Le Sonnet D Oronte

préserve le ciel ! Que le Ciel me pardonne ! - v. 912 : un zèle une haine · Satire des mœurs : On pourrait nommer cette scène la scène du persiflage féminin : autre aspect de la vie mondaine après la scène du sonnet et la scène des portraits. La jalousie aiguise l’esprit v. 1028. Arsinoé nous est présentée essentiellement comme une hypocrite, et le trait sur lequel insiste Célimène est l’hypocrisie religieuse : le mot zèle (ferveur religieuse) figure deux fois

caresser des hommes avec hypocrisie. Celui-ci rétorqua qu’il fallait « bien le payer de la même monnoye » c’est-à-dire qu’il y est une réciprocité dans l’engouement de l’embrassade avec les gens. Oronte est un des amants de Célimène, qui voulut se faire ami d’Alceste et il lui demanda son avis sur son sonnet, avec la plus grande insistance. Alors, Alceste lui exprima ses pensées négatives et dénigrantes ce qui donna lieu à un conflit. Ensuite Alceste en profita pour  blâmer Célimène de ses trop nombreux

Acte 1explique à son soitArceste et son ne soit disant Ami philintequi lui expliqué qu'il faut être sincere et nen êtrekypocrite c'est à dire parler avec le colur maisPhilinte essaye de le tromper en disant qu'il le fautleben fonctionnement de la société. Cette premierePar cettpoursline nous presente donc lepersonnage principal quiest Alceste qui est contre l'hypocrisket is qui n'aimepas grand monde. Ilenprofileest amoureux de aliméne une veuve.aussi pour dire qu'ilAprèsVoite qu'arrievecrontearient

toujours sincère, car pour lui cela est simplement impossible. Il n’apprécie pas l’extrême franchise d’Alceste, mais il reste fidèle à son ami. Oronte, amant de Célimène: Il devient l’adversaire d’Alceste alors que ce dernier critique un sonnet qu’il a écrit. Cette rivalité commence quand Alceste apprend par Arsinoé que Célimène a un penchant pour Oronte. Célimène, amante d’Alceste: Célimène est connue pour sa coquetterie. Elle n’hésite pas à flatter les personnes de son entourage lorsqu’elle est

manque de politesse et ces excès de colère abusive bien qu'il comprenne les positions de celui-ci. Eliante est la cousine de Célimène , elle étais amoureuse de Aceste mais elle se marie finalement avec Philinte à la fin de la pièce. Oronte est un homme qui est gentil bien qu'il soit vaniteux, celui-ci étant l'amant de Célimène . Acaste et Clitandre sont deux marquis qui s'intéressent à la mode, à leurs apparences physiques et aussi de leurs faits et gestes face au Roi. Ils

les lazzis joués par les acteurs peuvent parfois échapper a la lecture mais lors d'une pièce de théâtre ces derniers sont utiliser pour illustrer au mieux les paroles des personnages. Par exemple Oronte sort son sonnet de sa poche qui est écrit sur une grande feuille plié se qui nous montre que le sonnet est au centre de la pièce. L'absence de disdascalies dans une lecture est très ennuyante car c'est grâce a ses dernière que l'on peut comprendre mieux le texte. Mais une mise en scène peut parfois

forme peut parfois devenir sclérosante. Après avoir connu une période faste grâce au génie des poètes de la Pléiade, le sonnet finit par s’épuiser au début du XVIIIe siècle et par sombrer dans l’oubli. Molière, à la fin du XVIIe siècle, dans sa pièce Le Misanthrope ironise déjà sur le ridicule de nombre de poètes sans inspiration, comme Oronte, qui s’essaie à écrire des sonnets. (scène 2, acte I). Il n’y a que Philinte pour s’exclamer : « Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont dites ! »

comme M. Jourdain (Le Bourgeois gentilhomme). Il s’agit de petits marquis (par exemple: Clitandre et Acaste), qui représentent la Cour. On apprend par Alceste qu’Oronte est à la cour, « le nom que dans la cour vous avez d’honnête homme » (v. 370). Oronte le dis lui-même, « On sait qu’auprès du roi je fais quelque figure… » (v. 290-291). On apprend aussi par Eliante qu’Alceste a « quelque chose en soi de noble et d’héroïque. » (v.1166). Tous les personnages appartiennent à un rang supérieur excepté

plus d'ambition, qui tente à démontrer que la comédie n'est pas un genre mineur. • Acte I : Scène 1 : Le personnage principal apparaît, plus deux personnages masculin Oronte et Philinte. Il retarde la venue du personnage principal féminin, Célimène. Scène d'exposition particulièrement longue. Scène 2, ou scène du sonnet : rapport théorie/pratique avec la scène 1. Mise en application des principes évoqués dans la scène 1 et mise à l'épreuve de ces principes. Il y a un décalage par rapport à

placidité indulgente, qui achève de mettre Alceste en fureur. Juste à ce moment arrive Oronte, grand seigneur qui se pique de poésie, qui est un poète grave et ridicule qui veut soumettre ses vers au jugement d'Alceste. Celui-ci se récuse d'abord, puis cède devant l'insistance d'Oronte, qui lit son sonnet qui est plein de préciosité. Tandis que Philinte se répand en éloges, Alceste essaie de démontrer à Oronte qu'il a tort d'écrire. Acte II Alceste dresse un portrait accusateur de Célimène. Puis