Le Triomphe de la volonté

deux mises en scène différentes ne font pas venir à la surface les mêmes gisements du texte 3 ». Or, justement, qu'est-ce qui fait que l'on pointe vers tel sens du texte plutôt que vers tel autre ? Dans le même numéro, Bernard Dort insiste sur la « volonté d'expression personnelle 4 » du metteur en scène, tandis que Jean-Pierre Vincent déclare que « mettre en scène demande un apport imaginatif personnel 5 ». Toutes ces affirmations confirment que la mise en scène est d'abord affaire de compréhension

idéal normatif, à un idéal de moral, à une éthique. La politique doit-elle être fondée en dehors de toute considération morale ? La relation entre l'éthique et la politique est en tout cas ambiguë : si la politique qui est toujours l'expression d'une volonté de pouvoir prétend servir l'éthique, n'est-ce pas nécessairement en se servant d'elle ? Dès lors, une politique éthique pourrait apparaître comme un leurre, une illusion dangereuse, un simple instrument d'un désir de domination, ce qui compromettrait

interne •le lexique de l’émotion Tout est perçu à travers Julien (pt de vue interne qui traduit sa sensibilité) ; il ne retient des circonstances que ce qui favorise son entreprise il observa qu’elle serait fort obscure Concentrati° de J. sur sa volonté d’agir, même la scène des femmes lui semble étrange «tout ce qu’elles faisaient...singulier» Percept° du temps : On s’assit enfin ➙ impatience de Julien : ttes les indicat° temporelles traduisent l’impatience de J. qui s’est fixé un ultimatum chaque

réalité il y a une compétition, une concurrence entre les deux (grâce aux comparatifs de supériorité). Il donne son projet et on voit qu'il veut passer au-dessus d'elle, la gagner. Valmont veut voir Merteuil saisit d’un « saint respect » « devant son triomphe » Il semple souffrir d’un complexe d’infériorité par rapport à la Marquise. Il recherche donc son admiration, il voudrait la savoir ébahie devant ses exploits, comme s’il avait une revanche à prendre. Dans ce texte, l'auteur dresse un portrait

l'épreuve -) les élections du 8 février 1871 se déroulent dans une improvisation presque totale (liste électorales incomplètes, campagne électorale bâclée...) → les monarchistes l'emportent très largement. (400 sièges sur 650) → plus choisis sur leur volonté de retour à la paix et sur leur notoriété locale que sur leurs convictions et programme. On peut donc ici mettre en doute la représentativité de ces parlementaires élus pour leur seul attachement à la paix. On peut dire que le nouveau pouvoir législatif

ainsi de nombreux intérêts, aussi bien au niveau littéraire que politique. Dans un premier temps, nous étudierons en quoi cette scène est irréaliste, avant de montrer que de Gavroche est ici fait un portrait hors du commun, puis d'analyser les volontés plus implicites de l'auteur. Tout d'abord, la composition spécifique de l'extrait fait que le temps nous parait à la fois rythmé et suspendu. En effet, le texte est organisé de tel sorte que s'alternent des paragraphes ou le temps semble

principe de souveraineté et plus particulièrement le principe de souveraineté populaire implique l'idée que l'ensemble du peuple soit détenteur de la souveraineté. C'est au peuple de désigner les représentants et ces derniers vont représenter la volonté générale. Pour les défenseurs de la démocratie, le peuple n'est pas seulement une conception juridique, mais une réelle entité à prendre en compte. Le citoyen va donc être actif dans le domaine politique et va posséder le droit d'exercer son pouvoir

l'Arche de la Défense imaginé par l'architecte danois, Johann Otto von Spreckelsen et par l'ingénieur concepteur danois, Eric Reitzel. vécu tous les deux au XX ème siècle.  l'Arche de la Défense à la volonté de prolonger l'axe historique de Paris qui comprend le musée du Louvre, l'Arc de Triomphe, l'avenue des Champs-Élysées, la place de la Concorde,etc …  C'est François Mitterrand qui le concrétise pendant son mandat et sous le nom de Tête Défense.  L'inauguration lieu en juillet 1989 ,marquée

ses propres intérêts, les règles de droit qui nous impose à tous. Conception idéaliste de notre droit au début, la loi naturelle était supérieure à toutes sociétés. Cette théorie ancienne s’inspirait de la philosophie de Sophocle. Cette théorie a triomphé avec le christianisme, qui a été théorisé au Moyen-Age par St Thomas d’Aquin. Puis cette théorie avec l’évolution de la société c’est peu à peu laïcisé (détaché de la religion). Puis la doctrine a évolué et du droit naturel, on est passé au droit

au delà, plus loin ; prép. + acc. : plus loin que, plus que unda, ae, f. : l'onde, l'eau, le flot usque, prép. : usque ad, jusqu'à ; adv. Continuellement * ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que * uenio, is, ire, ueni, uentum : venir * uertex, icis, f. : le sommet uir, uiri, m. : homme femme, mari. * uideor, eris, eri, uisus sum : être vu, sembler, paraître, avoir l'air de * uoltus