écran ne nous aide pas à développer notre imagination

personnage, point de roman » (Anthony Burgess). « Un roman, c’est un miroir que l’on promène le long d’un chemin » (Stendhal). Certes, il y a une différence entre personnage et personne : l’un renvoie à la création littéraire, l’autre au réel. Mais quand le lecteur est plongé dans un roman, il arrive souvent que, pour lui, les personnages deviennent personnes et reflètent, comme un vrai miroir, l’image de la société dans laquelle il vit. • La seule fonction du personnage de roman est-elle, dès lors

personnage, point de roman » (Anthony Burgess). « Un roman, c’est un miroir que l’on promène le long d’un chemin » (Stendhal). Certes, il y a une différence entre personnage et personne : l’un renvoie à la création littéraire, l’autre au réel. Mais quand le lecteur est plongé dans un roman, il arrive souvent que, pour lui, les personnages deviennent personnes et reflètent, comme un vrai miroir, l’image de la société dans laquelle il vit. • La seule fonction du personnage de roman est-elle, dès lors

la menace du miasme. Il s’agit donc de détecter les comportements et « délires olfactifs » qui apparaissent en même temps que des théories incertaines, à une époque où les savants pensaient que l’aération nous débarrassait des miasmes et que le parfum était synonyme de propreté. Une telle étude nécessite donc une étude attentive des pratiques quotidiennes et des systèmes de valeurs grâce à des témoignages rejetés jusqu’aujourd’hui afin de comprendre les relations qu’entretiennent les hommes avec

Humanisme  RABELAIS F., Gargantua et Pantagruel (chez Casterman, il existe une traduction abrégée en français contemporain de Guy Demerson).  SINOUE G., L’Enfant de Bruges. Roman qui nous plonge dans le siècle humaniste à Bruges et à Florence. Livre volumineux qui peut rebuter certains élèves.  SINOUE G., Le Livre de saphir. Roman passionnant qui tient le lecteur en haleine et entretient savamment le suspens. Quelques réserves cependant : le livre est volumineux (plus de 500 pages), ce qui peut décourager

et propre à chaque individue. L’éternel retour vers l’origine qui doit nécessairement s’imbriquer à l’expérience du plaisir originel n’est pas sans rappeler la trajectoire meurtrière et funeste de Grenouille, héros maléfique du roman de P. Süskind (1985) : Le parfum. La souillure de ses origines mène Grenouille à commettre toute une série de crimes d’une rare barbarie dans la logique de s’approprier une odeur dont il a été cruellement dépourvu. Grenouille se servira de la peau des corps de

Bioy Casares et Julio Cortázar, le Bolivien Jaime Sáenz, ou encore le Colombien Gabriel García Márquez, prix Nobel de littérature en 1982, dont le roman Cent ans de solitude publié en 1967, est souvent cité comme exemplaire. L’origine de ce terme et sa portée sont pourtant beaucoup plus généraux car il a été utilisé pour qualifier une grande variété de romans, de poèmes, de peintures ou de films ainsi que pour définir différents styles, esthétiques, genres, courants, mouvements et écoles, tant en Europe

séduisants tout simplement, malgré eux. Certains même sont devenus des archétypes, comme Valmont, héros des Liaisons dangereuses, et bon nombre de titres de romans arborent leur nom suggestif, tels Lovelace de Richardson, Bel Ami de Maupassant ou Nana de Zola, comme un appel irrésistible à la lecture ! Faut-il pour autant affirmer qu'un personnage de roman doit être séduisant pour susciter l'intérêt du lecteur ? Nous étudierons tout d'abord en quoi les personnages séduisants possèdent tous les atouts pour