Le Sens commun

possession universelle de la raison (c'est-à-dire commune à tous les hommes) de l'usage singulier que chaque homme peut en faire, on peut se demander s’il suffit d’être doué de raison pour atteindre la vérité. * Tous les hommes sont pourvus de raison ou du moins, au début du texte, « le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ». Mais quelle forme prend ce partage ? S’agit-il d’une simple égalité ou s’agit-il d’une distribution équitable du bon sens à chacun selon sa nature ou ses besoins ?

inadéquats (selon Test-achat). Q : Quels sont les principaux facteurs à l’origine des difficultés ? Q : Que mettre en place pour essayer de réduire ces difficultés ? La réponse de Walibi Belgium : Une formation articulée autour de 4 principes : bon sens, bonne humeur, bonne volonté, bonne foi. Très grande satisfaction des participants à la sortie et impact sur le management de proximité, mais aucun impact sur la satisfaction, l’implication, l’adhésion à la culture ou l’intention de rester à plus long

d’elles-mêmes”, n’est-ce pas la pensée qui se tourmente en cherchant sans cesse de nouvelles raisons de haïr ou de jalouser ? Si l’on s’interdisait de juger, ce qui est un autre remède, le corps retomberait de lui-même au repos. 2. Juste remarque, à mon sens, que de constater que si certaines passions ne s’éteignent pas d’elles-mêmes, c’est qu’elles sont alimentées moins par les forces d’inertie du corps que par la pensée qui continue à se tourmenter. Sans doute que si l’on (mais que serait alors le on

l'éducation, est ce la transmission des savoirs d'une personne à une autre? Dans ces cas là, elle est influencée par la culture de chaque individu et implique la vie en société. On dissocie souvent la culture de l'éducation, mais elles ont aussi un sens commun : le travail fait sur quelque chose ou quelqu'un pour le rendre meilleur. L'éducation est-il réellement le seul élément permettant d'acquérir les notions essentielles à notre vie ou y a-t-il d'autres facteurs qui influent notre développement? Bien

s'emprisonne ! Alors qu'être soi devrait être synonyme de liberté, car on est libre d'être qui on est. On ne peut pas plaire à tout le monde. Tout le monde a une vision personnelle du monde et de ceux qui l'entourent, et même avec beaucoup de bon sens et de réflexion certaines choses ou certaines personnes ne collent pas avec nos goûts ou notre sensibilité. Nous ne devons pas tout aimer, donc tous les autres ne sont pas obligés de nous apprécier ! Il ne faut pas chercher à plaire à tous, mais surtout

objectif d’avoir le bien commun? De nos jours, tous sujets portent à confusion, c’est pourquoi il existe beaucoup de controverse concernant la valeur de l’opinion, et plusieurs grands philosophes ont déjà tentés de dire ce qu’ils pensaient, sans jamais pouvoir avoir une certitude. Tout en réfléchissant sur la nature philosophique de cette question, nous cherchons toujours à savoir si toutes opinions se valent. Avec ce qui suit, je vais tout d’abord définir l’opinion dans son sens propre et analyser la

sites attractifs » et de « services de qualité » : elle est censée les aider à maximiser leur utilité en identifiant la meilleure offre de soin, d’éducation ou de politiques ministérielles, ce qui dans ce dernier cas confine à l’absurde. Mais le non-sens de ces palmarès, qui comparent des choses incomparables et s’adressent à des homo œconomicus, n’est pas soulevé : leur raison d’être s’impose avec la force de l’évidence, seuls les critères retenus sont parfois controversés. 1. Cet article reprend

généraux des scrutins I.1 I.2 Le théorème de Arrow . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Manipulabilité et vote stratégique . . . . . . . . . . . . . . . . . I.2.A I.2.B I.3 I.3.A I.3.B Le théorème de Gibbard-Satterthwaite . . . . . . . . . . . Le sens du vote pour l’électeur . . . . . . . . . . . . . . . Complétude et transitivité . . . . . . . . . . . . . . . . . Universalité ou domaine restreint ? . . . . . . . . . . . . . 4 5 9 10 17 17 19 22 22 24 29 29 31 31 37 41 42 44 46 48 48 49 Considérations

Richard Hoggart LA CULTURE DU PAUVRE Traduction Française, Editions de Minuit, 1970, 420 pages, coll. « Le Sens Commun ». Richard Hoggart est un intellectuel anglais issu des classes populaires. Dans son ouvrage, il utilise son expérience personnelle couplée à des enquêtes sociologiques pour reconstituer de manière relativement objective la culture populaire anglaise des années 20 aux années 50. Il tente, à travers son explication, de mettre en exergue les faiblesses et les richesses

semblent ne plus parvenir à s'enchaîner logiquement et le raisonnement peut devenir tout à fait confus et incompréhensible. Il peut être ralenti ou procéder par bonds en sautant des étapes, ou complètement "dérailler". Les relations logiques (du bon sens commun) disparaissent. Le malade peut avoir des idées fixes, des convictions fausses, éventuellement tout à fait aberrantes ou absurdes, auxquelles il s'accroche avec un entêtement inébranlable, même face à l'évidence, résistant à toute argumentation rationnelle