Le Souffle au cœur

Offre-moi vite un de tes petits sinon tu goûteras à ma furie. J’hurlerai, je gronderai, je mugirai et je soufflerai sur ton arbre, il se cassera et toi et tes petits je vous mangerai d’une seule bouchée. Glacée d’effroi, elle se résolu, les larmes au cœur, à sacrifier un autre pigeonneau. Sans pitié, d’une bouchée, le loup l’avala. Il se pourlécha les babines et se dit qu’il avait trouvé là un délicieux garde-manger. La pauvre maman ne savait plus que faire. Les larmes aux yeux, désemparée, elle quitta

d'autres yeuxComment courir avec ce cœur qui bat trop viteQue s'est-il donc passé La vie et je suis vieuxTout pèse L'ombre augmente aux gestes qu'elle imiteLe monde extérieur se fait plus

semaine à l’échelle du temps humain, je fais appel à toi pour que tu m’apprennes l’Amour et la beauté. L’Amour des autres, de celui (ou celle) qui est l’élu(e) de mon cœur (ou de mon (ma) futur(e) élu(e) de cœur), de ma famille, de mes enfants, de tous mes amis, L’Amour de DIEU, l’Amour du bien, l’Amour de l’absolu. Mikaël, ouvre mon cœur à la compassion et au partage. Éloigne de moi la solitude, la tristesse et la mélancolie afin que, plus jamais, je ne connaisse la peine et le désespoir. Et que

scène 3 Phèdre avoue sa passion pour Hippolyte à sa servante Oenone Racine : poète tragique français Phèdre : tragédie classique du XVIIeme Met en scène Phèdre, qui est l’épouse de Thésée et sœur d’Ariane. Vénus allume le feu coupable dans le cœur de Phèdre. P. avoue après son amour à Hippolyte parce-qu’elle croyait que Thésée était mort (Acte II, scène 5). C’est Oenone qui va pousser Thésée à bannir Hippolyte et même à le tuer. En quoi l’aveu de Phèdre dévoile-t-il la dimension tragique

Les sonorités dominantes ([n] et [f]) dans ces refrains permettent également de créer un certain équilibre. L’allitération en [f ] agit comme un souffle au travers de tout le poème : « femme » (vers 1, 6, 11 et 16), « forme » (vers 2 ), « foudroie » (vers 5), « fruit » (vers 7), « ferme » (vers 7), « frémis » (vers 8), « ferventes » (vers 8), « souffle » (vers 12), « flancs » (vers 12), « reflets » (vers 14) et « fixe » (vers 15). Dans ce poème, la nudité est prise comme un canon de la beauté, de

Verlaine "Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant  D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime  Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même  Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent  Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème  Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,  Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? — Je l'ignore.  Son nom ? Je me souviens qu'il

Toi, bourreau des âmes, qui te moque de tous et s'amuse à tracer des brûlures sur mon cœur. Ce cher cœur endoloris se meurt en silence. Et mon âme, ridée et consumée par la peine et le chagrin que même mon corps n'ose plus refléter son image. Toi encore, toujours et a n'en pas finir, toi dont je n'arrive à me passer malgré tous. Masochiste, je le suis je l'avoue, mais tu es le seul à me tuer une fois et me souffler la vie une autre, à me faire pleurer pour me consoler, à ouvrir mes profondes plais

du Tibet, Albin Michel, 1999 L’Esprit du Tibet, Le Seuil, 1996 ÉCRITS ET TRADUCTIONS DU TIBÉTAIN Dilgo Khyentsé Rinpotché, Au cœur de la compassion, Padmakara, 2008 Dilgo Khyentsé Rinpotché, Les Cent Conseils, Padmakara, 2003 Dilgo Khyentsé Rinpotché, Shabkar, autobiographie d’un yogi tibétain, Albin Michel, 1998 Dilgo Khyentsé Rinpotché, Le Trésor du cœur des êtres éveillés, Le Seuil, coll. « Points Sagesse », 199 6Matthieu Ricard L’ART DE LA MÉDITATION Pourquoi méditer ? sur quoi

lorsque tous les processus organiques ont cessé de fonctionner. La mort signifie la fin de la vie ; ainsi déterminée par l'arrêt des fonctions cérébrales et le début de la décomposition du corps , il serait nécessaire de déterminer que l’arrêt du coeur ne signifie pas la mort et est qualifié de mort clinique . Chaque personne est un être humain qui est né viable soit apte à la vie auquel la société reconnait des droits , des obligations et du respect . Elle lui accorde une personnalité . Selon Cabriola

plus populaires de son siècle. Le poème suivant fait partie du recueil majeur d’Arvers, Mes heures perdues, il a intitulé ce poème : « Sonnet à mon ami R… » Sonnet à mon ami R... J'avais toujours rêvé le bonheur en ménage, Comme un port où le cœur, trop longtemps agité, Vient trouver, à la fin d'un long pèlerinage, Un dernier jour de calme et de sérénité. Une femme modeste, à peu près de mon âge Et deux petits enfants jouant à son côté ; Un cercle peu nombreux d'amis du voisinage, Et