Le Tombeau Des Regrets

(page 179) - Personnage impulsif, il se précipite à Vérone dés qu'il apprend la nouvelle de la mort de Juliette pour y mourir ; arrivé devant le tombeau, il tue Paris, (qu'il n'a pas reconnu) parce qu'il juge inopportune sa présence et qu'il n'essaie pas de savoir ce qui justifie sa présence en ce lieu à pareille heure, aussi regrette-t-il son geste quand il identifie Paris : " Pardonne, mon cher cousin" (page 253) ; bien qu'il constate que la beauté de Juliette soit anormalement, que "

« Zone », Alcools, 1913, Guillaume Apollinaire « Zone », Apollinaire : introductionPlacé en tête du recueil Alcools, Zone est en réalité le dernier poème écrit par Guillaume Apollinaire avant la publication en 1913 Le choix de faire de ce poème le poème liminaire du recueil (c’est à dire le premier poème) est significatif : Zone sera un manifeste poétique, par lequel le poète révolutionne le genre poétique, tant dans la forme que dans les thèmes. Zone est un poème fleuve, sans

celui du temps qui passe. Le temps qui passe est représenté par "les feuilles mortes", et donc représente le fil des saisons. Pour conclure, on voit que la nostalgie est très présente dans ce poème. Le poète se souvient des moments passés et les regrette amèrement. Paterson, Ian photographe, (1953) Le Jardin du Luxembourg (Musée Carnavalet, Histoire de Paris) Image directe pour le titre du poème et l'automne, la saison de la mélancolie.https://www.linternaute.com/ville/neuilly-sur-seine/ville-92051Oh

et Dom Juan reprennent leur chemin et aperçoivent le tombeau du commandeur, que Dom Juan a tué. Dom Juan lui rend visite, et par défi, dit à Sganarelle de l’inviter à dîner. Chez Dom Juan, M. Dimanche, un créancier tente de se faire rembourser de l’argent, mais Dom Juan le chasse par un discours flatteur. Subséquemment, son père arrive, Dom Louis, et lui aussi veut lui faire entendre raison. Done Elvire se présente et essaye de le faire regretter ses actes. Dom Juan est prêt à passer à table quand

avec colère et refuse la soumission imposé par le roi. On remarque d’ailleurs l’absence de bande son musicale lors de la visite de Caignet et de l’Abbé Matthieu qui renforce l’opposition. Enfin, il vit dans le constant regret de sa femme (pour laquelle il compose le tombeau des regrets) et vit dans l’instant tout en sachant que la fin est inéluctable « Tout les matins du monde sont sans retour » (page 107). Le jansénisme est donc avant tout chez Sainte Colombe une recherche passionnée dans son art et

coeur Desdemona gémir, Pauvre enfant ? Tu pleurais ; sur ta bouche adorée Tu laissas tristement mes lèvres se poser, Et ce fut ta douleur qui reçut mon baiser. Telle je t’embrassai, froide et décolorée, Telle, deux mois après, tu fus mise au tombeau ; Telle, ô ma chaste fleur ! tu t’es évanouie. Ta mort fut un sourire aussi doux que ta vie, Et tu fus rapportée à Dieu dans ton berceau. Doux mystère du toit que l’innocence habite, Chansons, rêves d’amour, rires, propos d’enfant, Et toi

mon discours. Adieu, Ruisseau, reprends ton cours Qui, non plus que moi, se repose ; Que si, par mes regrets, j'ai bien pu t'arrêter, Voici des pleurs pour te hâter. Dans ce poème, Saint Amant pleur la mort de l’être aimé. Il va habilement utilisé des procédés baroques qui exprimeront ses inquiétudes existentielles mais qui permettront aussi d’exprimer se tristesse et de créer un tombeau à Sylvie. Dès le début, nous nous apercevons de la présence de l’eau et donc du mouvement à travers

faim dans l'obscurité (VI, 2). On l'a vu plus haut, lors de la fusillade, les morts sont noircis par la boue, Zola n'introduit pas la couleur rouge (VI, 5). La mine devient ainsi un tombeau, qui ensevelit Etienne, Catherine et Chaval (VII, 5) ; ainsi c'est là aussi que meurt le cheval Trompette "torturé du regret de la lumière" (VI, 5) et le cheval Bataille (VII, 5). L'agonie de Catherine, comme celle de Trompette, sera marquée par un rêve de lumière : "Elle voyait clair, de grandes tâches jaunes

que l’on monte par trois, cinq et sept, pour arriver à la porte du Temple. 4 On retrouve aussi dans l’instruction par questions et réponses au grade de Maître : D. : Où avez-vous été reçu Maître ? R. : Dans la Chambre du Milieu, séjour de regrets et de larmes. D. : Comment y êtes vous parvenus ? R. : Par un escalier mystérieux en forme de vis qui se monte par 3, 5, 7. Ces nombres font ici allusion à l’âge de l’Apprenti, du Compagnon et du Maître, âges qui ont leur fondement en maçonnerie opérative

Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être au haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur. Las, où est maintenant... de Joachim du Bellay (1522-1560), paru en 1558 dans Les Regrets, est aussi un sonnet régulier, je le trouve donc aussi mélodieux, spécialement avec le rythme tertiaire du dernier vers: « Et les Muses de moi comme estranges s'enfuient ». C'est un poème clair aux images plaisantes, comme « vert tapi » pour de l'herbe