Le Souverain Bien Aristote

sur l'univers. Même si parfois il fait preuve d’anthropocentrisme, du grec anthropos qui signifie homme, « l'homme au centre » . il est le seul capable de dominer. Cette notion fut inventé par Aristote, dans l'antiquité. Le fait que l'homme dispose du cogito (« je pense donc je suis »), le rend souverain dans le monde, il est la mesure de toute chose. L'anthropocentrisme était connu déjà connu dans l'Antiquité grecque chez les Sophistes qui revendiquaient la liberté de penser à leur guise. Protagoras

du labeur entraine la passivité et la dévalorisation du loisir. « L’apparent dédoublement en temps de travail et temps de loisir- ce dernier inaugurant la sphère transcendante de la liberté- est un mythe » J. Baudrillard. 12. Conclusion (Aristote) Le loisir peut aussi être compris comme cette activité théorique et contemplative chère aux Grecs. Le loisir est la fin de toute activité. « Le bonheur parfait réside dans le loisir. Il ne faut donc pas écouter les gens qui nous conseillent

respect de sa liberté, de sa propriété (= sûreté) et peut donc résister à celui qui cherche à les lui ôter (résistance à l’oppression). □ Finalité des associations politiques = conserver droits de l’homme grâce : ➢ A un pouvoir démocratique (demos souverain) : JUSTICE (isonomie = loi même pour tous) et à la publicité (culture des délibérations publiques : souveraineté populaire qui légitime le pouvoir dans les Etats démocratiques). ➢ A la souveraineté de la loi (droits du citoyen). L’implication

pour Aristote, le plaisir est ce qui accompagne, ce qui couronne l'action réussie. Vous pouvez dans l'Éthique de Nicomaque lire ce qui concerne l'amitié et le plaisir (Livre IX). Il est possible de distinguer une forme superficielle de l'activité (manger boire etc) ou plaisir sensitif et une forme profonde de l'activité plaisir de vivre, de vouloir, de penser. Pour Epicure le plaisir c'est l'absence de souffrance. Il distingue le plaisir en mouvement qu'il faut poursuivre à l'infini et qui

invulnérable à toute objection, à toute critique ? Or ce qui fonde le point de départ de son raisonnement reste le fondement de son point d'arrivée : la peur de la mort. Ultimement les sujets se conduisent pacifiquement parce qu'ils craignent le souverain. Pourquoi les nécessités de la conservation de l'individu imposent-elles qu'on lui reconnaisse un droit sur toutes choses ? Parce qu'il est sans cesse menacé, réellement ou potentiellement, par tous les autres individus, parce que la relation qui

estimables qu’ils ne le sont, et ignorants ou ne s’arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d’avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu’on ne devienne plus triste. Si je pensais que le souverain bien fût la joie, je ne douterais point qu’on en dût tâcher de se rendre joyeux, à quelque prix que ce pût être, et j’approuverais la brutalité de ceux qui noient leurs déplaisirs dans le vin, ou les étourdissent avec du pétun[1]. Mais (...) voyant

DROIT CONSTITUTIONNEL Fiche 1: Théorie Politique de l'Etat - Repères: biographies Aristote (385 avant J-C, -322 avant J-C) Philosophe, élève de Platon et précepteur d'Alexandre le Grand, il fonda sa propre école, le Lycée ou école péripatéticienne. Pour lui, les lois humaines doivent être en harmonie avec l'ordre de la nature: il convient d'observer l'univers et d'en induire des règles (méthode expérimentale). Auteur d'un grand nombre d'ouvrages (Ethique à Nicomaque, La Politique), sa

Politique ? Je réponds que non, et que c’est pour cela que j’écris sur la Politique. Si j’étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu’il faut faire ; je le ferais, ou je me tairais. Né citoyen d’un Etat libre, et membre du souverain, quel-que faible influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques, le droit d’y voter suffit pour m’imposer le devoir de m’en instruire. Heureux, toutes les fois que je médite sur les gouvernements, de trouver toujours dans mes recherches

donc pour Platon de comprendre ce qu’est l’idée de justice pour l’individu, pour Platon la citée idéal doit respecter la division du travail. B) Aristote (384-322) Aristote élève de Platon à l’académie, il est aussi le principal contradicteur. Aristote à laisser une œuvre qui aborde tous les domaines dont les fondements de la vie de la citée. Aristote ne sépare pas la politique de la moral, il analyse la société en définissant les communautés élémentaire et nécessaire qui les composent. La 1er

contrainte, par l’existence d’une « puissance coercitive » qui oblige à les respecter. 2. La raison de l’homme, être sociable par intérêt Le contrat qui va conduire à la constitution de cette puissance coercitive, n’est pas un pacte naturel comme chez Aristote, qui considérait l’homme comme naturellement sociable, par instinct conduit à s’associer avec ses semblables. Pour Hobbes, les hommes sont sociables par intérêt, par calcul (Kant parlait « d’insociable sociabilité de l’homme » = Il y aurait en chaque