Le Tartuffe Figures De Style

Définition : Au sens large : le terme est synonyme de bizarre, excentrique, le mot a un sens péjoratif jusqu’au 19ème s. Au sens restreint : terme créé à la fin du 18ème et employé en histoire de l’art et par la critique pour qualifier le style qui si développa à partir des années 1560, qui s’écarte des règles de la Renaissance et se caractérise par son exubérance. Le baroque privilégie avant tout le mouvement, qui s’exprime dans le goût de l’action, mais aussi dans les formes : volutes

service de la beauté poétique La vertu morale qui consiste à croire : la foi, à permis la création d’œuvres d’art magnifiques. La croyance et la spiritualité sont la muse de nombreux poètes, peintres et écrivains. La peinture mettant en scène des figures divines (du XVIème au XVIIIème siècle surtout) recèle de nombreux trésors de peinture. Ex : La tête de méduse de Rubens ou le Christ de Greco. En témoignent notamment les beautés artistiques des Eglises catholiques françaises ou italiennes de la Renaissance

Ex 1 : On trouve cette idée dans le conflit opposant Antigone à Créon. Il s’agit d’un conflit entre deux générations. Antigone a longtemps incarné la résistance. Cependant on peut se demander s’il ne serait pas réducteur de voir en elle que la figure du courage et du devoir familial. Si Antigone résiste s’est aussi pour elle-même, pour exister en tant que liberté. Si bien que progressivement on a le sentiment qu’Antigone résisté pour résister, que c’est sa résistance elle-même qui devient une

l’Impromptu de Versailles, pièces dans lesquelles il tourne en dérision ses détracteurs (petits marquis, faux vertueux, troupe rivale de l'hôtel de Bourgogne…) 1664 Tartuffe, joué à Versailles, provoque un tollé chez les catholiques. La pièce est interdite à la demande de l’archevêque de Paris. La bataille de Tartuffe durera près de cinq ans. Remaniée, la pièce sera à nouveau interdite en août 1667. Elle sera cependant jouée, en présence du frère du roi, chez le Grand Condé. 1665

été les fleurons du baroque et faisaient appel à des trucages jusqu’à l’arrivée du classicisme. XVIII SIECLE Le théâtre du XVIIIe siècle était, un théâtre d'acteurs. A été dominée par des interprètes qui ont écrit des œuvres adaptées à votre style, souvent, ces acteurs classique adapté à vos goûts et de traduire les œuvres de leurs caractéristiques. Les œuvres de Shakespeare, en particulier, n'ont pas été modifiées pour être reconnue non seulement pour les acteurs s'il vous plaît, mais aussi

Commandeur, que Dom Juan avait tué auparavant, qui l'emportera dans les flammes de l'Enfer. Dans son récit, Molière a créé un personnage ayant tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. 1665 = Tartuffe interdit. Dom-Juan pièce écrite dans l’urgence (difficultés financières). Il choisit le thème à la mode de D.J. (il s’inspire de Tirso de Molina) D.J. est une pièce de combat : M. reprend ses attaques contre les faux dévots : on retrouve les thèmes

sourire (comique plus léger, ou plutôt humour). – Explorez les différents procédés du comique : répétition, décalage, contraste… CORRIGÉ DU COMMENTAIRE Attention ! Les indications entre crochets ne sont qu’une aide à la lecture et ne doivent pas figurer dans votre rédaction. [Introduction] Le théâtre d’Edmond Rostand renoue, à la fin du XIXe siècle, avec les grandes pièces du drame romantique comme Hernani ou Ruy Blas de Victor Hugo. Cyrano de Bergerac met en scène le mélange de « sublime » et

Rosa. Du souvenir fugitif de la mère à l’apparition du père 5 Dans la salle de doublage, par la rêverie, la réminiscence ou la rencontre, Momo fait se relayer trois figures maternelles : la mère originelle, la mère adoptive et une possible mère de substitution. Analysez l’évocation de chacun de ces personnages. Les trois figures maternelles sont : – la mère biologique ou originelle, d’une douceur absolue mais sans visage ; – la mère adoptive, Madame Rosa, rajeunie par le retour-arrière, « heureuse

de l'œuvre de Molière ; il représente une vie imaginaire. Il aime les flatteries nobiliaires et y croit, aspirant à devenir gentilhomme. Il est vaniteux, naïf et capricieux. Mme Jourdain est, dans l'ensemble des personnages féminins de Molière, une figure singulière. Elle apparaît dans peu de scènes de la comédie, et quand cela arrive, c'est toujours pour s'opposer à son mari soit en face, soit par des coups bas. C'est le personnage le plus « vieux jeu » de la pièce, mais elle n'est jamais ridiculisée

opposé au romantisme : le libertinage. Utilité scolaire, utilité pour votre formation littéraire. OE de première : « Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde » : le personnage du libertin est d’abord essentiellement une figure aristocratique qui revendique à la fois un individualisme forcené, un mépris arrogant des lois morales et sociales et un véritable culte du plaisir… Conseils divers (édition, etc.). Livre sonore en fichiers mp3 téléchargeables : http://www