Le Référendum Est Il Un Progrès Démocratique

RÉFÉRENDUM EN ROUMANIE 29 juillet 2012 Observatoire des Élections en Europe Corinne Deloy L’avenir de la Roumanie au cœur du référendum sur la destitution du président de la République Traian Basescu Le 6 juillet dernier, le Parlement roumain, composé du Sénat (143 membres) et de la Chambre des députés (Camera deputatilor) (346 députés), a approuvé, par 256 voix contre 114, la demande de destitution du président de la République Traian Basescu présentée par l’Union sociale libérale (USL)

Ve rèp a une nature et un caractère I. La nature démocratique et républicaine du régime Pas de coïncidence absolu entre les 2 termes. Il a pu exister des républiques qui n’étaient pas démocratique et il y avait des républiques aristocratiques. On peut penser aux régimes français de 1804 (senatus consultes du 18 mai 1804). Pose le principe que « le gouvernement de la République est confié à un empereur ». Il y a eu des démocratiques pas nécessairement républicaines. Ex : monarchie constitutionnelle

populaire grâce aux référendums (Sept 1958, 1961 pour l’Algérie, 1962, 1962 pour l’élection au SUD). 1961 : soutien de 75% des français, 1962 : soutien de 91% des français, octobre 1962 : soutien de 61% des français. C’est celle du présidentialisme unanimiste, où le chef dirigeant le Rassemblement du Peuple Français (RPF) récuse le clivage droite et gauche, il veut les rassembler au-delà du clivage gauche droite. L’immense majorité du peuple uni le soutient (cf. les résultats référendum). Ceci repose

concepts démocratiques que sont la démocratie des droits, la démocratie d’opinion ou la démocratie de participation. Ces nouvelles formes de démocratie qui concurrencent la démocratie représentative ne seraient pas des simplement des développements postmodernes de celle-ci mais bien les principales illustrations de sa fragilité. En effet, selon l’auteur, elles occupent une place grandissante dans notre société sans forcément répondre aux exigences de légitimité et d’effectivité démocratique. Il analyse

un parti socialiste algérien fondée en 1954 pour acquérir de la France son indépendance. Dans un premier temps nous étudierons « L’accession à l’indépendance de l’Algérie », dans un deuxième temps « Ses difficultés à mettre en place un régime démocratique » et pour finir « L’évolution de ses chois en matière de développement ». 1.L’accession à l’indépendance de l’Algérie A. A partir de 1954 des actes de violence font leur apparition. Tout d’abord il faut ce situer dans le contexte

les fêtes laïques de la république. Le CLNAI, Comitato di liberazione nazionale dell’Alta Italia. Ce comité s’était formé après le 8 sep 43 et été constitué par les différents partis antifascistes italiens comme la DC Democrazia Cristiana, son progrès s’inscrit dans le capitalisme s’inspire de l’Allemagne, le Partito Comunista italiano, et le Partito d’Azione. Ces partis opéraient surtout dans le nord de l’Italie et étaient chargés d’action de sabotage pour retarder ou empêcher l’envoie de troupes

professionnelles. Le système politique marocain est fondé sur le multipartisme. Les principaux partis sont l’Istiqlal (indépendance), parti nationaliste fondé en 1944, l’Union socialiste des forces de progrès (USFP), l’Organisation d’action démocratique et populaire (OADP), le Mouvement populaire constitutionnel démocratique (MPCD), parti conservateur fondé en 1959, le Rassemblement national des indépendants, parti pro monarchique fondé en 1978 et l’Union constitutionnelle, fondée en 1983. Administrativement

peut-on dire que la révolte en Tunisie a provoqué un mouvement en chaîne? Quelle est la part de la dynamique interne dans le déclenchement des révoltes en Tunisie et en Égypte? Pensez-vous que ces révoltes constituent le début des transitions démocratiques dans ces pays (Tunisie et Égypte)? Justifiez votre réponse? Introduction: Depuis le début de l’année, des secousses sans précédent ébranlent le monde arabe. Après les chutes des dirigeants tunisiens et égyptiens, de nombreux régimes sont

charge de l’intérêt national indépendamment des partis, ceux-ci assurent bien la conduite de la politique nationale par l’intermédiaire de leurs représentants au gouvernement et dans la majorité parlementaire. Ils légitiment et stabilisent le régime démocratique , en le faisant fonctionner. Animateurs du débat politique, ils contribuent aussi à structurer l’opinion publique. De plus, avec la tendance à la professionnalisation de la vie politique, les partis ont acquis un rôle de sélection des responsables

Ceci montre un changement dans les conceptions collectives, puisqu’on associe ici la démocratie à la dictature. La grandeur et la fragilité de la démocratie sont encore mises en cause dans cette affirmation de W.Churchill : «  le gouvernement démocratique est le pire des systèmes à l'exclusion de tous les autres. Nous tenterons de poser les termes et les enjeux de ce débat. I Les caractéristiques de la démocratie: Le principe de souveraineté, cœur de la démocratie Le gouvernement est