Le Vieux Cordelier

manger ; qu’il n’en dort plus, et qu’il en mourra ? – Mais mon papa. – Bon, bon ; votre papa ! il s’en fâchera d’abord un peu. – Et maman qui me recommande tant d’être honnête fille ? qui me dit qu’il n’y a rien dans ce monde que l’honneur ? – Vieux propos qui ne signifient rien. – Et mon 42 confesseur ? – Vous ne le verrez plus ; ou si vous persistez dans la fantaisie d’aller lui faire l’histoire de vos amusements ; il vous en coûtera quelques livres de sucre et de café. – C’est un homme

Nicolette Aucassin est un drôle de jeune chevalier : à l’âge où dans tous les récits, tous les romans, ses semblables rêvent d’en découdre avec tous les ennemis de la terre, lui, Aucassin, fils du vieux comte Garin, n’a qu’un rêve : la douce, la belle Nicolette, captive Sarrasine du comte voisin. Le vieux Garin refuse d’entendre parler de cette Nicolette et décide de la faire mettre à mort après avoir jeté Aucassin au cachot ! Aucassin pleure, ne cesse de geindre à chaque page. Il finit par être délivré

son père ; il vint recueillir ses derniers soupirs. vice-amiral se réconcilia avec lui et l'embrassa avec tendresse, quoiqu'il fût d'une différente religion ; Guillaume l'exhorta en vain à ne point recevoir le Sacrement et à mourir quaker ; et le vieux bonhomme recommanda inutilement à Guillaume d'avoir des boutons sur ses manches et des ganses à son chapeau. Guillaume hérita de grands biens, parmi lesquels il se trouvait des dettes de la Couronne, pour des avances faites par le vice-amiral dans

Nicolette Aucassin est un drôle de jeune chevalier : à l’âge où dans tous les récits, tous les romans, ses semblables rêvent d’en découdre avec tous les ennemis de la terre, lui, Aucassin, fils du vieux comte Garin, n’a qu’un rêve : la douce, la belle Nicolette, captive Sarrasine du comte voisin. Le vieux Garin refuse d’entendre parler de cette Nicolette et décide de la faire mettre à mort après avoir jeté Aucassin au cachot ! Aucassin pleure, ne cesse de geindre à chaque page. Il finit par être

1795-novembre 1799) Jaurès revendique l’héritage de Robespierre. B) Quelques grandes figures • « le bon, la brute et le truand » - Georges Danton (1759-1794 -> guillotiné par Robespierre). C’est un des grands ténor du Club des Cordeliers, l’homme de « la patrie en danger ». Terroriste au début avec Robespierre, il deviendra indulgent à partir de 1793. -Robespierre (1758-1794 -> guillotiné) : Pendant l’Assemblée Constituante, il est connu mais sans plus. Il est repéré mar

régime totalitaire arrive à son paroxysme il a mis en place un système de méfiance généralisée. Même au sein du pouvoir il y a des épurations internes exemple de « la nuits des longs couteaux » en Allemagne, et en URSS avec les trotskiste et les cordeliers pendant la révolution française. Cette suspicion généralisée est maintenue par un régime policier hypertrophié. La police est partout soit de manière visible soit de manière suspecte. Le pouvoir organise des grands procès ou des séances d'humiliation

sentir et de pratiquer le christianisme. Qui, n’ayant pu être ni écrasée dans l’œuf, ni avalisée telle quelle, ni digérée à l’amiable par les chefs de l’Église devint, de ce chef et tout naturellement, une religion nouvelle, une branche nouvelle du vieux christianisme. Et la génératrice sinon d’une nouvelle race d’hommes, du moins nouvelle variété de l’espèce chrétienne : la variété luthérienne. Moins tranchée sans doute dans son apparence extérieure, moins abrupte, moins faite pour se répandre hors

modeste, plutôt marginale avec des exceptions comme Goliath avec le Beowulf, le géant Grandel qui est plutôt un ogre de grande taille. Les véritables exceptions se trouvent chez les germaniques et les scandinaves tels que consignés dans les Eddas en vieux norrois, proche de l’islandais. Là, il est souvent question de géants au rôle important, qui sont dépeints comme de proches parents des Dieux : le plus célèbre Loky, et d’autres comme Aegir et la géante Skavi. Ils ont une grande importance. La mythologie

Transite ad inferos Ubi ? iam fuere ! »261 Le plus vieux motif attaché aux réflexions sur la Mort dans l’œuvre de Villon est celui qui est évoqué dans les publications par une phrase latine Ubi sunt. Autrement dit, il s’agit des réflexions mélancoliques sur l’évanescence de la gloire de ce bas monde (Sic transit gloria mundi – Ainsi passe la gloire du monde) qui prennent l’exemple des hommes du passé fameux et puissants.262 Ce thème est un de plus vieux topoi présents dans la poésie de Villon, avec ses

qui se méfient de Paris qui a pris un poids considérable depuis le 14 juillet. Ils veulent renforcer le pouvoir de la province. A gauche, on trouve les Montagnards représentés par Saint-Just, Danton, Marat, Robespierre (club des jacobins ou des Cordeliers). Ils s’appuient sur Paris. Au centre, on trouve le Marais ou la Plaine. Ces députés rejoignent les Girondins ou les Montagnards selon les questions débattues. De fin septembre à début octobre, une grande question fait débat : que faire du roi