Le Vote Est Il Encore Une Expression Démocratique

Cependant l'évolution du régime remet en question la légitimité d'une irresponsabilité politique absolue du chef de l'Etat, la réforme de 2007 allant vers la mise en place d’une responsabilité présidentielle. Ainsi, dans quelle mesure peut-on encore parler d’irresponsabilité du Président de la République ? La tradition républicaine française, et la Constitution de 1958 a consacré le principe d’irresponsabilité du Président de la République (I), cependant la réforme constitutionnelle du 23

représentants du peuple), c’est un régime non parlementaire (il n’existe pas de responsabilité du gouvernement devant le parlement) où la séparation des pouvoirs est stricte. On parle généralement en France de « séparation rigide des pouvoirs », cette expression est acceptable pour définir le régime américain dans la mesure où les pouvoirs exécutif et législatif existent indépendamment l’un de l’autre, et qu’ils ne cherchent pas à mettre fin à l’existence de l’autre puisqu’il n’y a ni responsabilité de

au MANIEMA (RDC) ».   1. Problématique de l’étude Les élections présidentielles et législatives du 30 juillet 2006 ont marqué un pas important dans l’histoire de la République Démocratique du Congo. C’était un moment d’euphorie qui a fait participé la grande majorité de la population à ce processus. C’était un moment de satisfaction et de joie de remarquer que, même avec toutes ses faiblesses et ses défis logistiques, le jour des

camerounaise prévoit principalement dans son article 63 une procédure de révision qui laisse place à une initiative partagée du Président de la République et des membres du Parlement. Cette initiative peut être menée à son terme par le truchement soit d’un vote à la majorité absolue des membres du Parlement réuni en Congrès (voie normale) soit d’une adoption du texte par référendum (voie exceptionnelle) ; le choix étant discrétionnairement arrêté par le chef de l’Etat. La pratique de la révision met en valeur

politique publique. Les politiques publiques peuvent être envisagées sous deux angles complémentaires. 1er angle, elles peuvent être qualifiées en fonction de ceux qui les proposent ou qui les mettent en œuvre, on parlera alors de politique socialiste ou encore américaine. 2nd angle, elles peuvent être envisagée en fonction de leur objet, de ce à quoi elles s'appliquent, on parlera alors de politique environnementale, culturelle... La politique a un second sens, c'est la compétition entre ceux qui souhaite

l'institutionnalisation du pouvoir. Qui est le vrai titulaire du pouvoir? Le peuple, mais cette réponse était trop démocratique. § 2- La souveraineté appartient au peuple ou à la nation en effet, la réponse la plus simple serait de dire que le peuple détient la souveraineté, et donc les gouvernants sont légitimes car ils exercent le pouvoir au nom du peuple, mais cette réponse était trop démocratique pour les révolutionnaire français de 1789 (propriétaire de terres), ils ont cherché à justifier le pouvoir

autour de l’acte électoral. Pr les philosophes des Lumières, pour ceux qui discutent de la constitution à donner à la France, les constituants réfléchissent à la place que doit avoir l’électorat. Il n’y a pas de démocratie représentative sans peuple qui vote. Cette démocratie représentative qui a plus de 200 ans d’histoire connait depuis plusieurs décennies une crise de la représentation politique. 3 questions : de quoi s’agit-il ? de quoi parle-ton qd on parle de crise ? est-ce que cette idée de

concepts démocratiques que sont la démocratie des droits, la démocratie d’opinion ou la démocratie de participation. Ces nouvelles formes de démocratie qui concurrencent la démocratie représentative ne seraient pas des simplement des développements postmodernes de celle-ci mais bien les principales illustrations de sa fragilité. En effet, selon l’auteur, elles occupent une place grandissante dans notre société sans forcément répondre aux exigences de légitimité et d’effectivité démocratique. Il analyse

le droit, la dignité du peuple. Cette phrase de Hugo nous rappelle en somme à quel point la réflexion sur les rapports et les antagonismes de ces trois notions d'Etat, de Nation et de souveraineté constitue un enjeu dans un régime qui se veut démocratique. On peut définir l'Etat, de façon minimale, comme une personne en droit international, et une institution exerçant son contrôle politique sur un territoire et une population donnée. Une précision sur les modalités et les conditions de ce contrôle

: Les métropoles. La législation a évolué récemment, et sera appliqué en mars 2014. Dans les communes de plus de 1000 habitants a était reconnu le principe de fléchage : Les conseillers municipaux seront mentionnés explicitement sur le bulletin de vote. SECTION 2 : UN ETAT UNITAIRE DECENTRALISE I) Définition La déconcentration est une technique consistant à transférer au sein d'une même institution le pouvoir de décision d'une autorité supérieure vers une autorité hiérarchiquement inférieur que