Le Vi Des Amants

qui s'accentuent quand elle se révèle une vendeuse remarquable. Mal nourrie, mal payée, elle doit encore couvrir les dettes de son frère, et payer la pension de Pépé. Pauline, une de ses rares amies au Bonheur des Dames, lui suggère de prendre un amant, ce à quoi elle se refuse. Mais elle découvre que cette pratique est courante parmi les vendeuses et que la direction ferme les yeux tant que cela ne se passe pas dans le magasin. Elle prend connaissance des affaires de cœur du comptoir, surprend le

celle-ci, Alceste refuse et s'en va.   Acte 2 Scène 4 - La vérité sur les relations Célimène   Éliante rejoint Célimène. Cette dernière constate qu'Alceste est finalement resté. Il explique à Célimène, qu'il est tant qu'elle choisisse son amant et qu'elle dise la vérité sur ses relations (souvent opportunistes). Par les encouragements de Clitandre et Acaste, Célimène, commence à critiquer Cléonte, Damon, Timante, Géralde, Bélise, Adraste, Cléon et Damis. Alceste, outré par tant d'infamies

dénouement la honte et la mort. C’est de la morale en action, simplement.» I. RÉSUMÉ DU ROMAN Chapitre I Gervaise, originaire de Plassans, boiteuse arrive à Paris avec son amant, Lantier et leurs deux fils, Claude et Étienne. Chapelier de métier, Lantier est paresseux et infidèle, il finit par la quitter pour Adèle. Au lavoir, Gervaise est provoquée par Virginie, la sœur d’Adèle. Une bataille s’engage alors, dont Gervaise

décrire le comportement d'un sujet aimant face aux conséquences néfastes que cause la passion amoureuse. Dans "Le suicide de Didon", la folie est très présente avec différents termes : "desverie" vers 20127 et "fole" vers 2047, ainsi Didon profère "mar vi celui qui m'en fist don, come fole l'ai tant aimé, a grant contraire m'est torné". Cependant, dans "Les quatre degrés de la violente charité", un texte plutôt théorique, Richard de Saint-Victor analyse précisément les différents degrés de la passion

reste puisse exister. - le doute naît : une période douloureuse - seconde cristallisation, nouveaux charmes. Il faut retenir la notion de cristallisation amoureuse car on voit toute l’opposition entre l’amour de Stendhal et l’amour courtois où les amants seraient promis l’un pour l’autre pour la vie (Roméo et Juliette, Tristan et Iseult). Mais quand on introduit le doute, le fait que l’imagination fabrique l’autre, tel qu’il se l’imagine, la légitimité de l’amour se trouve questionnée et c’est l’intérêt

Corneille (à compléter par la lecture de l’Avertissement) Rappeler que Rodrigue est un héros mi-historique mi-légendaire : Ruy Diaz de Bivar (XIe siècle) : • Il servit Ferdinand Ier de Castille, puis ses fils Sanche et Alphonse VI. • Banni par Alphonse VI, il se battit tour à tour pour les chrétiens et contre eux. • A la fin de sa vie, il défendit le royaume de Valence contre les Mores et devint ainsi un héros de la Reconquête. Ses exploits ont été chantés dans une chanson de

se dément pas. Les artistes, dans les coulisses, se croisent et se toisent, se racontent les dernières rumeurs : on dit que Nana intéresse beaucoup le Prince et est désirée par de nombreux hommes : elle est devenue le « rêve de Paris ». Chapitre VI : L’action se déplace à la campagne : aux Fondettes, les Muffat rendent visite à la famille Hugon tandis que Nana arrive à la Mignotte avec Steiner qui vient de lui offrir cette maison de campagne. C’est rapidement le point de convergence des prétendants

et son frère à Loisy. En revenant vers Montagny, il s’égare vers la forêt d’Ermenonville. À l’aube, il découvre un couvent tout proche. Adrienne y vit-elle ? Il va revoir Sylvie, qui lui propose de rendre visite à sa vieille grand-tante à Othys. VI — Othys. « C’est mon amoureux ! », c’est ainsi que le narrateur est présenté à la grand-tante. Cette dernière les régale de mets savoureux. Sylvie dérobe la clef d’un tiroir toujours fermé. Les deux amoureux montent dans la chambre, trouvent dans le

après les lettres de Rodolphe et de Léon. Finalement, Berthe retrouva son père mort sur un banc au fond du jardin. IV C'est u roman qui se deroule sur plusiers annes, debutant aux années college de Charles Bovary et finnissant par sa mort.0 VI Emma Bovary est un personnage principal du roman, la Madame Bovary du titre. C'est une jeune femme de la petite bourgeoisie de province qui va epouser à un jeune âge Charles Bovary, un médecin avec qui elle eut un enfant, Berthe. Déçue par son mariage

comprend : le Culex («moucheron» ou «moustique») : ce moucheron (ou moustique) alerte un berger en le piquant, lui sauve la vie ; l'insecte mort se voit honoré d'une tombe par le berger ; les Dirae : ces «malédictions» sont prononcées par un amant contre la terre qu'il a dû abandonner (chassé par des vétérans de l'armée romaine), en abandonnant sa bien-aimée; celle-ci, Lydia, est honorée par un poème d'amour portant son nom (en annexe aux Dirae), avec un éloge de la campagne où elle vit ;