Le Statut Du Narrateur Et Le Point De Vue

texte. 2) Relevez deux expressions montrant la difficulté pour le narrateur de décrire la physionomie de Quasimodo. D'où vient cette difficulté ? 3) Pour surmonter l'impossibilité de trouver des mots appropriés pour décrire Quasimodo, le narrateur utilise des images (des comparaisons et des métaphores). Relevez-en quatre dans le deuxième paragraphe. Quelle impression donnent-elles sur le personnage ? 4) D  e quel point de vue est décrit le personnage ? Comment comprenez-vous la phrase : « La

doute ; tout de même on a beau dire : si elle avait cru en Dieu... la peur est le commencement de la sagesse. Ainsi songeait Bernard. Et il se disait encore que tout le bourg, impatient de savourer leur honte, serait bien déçu, chaque dimanche, à la vue d'un ménage aussi uni ! Il lui tardait presque d'être à dimanche, pour voir la tête des gens ! ... D'ailleurs, la justice n'y perdrait rien. Il prit la lampe, son bras levé éclairait la nuque de Thérèse : « Vous ne montez pas encore ? »

de sa journée 2pts de vue : externe avec de nombrx verbes d’action pour les décrire « Sorti ; cambra ; frisa sa moustache.. » Portrait physique flatteur « Joli garçon » +le regard que « les femmes » portent sur lui, confirme sa beauté son apparence « une moustache retroussée » mode de l’époque Les descriptions détaillées de son parcours dans les rues de Paris peut nous faire imaginer qu’il va faire un long chemin dans la société tout au long du roman 2pts de vue : externe pour décrire ses

voire rare. Figures de style. Vocabulaire Mélioratif (appréciatif) pour exprimer un point de vue valorisant. Péjoratif, pour exprimer un point de vue négatif. Enonciation Situatoin dans laquelle un texte a été écrit. Enonciateur,

couvent. Elle sert de prétexte narratif pour déclencher l’intrigue. En quoi est-ce un incipit ? I –Focalisation, intrigue et cadre présentées : 1. Focalisation du narrateur - Roman épistolaire => le point de vue du narrateur change en fonction des personnages qui écrivent les lettres. - Le statut du narrateur est interne. - Le lecteur est incité à poursuivre sa lecture : il se doit s’insérer dans le roman, en tant que personnage omniscient. Cela rend donc l’œuvre de Laclos

semblant. Cette mise en place se construit sur la focalisation zéro adoptée par le narrateur, ce dernier connait la vérité sur Emma et indique ce que font simultanément les deux époux. Cette focalisation zéro se reconnaît par l’utilisation du « tandis que » à la ligne 1, cette formulation évoque les actions simultanées d’Emma et Charles. La relation entre ces derniers et donc basée sur de faux semblants. Le narrateur évoque ceci par des jeux d’opposition : par exemple, à la ligne 1 le verbe « dormait »

des auteurs comme Restif de la Bretonne, Charles Baudelaire, Émile Verhaeren, Alexandre O’Neill, et tant d’autres. Mais au-delà de cette parenté thématique, l’ouvrage que nous étudions ici est difficilement classable du point de vue de son genre. Il s’agit d’un de ces textes à statut problématique : il n’est pas un roman pas plus qu’une nouvelle ou un poème. Nous pouvons le considérer comme une sorte de récit, mais assez particulier : un récit de la ville. Car ce qu’il nous raconte, ce qu’il nous «

la ville, mais maintenant que j'ai vu ce que j'ai vu (…) cette histoire nous concerne tous ». Ce personnage est l'un des plus humanisé du roman. Il est « très humain », il évolue et aspire au bonheur, il exprime son point de vue et son opinion dès qu'il le peut, opinion et point de vue qui changeront au cour de l'histoire. + Panneloux: Ce prêtre est un personnage rendant hommage aux amis chrétiens et résistants de Camus. Plutôt petit et trapu, Panneloux est de nature fougueuse et vive, il est

subtile, à travers le dialogue, puis de manière franche et directe, à travers ses gestes, de séduire Le Destin qui reste aveugle à tous ses stratagèmes. Le ridicule de la situation et du personnage de Madame Bouvillon, ainsi que la position du narrateur omniscient qui s’adresse aux lecteurs et émet de nombreux commentaires sarcastiques, procurent à la scène une dimension comique. Toutefois, cette dimension comique relève du mode burlesque, c’est-à-dire, d’une modalité d’écriture qui provoque

indices nous permettent d’affirmer que le récit se fait selon un point de vue interne ? Tout d’abord, le récit est mené à la première personne du singulier : « Je dois avouer ». De plus, nous ne connaissons que les pensées et le point de vue du narrateur. Il est le seul à exprimer sa subjectivité : « je trouvai irritant ». 2. Pourquoi peut-on dire que le narrateur porte un jugement hâtif sur Morel ? On peut voir que le narrateur se forge une opinion négative de Morel avant même de lui avoir