Le Vote Est Il Encore Une Expression Démocratique

démarche scientifique d’étudier la société. Le principal fondateur, en France, de la sociologie est Emile DURKHEIM (début du 20ème siècle) mais d’autres auteurs antérieurs, comme Montesquieu, faisaient déjà de la sociologie alors que le terme n’était pas encore apparu. Emile DURKHEIM, dans son ouvrage Les Règles de la méthode sociologique (1895) : • Enonce les règles de base de la méthodologie de la sociologie • Insiste sur la nécessité d’écarter les préjugés qui ne contribuent qu’à obscurcir l’analyse.

loi est donc un acte de souveraineté, une œuvre de perfection inspirée par la déesse Raison. Elle est en effet conçue comme le véhicule de la souveraineté et de la légitimité du pouvoir politique – sans la loi donc, point de salut pour un régime démocratique. Même si le mythe de la loi semble demeurer dans l’inconscient juridique collectif, l’on doit tout de même constater qu’elle a été l’objet de nombre de mutations et de remises en questions durant l’expérience constitutionnelle postrévolutionnaire

cela ne permet pas de remplir les critères d’une démocratie. Même à travers le Parlement et les parlementaires, « la volonté générale » ne représente en rien la volonté des électeurs et mais celle de la nation. Or il est important de préciser que le vote des femmes a été mis en place dans les années 1940. A posteriori, donc à partir de la constitution de 1958, on assista à une mutation du pouvoir exécutif sur le législatif. Le parlement qui était à la base au centre de la politique, se voit prendre

conformément à la convention ».  L’Espace aérien : le territoire aérien est l’espace atmosphérique qui couvre le territoire terrestre et maritime. Il est soumis à la souveraineté absolue de l’Etat. Ce dernier est libre d’autoriser, d’interdire ou encore de réglementer le survol de son territoire aérien. Les seules limitations existantes à la souveraineté étatique résultent des conventions en vigueur et des compétences de l’organisation de l’aviation civile internationale dans le domaine de la navigation

politiques. Doc B et C p. 8 cahier ex Questions : 1 – Le droit de vote a-t-il toujours été un droit pour tous ? Au départ, en 1791, il ne concerne que les citoyens les plus riches, de sexe masculin, payant un impôt direct minimal. Le suffrage devient universel en 1848 (constitution de la II république) mais il est encore masculin. Il faut attendre 1944 pour que les femmes accèdent au droit de vote. 2 - Qui dispose aujourd’hui du droit de vote ? Tout français a, dès 18 ans et sauf incapacité civile ou

mi chemin ou au 2/3 comapre a Aristote il a vecu avant les 2 grandes revolutions du 18eme siecle Revol Americaine et Francaise fruit dune revendication liberale et democratique le pvr doit etre modere sphere de liberte individuelle a laquelle il ne doit pas porter atteinte dimension liberale chez Montesquieu Democratique pas chez Montesquieu, developpee ulterieurement celle qui a donne naissance aux USA constituions modernes resultats des diff revendications les deputes representent

position. Certes la constitution renferme un catalogue complet de droits fondamentaux mais ne les protège pas suffisemment contre les atteintes par les individus. En effet aucune dispositions concrètes sont mises en place pour garantir la libre expression ou encore libre circulation des individus. Par exemple, l'article 48, en application des pleins pouvoirs, permet au président du Reich de l'abroger – une anomalie dont Hitler fera usage après sa prise de pouvoir. De ce faite une garantie des droits

aux nombres de quatre : l’égalité politique, le referendum obligatoire sur la constitution, l’initiative populaire sur la constitution, et enfin le droit de vote des confédérés. De ce fait, dans les limites que trace la constitution fédérale, chaque canton détermine à son gré la composition et les compétences de son corps électoral mais encore plus il détermine les modalités d’exercice des droits politiques, donc des droits populaires. Les constitutions cantonales doivent comme on l’a vu respecter

écrit. En outre, cette distinction était assez largement imparfaite parce que plusieurs disciplines sont difficiles à classer (ex : le pénal ( droit public). De la même manière, l’apparition de nouvelles disciplines à la frontière des deux droits a encore brouiller cette distinction : droit communautaire. Cela signifie que le droit constitutionnel tel qu’il est entendu maintenant, c'est-à-dire comme un véritable droit créant des obligations contraignantes, est nécessairement un droit qui va servir

définis par les citoyens et pour les citoyens. Cela implique donc que les citoyens puissent bénéficier d’une liberté de choix politique. Cela implique l’existence du pluralisme politique, et cela suppose la reconnaissance de certaines libertés : expression, pensée, association, culte. Il ne doit y avoir ni censure ni monopole d’une opinion sur une autre. Tout le monde doit pouvoir voter librement et voter pour qui il l’entend. Cela implique l’existence d’une opposition politique et une remise en jeu