Le Statut Du Narrateur Et Le Point De Vue

Le héros va tout simplement sortir d’un restaurant où il vient de dîner. Qui ? Là encore, le narrateur néglige de donner une présentation complète et hiérarchisé des personnages. Il fait d’abord apparaitre un personnage secondaire, la « caissière » qui grâce à l’article défini semble déjà connu de nous. Ensuite seulement apparaît à la ligne 2, Georges Duroy, héros probable. On remarque que le narrateur omniscient prend la peine de le nommer comme pour suggérer son importance. Où ? L’impression de

des hommes car dans la fable, il est pratiquement au même rang que les "divinités" : « approchant des Dieux » (vers 5). Ce recit allégorique oppose donc deux personnages par leur nature et caractère mais également grâce aux jeux d’oppositions du narrateur. Les deux personnages sont de natures opposées, en premier lieu leur appartenance géographique est contraire. Le philosophe vient de la Scythie (vers 1) qui est pays austère et rude contrairement au sage originaire de la Grèce (vers 3), qui

narration 1) Le récit est-il à la première ou à la troisième personne ? Relevez trois exemples qui le montrent. 2) Le narrateur emploie parfois le style d’un récit oral, en s’adressant directement à son destinataire. Relevez-en des exemples dans les deuxième et troisième paragraphes. Quel effet cherche à produire l’auteur en adoptant ce style ? 3) Quel est le point de vue employé dans les deux premiers paragraphes ? À quoi le reconnaissez-vous ? Pourquoi Dumas l’a-t-il choisi pour commencer

d’autant plus grande que le lecteur connaît le Baudelaire des Fleurs du mal, recueil éminemment poétique. Cette réflexion aura précisément pour but d’apporter des éléments de réponse à ces questions. Il est tout à fait naturel de remettre en cause le statut poétique du recueil. En effet, on a à priori plutôt affaire à des récits brefs, à des essais, à des fables, à des nouvelles courtes qu’à des poèmes à proprement parler. On relève plusieurs passages qui nous poussent à nous interroger sur leur caractère

d’objectif dans l’espace proustien, qui relève au contraire d’une subjectivisation de l’espace, déjà au cœur du romantisme. Il voit le projet proustien comme une tentative de faire passer l’espace et les êtres par le prisme de la vision de l’auteur narrateur. Il explique qu’il existe aussi une autre dimension fondamentale à l’œuvre proustienne, celle du refus de la Totalité, et même le projet de montrer une certaine forme de fragmentation, de montrer les souvenirs et les déformation de la mémoire, comme

pages du roman — sur l’ensemble du récit — et donc les dix-sept premières années de Jacques —, ce qui est énorme. Ces « entractes » vont prendre une grande place dans la construction psychologique et sociale du personnage. La prise de conscience du narrateur se fait en trois temps : • dans un premier temps, il se contente de vivre ce que la vie lui propose de nouveau, de moins sombre, de plus gai ; • dans un second temps, il fait le constat de la différence entre ce qui se passe habituellement autour

allégorique d’une initiation qui ressemble à un chemin de croix. Le Clézio se fit ethnologue pour raconter un mariage berbère. _________________________________________________________________________________ “Fascination” Nouvelle de 11 pages Le narrateur, attablé dans un restaurant de luxe, voit le traverser, pour essayer de vendre des roses, une très vieille et affreuse tzigane, accompagnée d'une jeune femme à la beauté fascinante. Il se souvient alors qu'enfant, dix-huit ans auparavant, il les

personne ne port pas les marques de l’énonciation : on ne sait en général pas (sauf quand le narrateur intervient) qui écrit (ou parle) , à qui s’adresse le récit , où et quand le texte a été produit . Objectivité et subjectivité : · Quand les émotions ou les sentiments du locuteur (ou de narrateur) apparaissent pas dans un texte , on parle d’objectivité du texte . · Quand le locuteur ou le narrateur exprime ses émotions , ses sentiments ou ceux du personnage , on parle de subjectivité du texte

.......................................................................18 a) Les femmes de Zadig selon le narrateur................................................24 b) Astarté, la figure du bonheur .................................................................29 2. La Princesse de Babylone .................................................................................42 a) Un narrateur, deux récits .......................................................................46 b) Formosante, l’alter

2. Un portrait dépréciatif 4. Une apparence physique des plus ingrate 5. Des métamorphoses du registre de l'animalité 6. Un portrait moral dépréciatif 3. 1. Un portrait réaliste sans complaisance 4. 2. Le point de vue du narrateur 5. On insistera sur l’animalité de la description (Vauquer est un 6. « rat d’église » avec « un nez à bec-de-perroquet », dont l’arrivée 7. est annoncée par un chat) et sur l’importance du registre ironique 8. (le « lustre