Le Théâtre Doit Il Refléter La Réalité

tournés vers le ciel, jusqu’à ce que le rideau soit baissé.) FIN Alfred de Vigny, Chatterton, acte III, scène 9 (intégrale) (1835). Le drame Cromwell, de Victor Hugo, est surtout connu pour sa préface, qui constitue un véritable manifeste du théâtre nouveau. Quoi de plus invraisemblable et de plus absurde en effet que ce vestibule, ce péristyle(, cette antichambre, lieu banal où nos tragédies ont la complaisance de venir se dérouler, où arrivent, on ne sait comment, les conspirateurs pour

Objet d’étude : Le théâtre, texte et représentation I. QUESTION : Quelles fonctions peut-on attribuer au costume de théâtre d’après les textes A, B et C du corpus ? Au théâtre, la parole n’est pas le seul moyen pour faire passer des idées, pour faire ressentir au spectateur une sensation : le visuel joue également. Ainsi, des métiers comme metteur en scène ou créateur de costumes existent. On peut attribuer plusieurs fonctions aux costumes de théâtre, comme dans ces trois extraits de

lui-même un reflet de l’auteur. En quoi cette omniprésence du thème du double a-t-elle un rôle dramatique, et plus encore ? Si nous reconnaissons, dans cette pièce, un des principes fondamentales énoncés par Hugo dans la préface de Cromwell, à savoir l’opposition du sublime et du grotesque ; on remarque aussi que l’ambiguïté entre Lorenzo et son masque Lorenzaccio est troublante, mais surtout que Musset et Lorenzo semblent n’être qu’une seule et même personne. De ce fait, Le théâtre de Musset a

couleurs, de neige et de fleurs, et nous ne possédons cependant rien que des métaphores des choses..." La réalité des choses provenant de nos sens, en particulier de la vision devient une immense métaphore de ce qu'elle est vraiment. Rejoignant l'idée de Descartes avec nos sens sont trompeurs. Un magnifique exemple peut illustrer ces dires : "les trompes oeil". Ici le trompe oeil du Théâtre Galli ou l'oeil se révèle être un mauvais instrument du savoir car notre vision identifie 3 personnes débout

Mise en scène ». En confrontant ces éléments avec les documents proposés par les pages « Repères », ils pourront s’interroger sur l’évolution des représentations théâtrales (choix des costumes, décors, accessoires). SÉQUENCE 1 – Le « théâtre dans le théâtre » du XVIIe siècle à nos jours • Pierre Corneille, L’Illusion comique (p.  150 ES/S et Techno / p. 152 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – Maîtres et valets dans la comédie du XVIIIe siècle • Alain-René Lesage, Turcaret (p.  170 ES/S et Techno / p. 172

précises) -Lieu réel (salle de théâtre des variétés) -Référence à l’Exposition universel en 1867 -Personnage principal : Nana -Valorisation de l’espace : découverte des lieux en même temps que le spectateur -Trouble : l’incipit prend la forme d’une scène d’exposition II/ Satire sociale -Le public reflète la société sous forme de satire -Le théâtre = métamorphose du monde -Zola perd le lecteur avec le CL du théâtre mais bordenave ramène le lecteur en désignant son théâtre par « bordel ». C’est le

s'exprime par des répliques courtes, se contentant de répondre par monosyllabes. Son émotion est telle que l'on a l'impression que le départ de son mari est définitif, voir qu'il est souffrant. Ses émotions sont exacerbées mais pas connectées à la réalité. Il n'y a pas matière à adopter une attitude aussi languissante. Mais la marquise ne demeure pas laconique, dévoilant des valeurs républicaines. B-) Des valeurs républicaines. A la tristesse succède la colère; la marquise critiquant le comportement

------------------------------------------------- Analyse d’œuvre de jeunesse Théâtre : Petit Navire Petit Navire fut publié en 1999 par Actes Sud Junior, éditeur spécialiste de la littérature de jeunesse. La maquette est réalisée par Amandine Chambosse. Il est édité en format de poche (portrait) et comporte 71 pages. Son auteur québécois, Normand Chaurette, enseigne tout d’abord la linguistique et le français avant de se plonger dans l’écriture de nouvelles, de romans et de pièces de théâtre. Avec cette pièce il tend à montrer au

comédie italienne, la comédie classique française au XVIIe et au XVIIIe siècles, de Plaute à Beaumarchais, jusqu'au théâtre de Feydeau, de Courteline, ou même jusqu'au nouveau théâtre, chez Ionesco ou Genet. On les trouve également dans tout le théâtre européen, chez Calderón, Goldoni, Shakespeare ou Brecht. Pourquoi cette permanence ? Le théâtre se fait ici le reflet d'une réalité historique : de nombreux éléments dans sa structure sociale, en particulier dans l'organisation de la domesticité

humaines, une meilleure façon de se connaître. D’autre enfin, tuent cette inconstance, dans la douleur voir dans la folie, ils souffrent de l’instabilité d’un « moi » incapable de se fixer. D’où une vision tragique de l’homme ou toute distinction entre réalité et illusion semble impossible. Deux courants se situent dans le siècle du baroque : ⇨ Le burlesque, qui se trouve vers le réalisme ⇨ La préciosité, qui s’inspire de Pétrarque (auteur italien) et de la courtoisie médiévale L’amour devient