Le Serpent Qui Danse

de 204 par 298 centimètres. Ce grand tableau présente une jungle luxuriante dans lequel on observe une grandes diversités d’arbres, de plantes tropicales et d'animaux sauvages. Il est composé de forme plates qui se chevauchent comme un collage danse créant le sentiment d'un espace peu profond. La scène est sombre mais suffisamment éclairée pour remarquer l'abondance de faune et de flore sauvage. On entrevoit à travers les feuilles un ciel bleu pale le long de la bordure supérieur du tableau ainsi

la rencontre en 1842, ils auront alors une longue liaison , peu éduquée, qui jouait les figurantes dans un petit théâtre. Elle représente la femme fatale et animale. Elle lui inspire une série de poèmes: “parfum exotique”, “La Chevelure”, “Le Serpent qui danse”, ou “Le balcon” Madame Sabatier Le deuxième cycle de poèmes comprend les poèmes inspirés par Madame Apollonie Sabatier, qui incarne plus un amour spirituel (Baudelaire est d'abord amoureux d’elle avant de devenir son amant). Celle-ci tenait

cris que reprenaient les musiciens et certains spectateurs, tandis que les enfants étaient lancés de bras en bras comme des ballons. Soudain, la sarabande* cessa, les danseurs s'écartèrent, il ne resta plus, dans le cercle, que les deux chefs de danse, l'adulte et l'enfant. Le petit était tout souriant, agile, sautillant ; les muscles de l'aîné saillaient sous la peau noire, luisante de transpiration.L'un des danseurs s'approcha de lui et lui donna deux poignards. Il les saisit, les lança en l'air

(Car, j'ai, pour fasciner ces amants dociles, De purs miroirs qui rendent toutes choses plus belles Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles !) L'impassibilité et la distance de la beauté sont également abordées dans "Le Serpent qui danse". La femme comparée à un serpent, symbole du mal, possède "des yeux, où rien ne se révèle De doux ni d'amer" et qui "Sont deux bijoux froids où se mêle L'or avec le fer.". Pourtant, elle inspire toujours une attirance physique au poète comme dans "Les bijoux"

Espagne................................................................................ 3 2- Qi xi, Fêtes des amoureux ou Saint Valentin en Chine - 七夕 .................................................... 4 3- Nag Panchami, la veneration des serpents au Népal - नाग पंचमी .................................................... 5 4- Festival de Gion Matsuri au Japon - 祇園祭 .............................................................................. 6 5- Rath Yatra en Inde - ରଥଯାତ୍ରା

relevé. Un grand manteau de pourpre dont elle s'enveloppe cache les ulcères de ses jambes, et elle baisse le menton pour regarder dans sa poitrine un serpent qui la ronge. On entend des sifflements, des aboiements, des cymbales qui sonnent, des clochettes qui tintent, et les Hérésies s'avancent, par longues files séparées, portant sur leurs têtes des serpents ou des fleurs ; dans leurs mains, des fouets, des livres, des zodiaques, des glaives, des idoles, des colliers d'amulettes autour du cou, des tatouages

Qu'importe, si tu rends, […]/ L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?  » (poème XXI «  Hymne à la beauté  », p.46 deux dernières strophes). Dans «  Le Serpent qui danse  » (poème XXVIII, p.53) la strophe 3 indique que la chevelure de la femme, devenue un océan parfumée, donne au poète accès à l'évasion : «  Mon âme rêveuse appareille / Pour un ciel lointain

mélodieux, qu'il charmait jusqu'aux êtres insensibles. Les bêtes féroces accouraient à ses pieds déposer leur férocité ; les vents même tournaient leur haleine de son côté ; les fleuves suspendaient leur cours, et les arbres formaient des chœurs de danse…Autant d’exagérations poétiques qui expriment ou la perfection de ses talents et l’art merveilleux qu’il sut employer pour réaliser des exploits. Ses exploits : Son histoire commence lorsqu’il se rendit en Egypte où il fit la rencontre des Argonautes

bergeronnettes et d'insectes", "il crépitait comme un brasier". Référence aux 4 règnes de la nature : • végétal (c’est un arcbre), • minéral ("densité de pierre", "poussière de cristal"), • animal ("ses mille bras entrelacés de serpents verts", "ses poils cramoisis", • humain puisqu'il est personnifié. CONCLUSION N° 1 : La description de l'arbre = série de paradoxes, des aspects contradictoires et antithétiques. o immobile et en mouvement: o silencieux et bruissement

par elle, "Le Serpent qui danse". Ce qui étonne, c'est que plus de 20 ans plus tard, Baudelaire reste d'une loyauté et d'un dévouement absolus à Jeanne. Ils ont vécu des amours affreuses, ponctuées de violences, de ruptures, de trahisons de toutes sortes. Ils ont traversé toutes les turpitudes des liaisons humaines. Jeanne a valu à Charles le désaveu de sa mère, du général Aupick (bien sûr !), de ses amis les plus proches. Enfin Jeanne, en 1860, n'a plus rien du "Serpent qui danse" : elle est hideuse