Le Tyran Au Théatre

La tragédie Histoire de la tragédie : * Les origines antiques La tragédie naît à Athènes au V° siècle av J.C. Représentation deux fois par an pour les fêtes religieuses. Au IV° siècle, ttes les grandes villes grecques on un théâtre et Aristote fixe les règles de la tragédie dans sa Poétique : mettre en scène des héro, des légendes, des grand mythes. Héro tragique écrasé par des malheurs. + chœur chantant et dansant. Rôles joué par des hommes masqués pour la tragédie antique. Les auteurs

Une énonciation accusatrice  2. Les reproche formulés à l’encontre du peuple    I.   Défense (apologie) de la liberté    1. Portait à charge du tyran, critique du tyran  2. Une exhortation à la libération en conclusion du texte    Conclusion:​  Discours injonctif, appel à l'émancipation, faire réagir le  destinataire contre son oppresseur=>révolte. Peuples subissent inégalités  du tyran mais l’encourage par leurs comportement=>PARADOXE.  Passage qui relève du procéder de persuasion=>texte d’encouragement  sur la prise de conscience

Rodrigue - il est associé au tourment quand il s’agit de l’Infante : « « profonde tristesse » v. 74, « tyran » v. 81, « se trouble » v. 84, « triste aventure » v. 110, … - pour désigner l’amour, les métaphores du feu sont aussi très présentes : « flamme » v. 6, « feux » v. 11, « flammes » v. 94, « c’est un feu qui s’éteint » v. 109 ainsi que celle de l’asservissement : « chaînes » v. 69, « tyran » v. 81, « fers » v. 148. • l’honneur, la vertu, le devoir : ces deux scènes d’exposition mettent déjà

Dans l’Antiquité, les pièces de théâtres étaient moyen de divertissement et surtout utilisé pour faire passer des messages. Bien souvent les pièces de théâtres traitaient du pouvoir. Pour répondre à la question « Comment le théâtre permet-il une représentation du pouvoir et dans quel but » ? Autrement dit, à travers quels procédés, le pouvoir est-il représenté, et pourquoi ? la dissertation portera dans un premier temps sur comment le théâtre représente le pouvoir et dans un deuxième temps dans quel

Plekszy-Gladz, le Grand Schtroumpf, Zorglub ou Babar, qui est le pire tyran de l’histoire de la bande-dessinée? Plekszy-Gladz Si Samson tirait son pouvoir de sa tignasse, nul doute que le dictateur bordure règne par la moustache. Le visage du tyran a beau être presque invisible (on ne le voit qu’une seule fois, au détour d’une case de l’Affaire Tournesol), sa moustache est partout. Sur les drapeaux de la Bordurie, dont elle est devenue l’emblème, sur les brassards de la police politique

« Le dialogue de Pozzo » - Acte I, (1952) Introduction Théâtre de l’absurde né du bouleversement de la seconde guerre mondiale marque une rupture avec l’héritage classique et réaliste du genre. Déconstruction du langage, réflexion existentielle et mise en scène épurée caractérisent ce nouveau théâtre. En attendant Godot, emblématique du mouvement, écrit en 1952, en français par l’auteur irlandais Samuel Beckett suggère une dimension métaphysique, Godot rappelle le mot anglais god (Dieu). Deux

Olivier Py s'attaque à Prométhée enchainé en adaptant le texte de manière à ce qu'il soit le plus concis possible permettant ainsi une accessibilité "Tous public" (selon ses propres termes). Car en effet Olivier Py a pour vocation d'ouvrir son théâtre à chacun, son desiderata étant de questionner le public sur son époque , de tirer des oeuvres d'Eschyle la matière d'une réflexion pour le spectateur. L'objectif d' Olivier Py, dans sa mise en scène de Prométhée, est de nous confronter à l'inssurection

purger la société de ses vices. Il abandonne le théâtre profane après les représentations de Phèdre, qui se trouve en concurrence avec une pièce sur le même thème. Il se consacre alors à des tragédies religieuses. Jean-Louis Martinelli est un lyonnais. Ainsi, il fonde en 1977 le Théâtre du Réfectoire, puis dirige le Théâtre de Lyon. A partir de 1992, il devint directeur du Théâtre National de Strasbourg. C’est en 2002 qu’il prend la tête du Théâtre Nanterre-Amandiers pour mettre en scène des auteurs

''Dans le théâtre classique, on désigne sous ce nom l'ensemble des contraintes selon lesquelles une pièce doit comporter une seule action principale (unité d'action), se déroulant dans un même lieu (unité de lieu), et dans l'espace d'un seul jour (unité de temps) : ''Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli / Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli'' (Boileau, l'Art poétique, Chant III, 1674). Tirée des commentaires italiens de la Poétique (VII) d'Aristote, cette règle s'est imposée dans

comique. Lorenzo retrace sa vie, exprime ses sentiments et pousse Philippe Strozzi à agir. Il se voit de garçon studieux à débauché, du projet d’assassiner Clément VII à un plus humble tyran : Alexandre.      Lorenzo raconte sa progressive déchéance : il a découvert qu'il ne pourrait sauver l'humanité des tyrans car, déçu, il pense que l'humanité entière est tyrannique. Lecture  ACTE III, SCENE 3 Extrait LORENZO — Suis-je un Satan ? lumière du Ciel ! je m’en souviens encore ; j’aurais pleuré