Le Théatre Est Il Le Miroir De L Homme

son front blanc. Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire, Près de l’époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir ; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. Dans ce poème, le Spleen est interprété par la rencontre entre Don Juan et ses victimes (Don

Importance de l’illusion, la métamorphose. Le monde est parfois présenté comme en désordre, importance du chaos. Goût pour le bizarre -l’instabilité; -l’apparence; -l’illusion; -les motifs de l’eau, la fumée, le miroir, les bulles. - Le mouvement Poésie, Roman, Théâtre - théâtre dans le théâtre. - Nbrses fig. de style: métaphores, allégories, comparaisons,antithèses (recherche de l’effet, de la complexité) Saint-Amant (1594-1661) Th. de Viau (1590-1626) Corneille (les comédies) Cyrano de Bergerac

parfois présenté comme en désordre, importance du chaos. Goût pour le bizarre - Imitation des Anciens, sans renoncer à faire oeuvre pers. - goût de l’analyse; - l’écrivain se fait moraliste; dépassement de l’individu pour atteindre un Homme éternel, , un Beau idéal, une vérité universelle -désir de plaire. - Développement des connaissances; émancipation de la pensée (vulgarisation) - foi dans le progrès - primauté de la pensée rationnelle (observation, expérience, esprit

Aristote a dit: “L'art est une imitation de la réalité” Pensez vous que le théâtre soit une simple imitation de la réalité, des êtres, des rapports entre eux, de la vie et de la société, ou doit-il forcer le trait pour arriver à montrer les vérités que l'on discerne mal dans la vie quotidienne? Vous répondrez sous forme de développement organisé en vous appuyant des textes, lus et étudiés en classe. Le théâtre est, par définition, l'art de la représentation d'oeuvres par des êtres humains

Au XVIIe siècle, la littérature classique cherche à divertir et instruire ou encore à corriger les mœurs par le rire. Sous le règne du roi soleil Louis XIV le théâtre comme aussi toute une littérature d'idée propre au grand siècle se pensent à la fois comme une forme de divertissement et comme un moyen d'instruction visant à la réformation de l'homme et de ses défauts, de ses vices, de ses travers ou encore de ses ridicules, perceptible dans les attitudes et les comportements qu'ils adoptent

Christian Colin. ( Note sur la scénographie ( Biographies • Marivaux et son théâtre p.11 ( Texte de Marivaux, Le spectateur français. ( Marivaux 1682 – 1763 quelques repères, Jean Goldzinck. ( Marivaux, un homme secret et un « honnête homme »,Claude Eterstein. ( Marivaux, A.Rykner. ( Regards sur le théâtre de Marivaux. ( Le portrait, le miroir et le masque, Jacques Scherer. ( La plus haute expression de la convention théâtrale,

pour le bizarre -l’instabilité; -l’apparence; -l’illusion; -les motifs de l’eau, la fumée, le miroir, les bulles. LE CLASSICISME Idéal esthétique et humain représenté par les écrivains de la seconde moitié du XVIIe: Les «Classiques» 1660-1680 - Imitation des Anciens, sans renoncer à faire oeuvre pers. - goût de l’analyse; - l’écrivain se fait moraliste; dépassement de l’individu pour atteindre un Homme éternel, , un Beau idéal, une vérité universelle -désir de plaire. -séparation des genres; -respect

l’Encyclopédie qui est un recueil contenant les définitions des mots et des idées philosophiques. Des sujets comme la relation entre maitre et valet sont abordés et remis en cause par les lumières. Marivaux s’inscrit dans cette période et écrit des pièces de théâtre comiques soit à caractère social ou traitant des relations amoureuses. Le texte à étudier est une partie de la scène trois de l’ile des esclaves, une pièce en un acte de Marivaux où, deux couples maitres/esclaves s’échouent sur une ile et les lois

HISTOIRE DU THÉÂTRE Deux théâtres au 17° siècle: Le théâtre Élisabéthain Le théâtre classique Le théâtre Élisabéthain est baroque; vient du mot barocco qui signifie « pierre irrégulière ». C'est un théâtre marqué par son irrégularité. Ce théâtre désigne les pièces de théâtre écrites et interprétées en Angleterre sous le règne d'Élisabeth 1ere. Le théâtre classique est marqué par sa régularité. Il y a un respect des codes et des règles. Au 17° siècle, la France est marquée par le

montait les marches […] il demeura stupéfait » (l. 1 à 3). La montée de l’escalier est interrompue par la surprise du miroir. Duroy ne se reconnaît pas. Dans un deuxième temps, le personnage éprouve un sentiment d’autosatisfaction : « Et maintenant, en se regardant avec soin […] Alors il s’étudia […] qu’on les désire. » (l. 11 à 16). La surprise passée, Duroy s’arrête devant le miroir et se livre à un épisode de contemplation narcissique. Dans un troisième temps, il éprouve une sorte de délire enthousiaste : « En