Le Référendum En France Véritable Outil De Démocratie Directe

La désobéissance civile Sommaire : Introduction En France : Mai 68 Dans le monde : Gandhi Martin Luther King En France : Les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) Les enfants de Don Quichotte Dans le monde : Greenpeace L’euthanasie Les principes de ceux qui désobéissent Justifications de la loi Bibliographie Introduction « Il est plus désirable de cultiver le respect

institution ? 1) Les institutions politiques - recouvre des entités collectives (Gouvernement, Parlement, partis...) - des coutumes - des traditions - des règles ( « l'institution du référendum » ou de « l'institution présidentielle »). - utilisé par toutes les sciences sociales le concept d' « institution » : perte de compréhension mais extensions 1. selon R. Lourau (1970) « polysémique, équivoque, problématique

villes françaises sont multiformes : de contributions dans la littérature scientifique en management public à la propagation de la croyance, dans la plupart des composantes du maillage institutionnel local français, d’une nécessité impérieuse de démocratie locale renouvelée intégrant plus notablement le citoyen « de base », en passant par une déclinaison quasi publicitaire du cas « mythique » de Porto Alegre dans bon nombre de médias. Doit-on pour autant postuler l’adéquation entre une fin, le gouvernement

route, et avant Jules Ferry qui parachèvera ce qu'il a commencé». Dans ce discours il met en avant deux termes que l’on considère aujourd’hui comme indissociables. C’est d’ailleurs ce qu’il dit également: «  Parce qu’on ne comprend pas la démocratie, parce qu’on ne comprend pas la République sans le suffrage universel : ce sont deux termes indivisiblement liés l’un à l’autre, et livrer le suffrage universel, c’est livrer la République ». Le suffrage universel, c’est celui qui est instauré

géographiques unique, en l’occurrence la capitale d’un pays. Elle accorde une place prépondérante à ce que l’on appelle l’administration centrale. Pour citer le cas de la France, à partir de la révolution de 1789, on la présente comme un modèle étatique centralisé qu’en bien même ce modèle l’a précédé. En effet, l’histoire de la France, dès la monarchie, est celle de la centralisation du pouvoir entre les mains d’un monarque. La formule qui est citée est celle de Louis XIV «  L’Etat c’est moi ». A partir

vivre de telles manières aux regards d’autres critères. La démarche du politiste est une démarche en trois obligations : • Détacher le regard clinique, l’observation des faits, des choses de toutes valeurs morales. • Utiliser des méthodes, des outils éprouvés (données, observations, savoir faire un entretien, comment faire un sondage …) • Il faut que le politiste ait comme ambition de proposer un cadre conceptuel (des concepts, des thèmes, définir des lois générales, ce qu’est le pouvoir, l’Etat

générale : • • • • • • • • • • • • • Eric Agrikoliansky, Les partis politiques en France au XXème siècle, Paris, Armand Colin, Coll. Synthèse Histoire, 2000. Emmanuel Aubin, Jean-Philippe Lecomte, Introduction à la vie politique et éléments de sociologie politique, Paris, Gualino, 2004. Philippe Braud, La vie politique, Paris, PUF, collection « Que sais-je ? », 1989. Dominique Chagnollaud (dir.), La vie politique en France, Paris, Seuil, 1993. Jacques Chapsal, La vie politique sous la Vème République

le problème Algérien. Le 3 juin 1958, une loi constitutionnelle est votée dont le respect de la procédure de révision dans l’art 90 de la constitution de 1946. Cet art 90 confiait le pouvoir de révision au parlement avec un recours éventuel au référendum si les majorités qualifiées n’étaient pas obtenues. L’objet de la loi du 3 juin est de déroger à cet art 90 et de transférer l’exercice du pouvoir de réviser la constitution au gouvernement du général De Gaulle. Le parlement abandonne son pouvoir

sa condition sociale et de son appartenance ethnique et religieuse. Si la notion de « droits de l’Homme » est apparue au Moyen-âge, elle est véritablement conceptualisée par les philosophes du siècle des Lumières qui ont jeté les fondements de la démocratie moderne autour des valeurs qui sont celles de liberté, égalité et fraternité. La notion moderne des « droits de l’Homme » est indissociable des révolutions, américaine puis française. Au lendemain de la Révolution française, la Déclaration des Droits

la Ve République française Université Paris 1 Panthéon –– Sorbonne Année universitaire 2004/2005 –– Juillet 2005 Remerciements Que ceux-ci aillent à toutes les personnes que j’’ai pu rencontrer dans le cadre de mon étude en Roumanie et en France. Je remercie en particulier le professeur M. Didier Maus, mon directeur de mémoire, de m’’avoir donné l’’opportunité de cet intéressant travail de recherche. Merci à Mme le professeur Genoveva Vrabie, Recteur de l’’Université Mihai Kogalniceanu de