Le Sens commun

forme les individus qu’il requiert (je suis pas allé trop dans le détail, on va le faire auj ; j’avais mentionné que tout régime bénéficiait du fait que les citoyens étaient vertueux politiquement, cad savoir obéir et commander en vue de l’avantage commun), (2) un régime dispose de nombreux outils pour y parvenir (on avait évoqué, surtout en TD, malgré cette différence naturelle, qu’il y avait une marge de manœuvre) et (3) qu’un outil important (p.e. le plus important) était l’éducation, ce qui justifiait

toutes les actions et décisions qui concernent la vie de la cité, et s’occupe du bien commun ou de l’intérêt général. Il semble donc que le bonheur soit seulement une affaire privée qui relève du choix de chaque individu, dépend de son intérêt particulier et se mesure à ses sentiments personnels. Le pouvoir politique n’a donc pas à intervenir, puisqu’il assure seulement ce qui concerne le bien commun. Dans ce sens, l’État porterait même atteinte à la liberté des individus et les rendrait plutôt malheureux

du guerrier, tel Achille ou Hector, qui devient immortel en bravant la mort. Il est respecté et admiré par les hommes pour sa bravoure, sa capacité à combattre et à vaincre sa peur. L’exemple d’Uzbeen laisse penser que le héros traditionnel, au sens militaire et guerrier du terme, a disparu dans nos sociétés démocratiques au profit de deux nouvelles notions que sont la victimisation et la judiciarisation. Une victime est une personne à qui il arrive un malheur de manière injuste, ce qui provoque

différence est que l’association militaire est bien plus restreinte et ponctuelle que la communauté politique, qui suppose qu’on ai des valeurs et un mode de vie commun . Une communauté militaire est une alliance de moyen, on va mettre en commun des moyens mais chacun garde son identité culturelle , ce qui ne suffit pas à faire une communauté politique. - Passer des contrats

d’Aristophane, Thalès, etc.). Ainsi, notre démarche ne risque-t-elle pas de souffrir du fameux « paradoxe du Ménon » ? Comment peut-on parler de ce dont on ignore la nature ? Comment développer une quelconque réflexion sur la philosophie du moment que son sens nous file entre les doigts à l’image des statues de Dédale ? Le caractère polysémique de la philosophie ne rend-il donc pas vain tout effort de la circonscrire ? Pas forcément. Le caractère polysémique du concept de philosophie n’est pas un mal en

nuit des temps beaucoup de questions. La religion en est la preuve concrète. Peut – on croire à une autre vie après la mort ? Comment bien se comporter sans pécher ? Les philosophes, les ecrivains et intellectuels se sont toujours interrogés sur le sens de la vie. La vie biologiquement parlant n''est pas complexe pourtant elle l'est car nous nous interrogeons sur la notre quotidiennement, pour éviter les erreurs car nous avons envie d'avancer. L'homme doit vivre et non survivre. Il a la faculté de

Songer à des situations pouvant correspondre à la signification ou à l’usage du terme à définir ou à expliquer… 4-2 : Définir les termes en fournissant des explications • Rappeler le sens étymologique. • Rappeler le sens terminologique. 4-3 : Décrire la charge sémantique du terme, c’est-à-dire expliquer dans quel sens exactement le terme est utilisé. Cette démarche concerne aussi bien le terme central que les termes subsidiaires. Exemple : La notion de l’inconscient psychique est-elle contradictoire

institutionnel Le terme institution est ambigu car il est polycémique (il a plusieurs sens) et parce qu’il a plusieurs approche (sens commun ≠ sens scientifique, savant). L’approche ordinaire correspond par exemple au café du matin, à la « crise des institutions »,… On observe des enjeux théoriques important car il y a plusieurs façons de les concevoir. Mais ce concept désigne dans une acceptation commune, dans le sens commun, tout ce qui dans la société ou dans les pratiques d’une personne prend la forme

différents sens d’un mot (la polysémie) I-A.-Sens des mots C’est l’explication du sens d’un mot. On la trouve dans le dictionnaire mais on peut aussi la rencontrer dans un texte documentaire ou la déduire à partir du contexte du mot. Ex 1 : Du pain frais – Une eau fraiche – Un teint frais – Des nouvelles fraiches. Ex : 2 : Une terre pauvre – Une famille pauvre – une pauvre maison. a) Sens propre et sens figuré On appelle sens propre d’un mot son sens de base, et sens figuré le

(1990). « Un groupe est un ensemble social, identifiable et structuré, caractérisé par un nombre restreint d’individus et à l’intérieur duquel ceux-ci établissent des liens réciproques, jouent des rôles selon des normes de conduites et des valeurs communes, dans la poursuite de leurs objectifs » Comment passe-t-on du « Je » au « Nous » au sein d’un groupe restreint ? Présentation du plan : 4 Présentation du plan Introduction I) La constitution du groupe dans le temps - Selon Sartre : travaux, théorie