Le Trouvère

carolingienne, le plus souvent au temps de Charlemagne ou de son fils Louis le pieux. Un grand nombre de chansons furent composées ou remaniées au XIIe siècle, de 1130 environ à 1180. Puis le souci nouveau de classer ces poèmes en cycle conduisit les trouvères à imaginer de nouveaux épisodes destinés à relier entre eux les récits dispersés et primitivement indépendants. Cette production complémentaire s'est largement développée au XIIIe siècle ainsi qu'au début du XIVe siècle. Le XVe siècle assurera enfin

perdrix a. Découverte du texte complet Lecture silencieuse b. La situation d’énonciation → Auteur / Narrateur / Personnage Qui parle ? « Je » (l. 1) : le narrateur -  Il a « l’habitude de […] raconter des fabliaux » → c’est un trouvère / un troubadour A qui ? « Vous » (l.1) : il s’adresse à son public (→ le lecteur) De quoi ? « Une histoire vécue » (l. 2) : il va raconter une histoire qui s’est réellement passée. Quelle histoire ? Il raconte l’histoire d’un

l’épopée : L’odyssée, HomèreNaissance du théâtre : Antigone, SophocleNaissance de la philo : Socrate, PlatonOrateur : Cicéron | Moyen-âgeLa Courtoisie | Exploit du chevalierRomans en versL’honneur d’une dameLégendes arthuriennesPoésie : troubadour et trouvère | Chrétien de Troyes, Yvain le chevalier au lionTristant et Yseult, Béroul et ThomasMarie de France | XVIème (Renaissance)L’Humanisme | Priorité à l’hommeGuerres d’Italie : découverte de l’Antiquité : soif de connaissances : Mens sana in corpore

policier. Période historique : Moyen-Age (13ème siècle). Contexte historique / lieu : Construction de la cathédrale d’Amiens. Personnages principaux Amaury : tailleur de pierre, héros, très doué dans son métier, intelligent, vif et curieux. Eustache : trouvère, ami d’Amaury. Lisa : funambule dont Amaury va tomber amoureux. Baldr : il va servir de modèle pour la statue qu’Amaury doit sculpter ; personnage mystérieux, qui va s’avérer être le mage de la troupe de saltimbanques de Lisa mais aussi le père de

Troubadours et trouvères Chez les troubadours du XIIe siècle, chanter de la femme n’est pas toujours chanter la femme. Les poètes proclament, unanimement et anonymement, l’infidélité de la femme, en tant qu’épouse (le mari faisant corps avec les envieux) ou en tant qu’amie (le jaloux étant alors l’amant-poète). Avec Guillaume IX d’Aquitaine, cette parole est traitée d’ « estraing lati » avant d’être congédiée ; seul le corps s’avère parlant, et nourrissant : il constitue « la pessa

but de la poésie ? Après cette constatation purement statistique, on peut se demander si la vocation de la poésie est seulement d’exprimer le moi intime ou si elle a d’autres fonctions.La poésie a une origine musicale, en effet au Moyen-âge les trouvères et les troubadours composaient des poésies mêlant paroles et musique. Petit à petit les poètes ont abandonné l'accompagnement musical et ont imaginé une poésie qui se fonde sur la seule musique de la voix, en exploitant les ressources sonores comme

car malgré ses prières dans différentes églises Paulus est sourd et muet. Julienne espère que St Jacques de Compostelle va donner la parole et l’ouie à son fils. Jauffré Trousseboeuf  : un jeune homme intrigant avec de grandes ongles, il était trouvère (personne qui écrit des poèmes, des ballades …) et a embrasser la femme du seigneur. (p 131). Marion : Petite femme boulotte, qui se rend à Compostelle afin que St Jacques puisse lui accorder la fertilité. Marion n’arrive pas à avoir d’enfants

raconte des faits guerriers - aventures de chevaliers ( representent ideal de la société feodale : le respect) -engagements feodaux -chantées en public : au Sud par les Toubadours au Nord pas les Trouvères. -3 gds cycles : ---> cycle du roi (surtt avec Charlemagne : chanson de Roland) --->cycle de Guillaume d'orange (chanson de guillaume et charoi de Nîmes) ---> cycle de Doon de Mayence (luttes féodales : chanson de Bormont et chanson de Isembart)

avec une formation de clerc (il connaissait le latin). Il serait originaire de Champagne (il a décrit les conflits à Troyes en 1249), mais a vécu adulte à Paris. Son œuvre, très diversifiée, qui rompit avec la tradition de la poésie courtoise des trouvères, comprend des hagiographies (Vie de Sainte Helysabel), du théâtre (Miracle de Théophile), des poèmes polémiques et satiriques (Renart le Bestourné ou Dit de l'Herberie) envers les puissants de son temps. Rutebeuf est aussi un poète « personnel »

1069 et 1085 ds T.-L.); ca 1320 reverie « ivrognerie » (Watriquet de Couvin, Dits, 390, 301, ibid.); b) xiiies. [date du ms.] Resveries [titre d'une pièce en vers formée de jeux de mots, d'espèces de coq-à-l'âne] (Achille Jubinal, Jongleurs et Trouvères, p. 34); 2. a) 1580 resverie « activité de l'esprit qui médite, qui réfléchit » (Montaigne, Essais, I, 26, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, t. 1, p. 146); 1631 recueil de rêveries (Descartes, Lettre du 5 mai ds Œuvres, éd. F. Alquié, t. 1, p. 293);