Le Vase Brisé

des roses, Les femmes et les fleurs sous leurs beaux pieds écloses ! - Ô grande Ariadné, qui jette tes sanglots Sur la rive, en voyant fuir là-bas sur les flots, Blanche sous le soleil, la voile de Thésée, Ô douce vierge enfant qu'une nuit a brisée, Tais-toi ! Sur son char d'or brodé de noirs raisins, Lysios, promené dans les champs Phrygiens Par les tigres lascifs et les panthères rousses, Le long des fleuves bleus rougit les sombres mousses. - Zeus, Taureau, sur son cou berce comme une

des roses, Les femmes et les fleurs sous leurs beaux pieds écloses ! - Ô grande Ariadné, qui jette tes sanglots Sur la rive, en voyant fuir là-bas sur les flots, Blanche sous le soleil, la voile de Thésée, Ô douce vierge enfant qu'une nuit a brisée, Tais-toi ! Sur son char d'or brodé de noirs raisins, Lysios, promené dans les champs Phrygiens Par les tigres lascifs et les panthères rousses, Le long des fleuves bleus rougit les sombres mousses. - Zeus, Taureau, sur son cou berce comme une

des roses, Les femmes et les fleurs sous leurs beaux pieds écloses ! - Ô grande Ariadné, qui jettes tes sanglots Sur la rive, en voyant fuir là-bas sur les flots Blanche sous le soleil, la voile de Thésée, Ô douce vierge enfant qu'une nuit a brisée, Tais toi ! Sur son char d'or brodè de noirs raisins, Lysios, promenè dans les champs Phrygiens Par les tigres lascifs et les panthères rousses, Le long des fleuves bleus rougit les sombres mousses. Zeus, Taureau, sur son cou berce comme une

( quoique l’affaire se passe en pleine  campagne, sans aucune  maison aux alentours), les  30 bordures  des  triangles  lumineuses,  éblouissantes,  le  bruit  (non  plus  celui  de  l’explosion  maintenant,  mais  de  quoi ?)  semblable  à  un  tintamarre  de  verre  brisé,  tandis  qu’une  bizarre  odeur  d’éther  lui  pince  les  narines.  Il  éprouve  toujours  tout  cela  en  un  instant  […]. (Les Géorgiques, 177‐178, italiques de l’auteur).    Il y a là relation de quelque chose qui est vécue comme une forme de perte 

Crusoé ! - ce soir près de ton Île, le ciel qui se rapproche louangera la mer, et le silence multipliera l'exclamation des astres solitaires. Tire les rideaux; n'allume point : C'est le soir sur ton Île et à l'entour, ici et là, partout où s'arrondit le vase sans défaut de la mer ; c'est le soir couleur de paupières, sur les chemins tissés du ciel et de la mer. Tout est salé, tout est visqueux et lourd comme la vie des plasmes1. L'oiseau se berce dans sa plume, sous un rêve huileux ; le fruit creux, sourd2

| |Quand je te vois passer, ô ma chère indolente, | |Au chant des instruments qui se brise au plafond | |Suspendant ton allure harmonieuse et lente, | |Et promenant l'ennui de ton regard profond ;

découverte une belle œnochoé de « faïence », avec un portrait de reine inscrit au nom de Bérénice Évergète. Mais au-dessous de cette sépulture, il y en avait une autre, beaucoup plus ancienne, avec des tessons attiques à vernis noir et un fragment de gros vase décoré de pétales noirs grossièrement dessinés sur fond orange : les deux tessons hellénistiques qu'on a recueillis ici avaient sûrement glissé de la sépulture supérieure, car c'est aux environs de 530 que M. Demargne place ce premier enterrement.

sous tout soleil, la Mort t'admireEn tes contorsions, risible Humanité,Et souvent, comme toi, se parfumant de myrrhe,Mêle son ironie à ton insanité!" L'amour du mensonge Quand je te vois passer, ô ma chère indolente,Au chant des instruments qui se brise au plafondSuspendant ton allure harmonieuse et lente,Et promenant l'ennui de ton regard profond; Quand je contemple, aux feux du gaz qui le colore,Ton front pâle, embelli par un morbide attrait,Où les torches du soir allument une aurore,Et tes yeux

avec lui de ce dont elle rêve sans cesse. Mais, non seulement il n’a pas de conversation, mais il ne peut pas écouter. Tout ce que peut lui dire Emma est tellement contraire à sa complexion qu’il ne le reçoit pas, pour ainsi dire. Le rêve d’Emma se brise sur lui, et pour cause, comme sur la réalité elle-même. Il est un mur compact, contre lequel les ailes d’Emma se heurtent à tout instant et se froissent. Il a pu, non point plaire, mais être accepté, comme lancé, parce qu’il représentait un changement

quelque chose qui n’avait jamais été réalisé. A la même époque où il reçoit la commande de la coupole, Brunelleschi réalise le portique de l’hôpital des Innocents (pour les enfants trouvés). Projet de 1419. Arc en plein cintre (abandon de l’arc brisé), colonnes, ordres antiques (chapiteau corinthien). On note aussi que les 9 arcades sont encadrées par des pilastres. On voit un entablement, un ordre. Au second niveau, une fenêtre à fronton est située au-dessus de chaque arcade. Portique élégant