Le Souverain Bien Aristote

les souverains, les empereurs, les présidents, se soient donnés pour « mission » de diriger un groupe d’homme, un peuple un pays … Mais avons-nous réellement besoin d’être gouvernés, surveillés ? Cette constante répression ne pousse t-elle pas l’homme a vouloir braver les interdits pour dominer lui aussi ? Pour exprimer son mécontentement ? Comment pouvons-nous être sûrs que l’Homme ne choisirait pas la bonne conduite, si il était seul à décider de son comportement ? Aristote, disait

public destiné aux débats, l’Agora où vont se réunir les gens de la ville pour discuter et décider. Cette place a pour raison d’être la disparition de la monarchie et le roi est remplacé par une pluralité de magistrats qui décident ensemble ce qui est bien pour la cité. L’Etat et le pouvoir perdent leur caractère privé et on pourra définir le politique comme l’affaire de tous. Cela va permettre le développement du débat politique, de la critique, du jugement de valeur. Les membres de la société publique

principale finalité de l’homme : tous les hommes désirent être heureux. Conçu comme béatitude, ou félicité, le bonheur est défini comme « Souverain bien » (summum bonum, diront les philosophes latins) – auquel tous les hommes s’efforcent d’accéder. Envisagé comme bien suprême, le bonheur se distingue donc de la joie, du plaisir, ou de la jouissance. Il constitue un bien difficile à obtenir, qu’il est rare de posséder. Les conceptions du bonheur varient cependant en fonction des époques, ou des doctrines

idée selon laquelle tt le réel peut être ramenée à une seule idée. Il cherche une idée de la justice : la philo du droit est plus de la philo morale ou politique qu’une réflexion sur le droit. Postulat : univers = oeuvre d’une intelligence souveraine, idéale, absolue. Un grand architecte a construit un univers harmonieux, et il faut retrouver cette harmonie du cosmos dans le monde réel. Platon observe que l’univers est hiérarchisé, ainsi que la S° des hommes. Il y a donc une hiérarchie naturelle

une relation, il n’y a pas de droit solitaire. La diversité des situations : si l’on cherche les origines de la pensée juridique il faut nécessairement remonter aux grecs c'est-à-dire Aristote, lequel donne du droit cette définition « suum quique tribuere. » qui signifie « attribuer à chacun selon son dû. » Aristote nous dit que le droit est un phénomène extérieur à l’homme, qu’il porte sur des faits, des choses et qu’il consiste répartir justement ces choses. Derrière ça le droit romain a développé

celui de bien. 1.1. La morale : 1.1.1. La morale est l’ensemble des devoirs que les hommes doivent remplir afin de mener une vie bonne. 1.1.2. Le bien est formellement la norme suprême à l’aune de laquelle se mesure la valeur morale des choix et des actes. 1.1.3. Les devoirs sont des règles qui interdisent ou rendent obligatoires certains choix ou certains actes. Ils se déduisent du bien, qui fixe un modèle de vie aux individus. 1.1.4. Il faut distinguer le bien de l’utile. Le bien est ce qui

de l'homme. Seulement il faut bien savoir différencier le plaisir, la joie et le bonheur. Tout d'abord le plaisir est éprouvé dans l'instant et est du domaine de la sensation sans aucune continuité tandis que la joie est liée à l'acte, à l'oeuvre, comme le dit Bergson : « partout où il y a joie il y a création; plus riche est la création, plus profonde est la joie », la joie est dons un état affectif global et total. Cependant la définition du bonheur est bien plus compliquée car il existe

2 enfants Famille élargie : avec les dominants et dominés (Tribu) ceux qui donnes les ordres et ceux qui obéissent. Aristote (V av JC) : « L’Homme est un animal politique » Politique concerne la « Polis » qui veut dire cité. L’Homme est un citoyen, plus tard dans la république à Rome. Autorité politique : pouvoir politique Société politique : existe un pouvoir politique bien distinct Société civil : entreprise, syndicats Des Hommes soient sont gouvernant ou gouvernés XIX siècle Benjamin

éprouve bien plus qu’il ne contribue à son bonheur. Il accorde néanmoins que certains plaisirs maîtrisés peuvent contribuer au bonheur.  Rationalité et plaisir: Pour Aristote, le souverain bien propre à l’homme consiste nécessairement en des actions qui expriment la nature humaine. Les actions qui conduisent au bonheur sont par conséquent les actions conformes à la raison et à la vertu, c’est-à-dire les actions gouvernées par la rationalité pratique, par la vertu de prudence. Mais Aristote a soin

sur la loi. Il apparaît au VI (6ème) Siècle dans le contexte des réformes législatives. Aristote oppose la cité à deux autres formes de communautés (la famille et le village). Il conçoit la cité comme une communauté des communautés, elle n’est pas une association directe d’individus, mais une association de groupe. La Cité a pour fin de permettre à l’homme de bien vivre, il ne s’agit pas seulement du bien être matériel, il s’agit également pour l’homme d’atteindre son achèvement par la Cité, c'est-à-dire