Le Souverain Bien Aristote

correspond à un milieu social , il évolue. Les règles de droit naissent , et se transforment meurent disparaissent afin de créer de nouvelles règles. Grace à l’étude historique on peut suivre l’évolution de ces lois. Quelle est la bonne loi ? Est-elle bien adapté ? Faut-il la changer ? Tenir compte des aspects sociaux , organisation économique d’une societe L’etude du droit est pluridisciplinaire , eco ,socio , sciences juridique  Recul qui va nous permettre d’etudier ceci Quelle est la relation

contrat + loi - Jean Louis Gardies : “Il est à peu près impossible d'imaginer un juriste qui ne soit en même temps philosophe du droit. La philosophie du droit n'a pas la possibilité de ne pas être” De même que son objet, la philosophie du droit est bien (ou devrait être) commune aux juristes et aux philosophes - Elle fut comprise ainsi jusqu'au début du 19ème siècle Mais depuis que Hegel a inventé le terme de “philosophie du droit” (1820) : effacement du dualisme qui caractérise l'objet juridique2)

Platon. Qu'en résulte-t-il ? Le discours platonicien est-il en mesure de dire le vrai ? Lors de cette recherche nous abordons la réponse apportée par Platon avec l’hypothèse des Idées, ainsi que l’interprétation qu’en donne Aristote. Et enfin nous verrons comment Aristote s’y prend-il pour asseoir l'autorité de la philosophie et montrer qu’elle seule dit « ce qui est tel que cela est ». A. L’hypothèse des Idées 1. Enjeu de l’hypothèse des Idées Elle est décisive pour montrer que le

plaisir, qui permettrait à l’Homme d’atteindre le souverain bien. Autrement dit, le plaisir peut-il constituer à lui seul une ligne de conduite ? Est-ce que ce type de morale connaît des limites ? Mais encore existe-t-il d’autres moyens pour parvenir au bonheur ? De prime abord, le plaisir a déjà constitué à première vue un art de vivre à part entière et ce depuis l’Antiquité. Certains penseurs ont orienté leur vie vers différentes sources de bien-être, que ce soit l'amitié, la tendresse, la sexualité

Plusieurs débats s'ouvrent ainsi à nous. L'opposition un/multiple, individu/société conduit à réfléchir sur le fondement même de l'organisation humaine, ouvrant ainsi l'opposition entre essentialisme et relativisme. Mais le terme d'individu est aussi bien antagoniste de l'universalité que de la collectivité et de l'unité. C'est donc à partir d'une interrogation à plusieurs facettes que je vais tâcher de montrer que l'organisation de la Cité repose sur une initiative humaine et non sur une quelconque

vis-à-vis des autres, une considération ; et d’un autre côté, les passions referment chaque individu sur ses intérêts propres. L’égoïsme replie sur soi, l’altruisme étend au dehors. L’insociabilité n’est jamais complète, car l’homme sait bien qu’il ne peut vivre seul, mais la sociabilité est toujours inachevée, car il y a en l'homme une liberté qui s'accommode mal de l'existence même de l'autre homme. Ce qui règne dans la société humaine, c’est une sorte de logique des hérissons

Le Bonheur Peut-on ne pas vouloir ê heureux ? H : vivant particulier. Aristote : 2 mots grecs : vie pr montrer =/= entre 2 : - Zoé : vie comme propriété élémentaire organismes - Bios : vie comme projet existence Fait : interroge propres valeurs / exp vie : on l’a qu’1 fois = vie authentique. Qu’est-ce qui fait que vie mérite d’ê vécue ? : bonheur. SI bonheur = idéal immémorial, pris au 18è : dimension particulière. EU : constitution : droit recherche bonheur ( pol ). B : idée neuve

philosophie morale s'adresse à la conscience des individus, et a comme problématique d'orienter cette conscience vers des idées de biens et de justice, ou comme l'appelle Kant, vers l'autonomie du jugement. Mais comment s'exerce cette orientation vers le bien ou la justice ? _ Dans l’œuvre de Kant Qu'est ce que s'orienter vers la pensée ?, l'acquisition de l' autonomie du jugement est symbolisée par le courant des lumières. Les lumières, c' est un courant qui traverse l'Europe au 18ème, et qui prône le

vieillard qui a bien vécu sera sans regrets (le regret, à la différence du remords, concerne ce que l'on n'a pas fait) et éprouvera du bien-être grâce à la remémoration d'une vie bien menée: on "reste jeune avec les biens". Quant au jeune homme, s'il étudie l'éthique, bien que jeune, il aura cependant la sagesse, que l'on considère d'habitude comme l'apanage de la maturité. Cette sagesse a pour but le bonheur. "Lui présent, nous avons tout": le bonheur est le souverain bien. Il est un bien, c'est-à-dire

Nous vous proposons dans cette première fiche d’investissement 11 catégories qui vous permettront d’acquérir le vocabulaire nécessaire pour bien comprendre le thème de la justice, et les distinctions conceptuelles nécessaires pour la construction de vos arguments. Certains points seront rappelés ou développés dans les divers chapitres du cours. Etymologiquement, le mot « justice » vient du latin jus, qui signifie le droit ; la justice est donc le respect, l’observance du droit. La notion de justice