Le Rôle De La Double énonciation Au Théâtre

retenaient pas devant les valets aux niveaux des ordres et du langage. Les valets prennent la place des maitres et inversement. Seul le père de Silvia et son frère sont au courant de la mascarade de Dorante en plus de celle de Silvia. Cette pièce de théâtre est une comédie. Elle est néanmoins cruelle pour les valets. On peut trouver différents thèmes mais on n’en choisira que deux parce qu'ils sont les plus intéressants pour montrer cela. On parlera d'abord de la façon dont les personnages se comportent

| |Théâtre : |traces des actants sont à relever : pronoms,| | |1. Relation actantielle. |forme passive, pronominale, impersonnelle, | | |2. Situation de communication (monologue, |factitive etc. | | |double énonciation...) |

V F Les œuvres humanistes privilégient le mouvement et la profusion. V F Le terme baroque tire son origine de la joaillerie. V F Les Lumières recommandent l’imitation des Anciens. V F 2) La règle des trois unités codifie : - le théâtre - la poésie - le roman 3) Le mot humanitas désigne : - l’humanité - la bonté - la formation intellectuelle de l’homme 4) La tragédie est le genre privilégié du : - XVI° - XVII° - XVIII° 5) L’humanisme s’oppose : - au Moyen Age

Commentaire de français :Introduction : La farce de maître Pathelin est une pièce de théâtre élaboré anonymement à la fin du Moyen-Age, au XVème siècle. Il intègre le genre médiéval. Cette pièce relève du comique et retrace l’histoire d’un avocat au bord de la ruine prénommé Pierre Pathelin. En faisant preuve de ruse pour obtenir des vêtements neufs sans rien débourser, Pierre Pathelin dupe le drapier Guillaume. Notre extrait se situe justement quand le drapier vient réclamer son dû :

Le théâtre est né au 5ème siècle avant J.C. en Grèce dans l’Antiquité à l’occasion des fêtes Dionysiaques, en l’honneur du dieu Dionysos. Le théâtre a donc 25 siècles d’existence. Or, pendant les 21 premiers siècles, il se déroulait en plein air et était gratuit. Le théâtre était donc un service public de divertissement. Le théâtre est-il un simple moyen de se divertir ou a-t-il un but plus utilitaire ? Il est incontestable que le théâtre a pour but de permettre aux spectateurs de se distraire. Toutefois

référence aux textes du corpus, aux œuvres étudiées en classe et à celles que vous avez vues ou lues. Lors de la représentation d’une pièce de théâtre, les comptes rendus et les photographies abondent, les analyses critiques de mises en scène foisonnent … On en oublierait presque le public. Or, qu’est-ce qu’une pièce de théâtre sans spectateur ? Sans lui, elle n’aurait plus de sens, rappelant ainsi les propos de Maurice Descotes dans Histoire de la critique dramatique en France : « Tous

la figure de la fiancée. MAIS sa relation avec la société est un échec : 2nde réplique qui marque la solitude du héros. Dialogue avec le spectateur Dialogue avec Philippe qui apparait comme une confidence au spectateur grâce au jeu de la double énonciation. Il plonge dans son passé et le met en scène. Exposant ainsi sa souffrance, il l’exorcise. Il se confesse à nous, témoins privilégiés pour lesquels il met son coeur à nu : sa souffrance se libère grâce au dialogue : exprimer son sentiment d’échec

scènes d'expositions commencent très souvent par un dialogue : Mariveau (XVII°) Les Fourberies de Scapin (XX°) Phèdre (Racine) (XVII°) dans ces deux personnages, il y en a un qui détient les informations et qui les donne à l'autre (Double énonciation, donner des informations au public) Sganarelle fait son portrait en faisant celui de Dom Juan, peut être même qu'il s'identifie à Dom Juan. En quoi cette scène d'exposition nous fait le portrait de quatre personnages? Portrait de Dom

Mimésis (Aristote), illusion de réel (réalisme) mais une pure construction. Le théâtre : intensifie le pb. Double énonciation qui caractérise le théâtre. Forme dialoguée qui fait croire à du vrai. En fait, du faux, et de l'organisation. Cf. le passage de la nouvelle à la pièce. Fragmentation et binarité: visée argumentative. b) Comique: une tradition littéraire comique. c) Le tragique. Le genre noble au théâtre (cf. Aristote, La Poétique). Age d'or de la tragédie en France: le 17e s. classique

et d'être l'objet d'une conquête amoureuse ("poursuivez mon cœur") répond à la seconde de nos attentes, d'autant que les maîtres resteront muets : évincés du jeu, ils assisteront impuissants au dialogue de leurs esclaves. Cette situation révèle une double intention : il s'agit de marquer leur déchéance par la privation de la parole, qui a été jusque là signe de leur pouvoir ; leur éviction du champ "à dix pas" fait aussi d'eux des spectateurs et accentue le caractère théâtral de l'entretien qu'auront