Le Theatre Imite Réalité

apparaît comme une parodie (une imitation burlesque) de tragédie antique, par la ressemblance de son titre avec celle de l’auteur tragique grec Sophocle, OEdipe roi (430 av. J.C.) dont l’histoire est l’exemple même de ce qu’est une tragédie au théâtre. En effet, pendant toute la pièce, le personnage central, OEdipe, lutte pour échapper à un destin menaçant. En vain ; rien n’apaise les dieux et le héros finit écrasé par son destin. Les éléments empruntés à la tragédie sont nombreux dans la pièce

vie qui en |s’évader et de comprendre les |envoyer des messages |réflexion sur ce qui nous |est t-il produit ? | | |font parties |réalités de la vie | |entoure | | | | |

institution, souvent de manière agressive ou passionnée. Élégiaque : Exprime la mélancolie, la tristesse et le regret, souvent à propos de la perte ou de la mort. Fantastique : Crée un sentiment d'étrangeté et d'incertitude en mélangeant la réalité et le surnaturel. Romantique : Accentue les émotions, la nature, l'individualisme et souvent l'aspect irrégulier et imprévisible de la vie. figures de style Métaphore : C'est une comparaison sans outil de comparaison (comme "comme"

I- Répondez à la question suivante: Ces trois textes appartiennent au genre littéraire du théâtre, ce sont tous les trois, trois textes représentant une scène d'exposition c'est ce qui fais leur rapprochement,avec pour registre communs le didactique, ce sont trois scènes pour expliquer, faire apprendre et faire comprendre la pièce des le début de sa première scène. II- c): invention -Marianne: Mon très cher ami alors dite moi tous avez-vous apprécié cette pièce comme cadeau

son modèle. L'art est imitation. De plus il n'imite même pas l'être mais il imite le sensible. Toute imitation n'est pas à bannir comme telle, elle est parfois nécessaire : le démiurge imite le modèle intelligible dans le Timée. Il faut bien un démiurge pour que l'idée ait une réalité sensible et que donc, l'intelligence des apparences puisse être de nature idéelle et non simplement empirique. Dans le Timée, le démiurge imite le modèle parfait : « Lors donc que l'ouvrier, l'œil toujours fixé sur l'être

embellit la nature et lui confère un intérêt nouveau : la réalité ainsi manifestée peut plaire. D’ailleurs, si l’art ne nous donnait à voir et à entendre tout ce que nous connaissions déjà « nous fermerions ensemble le théâtre et le livre pour ne pas le rencontrer deux fois » dit A. de Vigny. Mais cela signifie que nous aimons ce que fait l’artiste pour le divertissement qu’il procure et les illusions qu’il crée. Or, ce dernier masque la réalité. Nous sommes dans un univers trompeur où tout n’est qu’apparence

la dernière pièce, Hugo estime qu’il y a « deux manières de passionner la foule au théâtre : par le grand et par le vrai. Le grand prend les masses le vrai saisit l’individu ». Par là, Hugo oppose deux façons d’écrire des pièces de théâtre. La première consiste à décrire de grandes actions et de grands sentiments dans des contextes graves pour susciter l’admiration de tous. La seconde se résume à peindre la réalité quotidienne pour que chaque spectateur se retrouve individuellement dans ce à quoi

avec l’Espagne ; guerre avec l'Espagne). → Cette instabilité a pour corollaire une crise des valeurs : rien n'est sûr et l'homme n'est que le jouet des caprices du sort dans le theatrum mundi ; l'individu est épris de liberté. « Le théâtre déborde hors du théâtre, envahit le monde ». -"Baroque" vient de barrocco (terme portugais, "perle de forme irrégulière"). Au départ, le terme n'est applicable que pour les arts figuratifs. Il n'existe pas d'art poétique baroque ni de règles canoniques ou formelles

Cléanthis dresse le portrait de sa maîtresse. Elle a tout au long de la scène le pouvoir de la parole. Euphrosine est mal à l’aise et démunie. Trivelin est une sorte de juge. Cléanthis fait un portrait cruel de sa maîtresse. Elle imite sa maîtresse : présence du théâtre dans le théâtre. Les défauts révélés par Cléanthis montrent qu’Euphrosine est narcissique, capricieuse, superficielle… Scène 4 : Trivelin et Euphrosine discutent à la suite du portrait. Trivelin demande à Euphrosine de l’accepter. Celle-ci

un nouveau genre de théâtre apparaît : Le théâtre d’avant-garde. Ce nouveau style qui va révolutionner le théâtre peut paraître atypique pour certains. Il est caractérisé par l’importance de mettre le visuel au même niveau que l’auditif. En effet, une grande importance est donnée aux objets qui ont tous une signification et aux didascalies abondantes qui apportent de la précision. Ce genre