Le Torrent

métaphores, comme « masse grouillante » (l.4) ou par une comparaison à un fleuve à la ligne suivante, qui permettent de désigner les insurgés. Cette comparaison au fleuve se retrouve dans la Fortune Des Rougons, avec la métaphore filée du fleuve (torrent) des lignes 4 à 5, caractérisant les révolutionnaires qui semblent former une marée humaine, « une masse noire ». L’impression de mouvement est également renforcée par des personnifications, comme celle de la campagne « endormie » qui se réveille

pensées de Danglard. Ensuite, on observe également qu'Adamsberg à des pensées plutôt confuses. On observe ceci grâce à la présence de plusieurs oxymores aux lignes 8 « torrent vital » et 24 « conglomérat confus ». Ces oxymores nous montre bien qu'Adamsberg est confus car il se contredit en quelque sorte lorsqu'il parle de « torrent », qui est violent, « vital », qui est essentiel ; mais aussi lorsqu'il parle de « conglomérat », qui désigne quelque chose de rangé, « confus », qui est désordonné.

fortifications, bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées. Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c’est une des branches du Jura. Les cimes brisées du Verra se couvrent de neige dès les premiers froids d’octobre. Un torrent, qui se précipite de la montagne, traverse Verrières avant de se jeter dans le Doubs, et donne le mouvement à un grand nombre de scies à bois ; c’est une industrie fort simple et qui procure un certain bien-être à la majeure partie des habitants plus

père et reconquérir le trône qui lui revient de droit. Le départ Son chemin est paisible jusqu'à ce qu’il croise a un torrent qui lui coupe la route, alors qu’il se prépare à le traverser une main s’agrippe à lui : c’est une vielle femme qui lui demande de l’aider à traverser le torrent. De bon cœur Jason prend la vieille femme sur ses épaules et commence à franchir le torrent tant bien que mal. Plusieurs fois il sent son corps s’enfoncer dans la vase et croit se noyer. Il perd alors l’une de ses

le canton de bon piégeage, l’endroit d’un bivouac sûr, la présence des criques ou des torrents, des ruisseaux et des rivières » (p.112). Les connaissances qu’il possède de son environnement lui permettent de vivre sans difficulté en pratiquant la chasse « l’habitat des animaux » le campement en lieux sécuritaires « bivouac sûr » ou en repérant rapidement des points distincts « présence des criques ou des torrents ». Le champ lexical du primitif confirme qu’Ashini base sa réalité sur les éléments authentiques

virgule Rupture avec cette impression d’apaisement “barre, bourreau, brisée, verre, torches noires, torrents” “torches, pénitents, s’étaient, éteintes” Allitération en r + Allitération en t Retour à la dureté, scène apocalyptique de fin du monde. “s’était X3” Imparfait Action en cours, le supplice pour le poète se poursuit “comme un verre” Comparaison Un son semble sortir le poète de son rêve ”torrents de pluie, foule s’était écoulée” Métaphores et champ lexical de l’eau Impression que le rêve s’efface

droite actuelle du Borne à l’emplacement du camping Le Borne est un torrent alpin tributaire de l’Arve, connu pour ses violentes crues d’été. Certaines d’entre elles occasionnaient des dommages plus ou moins importants, quelques champs inondés et/ou érodés, quelques portions de routes et un ou deux ponts emportés..., mais jamais de victimes, car les constructions anciennes du Grand-Bornand étaient toutes éloignées de ce torrent dangereux. La crue du 14/07/87 n’aurait pas été une catastrophe s’il

reconquérir le trône. Il prend donc la route qui ne sera pas sans encombre. A un moment donné notre héros se retrouve face à un torrent agité qu’il doit traverser. Alors qu’il prit tout son courage, une main s’agrippa à lui, c’était une vielle femme qui lui demanda de l’aider à traverser le torrent. De bon cœur Jason pris la vieille femme sur ses épaules et se mit à franchir le torrent tant bien que mal. Plusieurs fois il cru se noyer, plusieurs fois il sentit son corps s’enfoncer dans la vase. C’est alors

Dans un premier temps La Fontaine défini la mort comme une situation agréable et paisible, il illustre ce propos dans La mort et le mourant " A des morts, il est vrai, glorieuses et belles" (ligne 58) ainsi que dans Le torrent et la rivière " Image d'un sommeil doux, paisible et tranquille" (ligne 15). Il la décrit aussi à plusieurs reprise comme inévitable et prévue bien qu’hasardeuse, comme dit dans L'Horoscope : tout aveugle et menteur qu'est cet art, Il peut frapper

peu comme un tourbillon momentané au milieu du torrent. Si nous prenions conscience de notre nature de torrent au lieu de nous attacher à notre aspect de tourbillon mortel, ne connaîtrions-nous pas une harmonie avec le torrent de la vie ? De ce point de vue ce qui ne dépend pas de nous individuellement est ce que nous sommes intimement par notre nature : les flux contraires à notre existence de tourbillon ne mettent jamais en péril notre nature de torrent. Par ailleurs il ne s’agit de fuir l’action