Le Soldat Blessé

L'Allemagne déclare la guerre à la France le 3 août 1914, deux jours après l'avoir déclaré à la Russie. L'ordre de mobilisation est lancé le 1er pour le 2 août. Tous les hommes de 20 à 48 ans sont ainsi appelés, ce qui équivaut à 3,6 millions de soldats français. La stupeur et la consternation se dégagent notamment du monde rural. Mais les Français, pensant que la guerre sera courte, partent au front dans le calme, avec la conviction d'accomplir leur devoir en allant repousser l'agression allemande

cœur. Personnification via le vocabulaire de la souffrance qui s’applique normalement à un homme: « plaie » ; « larmes » ; « douloureux (tronc) » : « flanc » ; « sang » ; « comme un soldat blessé ». Les trois premières strophes sont consacrées aux choses vues, Gautier prépare le symbole : arbre ==> soldat blessé ==> poète. C'est un glissement. La poésie est issue de la douleur du poète (c’est la principale inspiration de la belle poésie). Détail des strophes : 1ère Strophe : concerne

La cloche est associée à des images positives : la santé « alerte »v6, « vigoureux » v5, « bien portante » v6 ; la fidélité : comparaison avec le soldat v8 « un vieux soldat qui veille » et l’adverbe « fidèlement »v7 ; la religion : « carillons »v4, « bienheureuse »v5, « religieux »v7 = élévation spirituelle. - Exclamation v8 « ainsi qu’un vieux soldat qui veille sous la tente ! » peut suggérer l’enthousiasme et laisserait entendre l’admiration du poète envers cette cloche. - Rythme de la 1ère strophe

1939-1940, les soldats français attendirent pendant plusieurs mois l’offensive allemande qui ne venait pas. Le personnage principal, le capitaine Grange, a été envoyé dans un chalet fortifié, en pleine forêt, à proximité de la frontière belge, sur une hauteur dominant la Meuse. En ce lieu solitaire, l’officier et ses hommes perdent le contact avec les contraintes de la réalité. Cet oubli lui procure un intense bonheur. L’extrait proposé se situe à la fin du roman, quand Grange, blessé par une balle

Dix en dépeint une image crue non pas pour choquer mais pour témoigner et rappeler la réalité de la guerre. 2) LE DENOTE Qu'est-ce qui est montré? (éléments référentiels qui permettent de comprendre l'image) Le panneau de gauche, représente les soldats partant au front, nous tournant le dos. Ils disparaissent dans la brume. Le panneau central, représente un champ de bataille. Nous pouvons voir au premier plan des cadavres, des entrailles rependues dans la boue. Au second plan, nous apercevons, un

s’étant engage volontairement, il témoigne des atrocités de la première guerre mondiale. Le panneau de gauche représente des soldats allemands marchands vers le front dans un paysage monotone empli de brouillard. Le ciel est rouge et les soldats tous semblables. Le panneau centrale représente un champ de bataille ravagé. Tout est dévasté, a l’exception d’un soldat allemand encore en vie équipé d’un masque a gaz. On peut également voir des corps entassés et criblés de balles. Un squelette est

l'accès de la Grèce centrale, le long de la mer Égée. À la suite d'une manœuvre de contournement, pris sur leurs arrières, la plupart des Grecs abandonnèrent la bataille, et seuls les 300 spartiates commandés par le roi Léonidas Ier, ainsi que 700 soldats des cités de Thèbes et de Thespires, décidèrent de combattre jusqu'au sacrifice, malgré une infériorité numérique prononcée, pour laisser aux Grecs le temps d'organiser leur défense. Le courage et le sacrifice des mille Spartiates, Thébains et

témoigner et rappeler la réalité de la guerre. C’est une œuvre expressionisme. 2) Première Partie : description Description plan par plan du tableau : Sur la partie gauche, on peut voir une colonne de soldats qui monte au front en file, anonymes, en portant leurs armes et leurs sacs. Un seul soldat tourne la tête et de son œil observe le spectateur du tableau. Les hommes sont plongés dans la brume. L’horizon est rouge (combats et incendies) et le ciel est empli de fumée. Au centre, on observe le

montent une garde de nuit dans une tranchée. Les lignes allemandes sont à 200 mètres. Il y a des fils barbelés, des sacs de sable, des piquets antichars et une mitrailleuse. Étienne à 22 ans. Il est Auvergnat. Gaspard en a 35. Il est le plus vieux soldat du bataillon et se permet d'appeler ses camarades « petit ». Étienne s'interroge sur le sens de cette guerre. Il devra abattre des hommes innocents « parce que sinon, c'est moi qui mourrai ». Gaspard le taquine à cause de sa marraine de guerre qui

été tués. 20 000 Britanniques sont morts le premier jour de la bataille de la Somme (1916). Parmi les morts, on compte des « disparus » et des soldats impossibles à identifier. Le nombre des blessés est immense ; on recense 8 millions d'invalides et d'infirmes, dont les gazés, les mutilés et les blessés de la face ou « gueules cassées ». • Jamais les soldats n'avaient été aussi vulnérables dans les conflits précédents. Les bombardements d'artillerie occasionnent environ 75 % des pertes directes. Les