Le Voyage Apprend La Tolérance

créés égaux ; qu'ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables ; que parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la poursuite du bonheur. » Aujourd'hui, nous continuons un voyage sans fin pour concilier le sens de ces mots avec les réalités de notre époque. Car l'Histoire nous apprend que, bien que ces vérités puissent être évidentes en elles-mêmes, elles n’ont jamais été exécutées par elles-mêmes ; que bien que la liberté soit un don de Dieu, elle doit être fixée par Son peuple

humanistes. Pourtant, Amine ne survit pas au voyage initiatique qui le mène vers son destin tragique. Avant de mourir, il véhicule néanmoins un message fort : « Tout Juif de Palestine est un peu arabe et aucun arabe d’Israël ne peut prétendre ne pas être un peu juif » (p. 233). Si Amine meurt d’un conflit qui le dépasse, l’auteur véhicule à travers lui un message de paix et de tolérance. Sihem Jaafari La femme d’Amine est une palestinienne dont on apprend qu’elle a secrètement intégré les rangs

qui sera l'essentiel du conte. Formosante ne se mariera avec Amazan qu'après une course-poursuite à travers l'Orient et l'Occident. Interprétant l'oracle, Onadase met en marche le processus (p.33). Le tableau permet de visualiser l'importance du voyage proprement dit (éloignement) qui recouvre le plus grand nombre de chapitres. Nous y voyons les deux héros se poursuivre. Les motifs de départ sont lestement expédiés et le retour lui-même ne couvre pas en réalité la totalité du dernier chapitre.

qui sera l'essentiel du conte. Formosante ne se mariera avec Amazan qu'après une course-poursuite à travers l'Orient et l'Occident. Interprétant l'oracle, Onadase met en marche le processus (p.33). 4. Le tableau permet de visualiser l'importance du voyage proprement dit (éloignement) qui recouvre le plus grand nombre de chapitres. Nous y voyons les deux héros se poursuivre. Les motifs de départ sont lestement expédiés et le retour lui-même ne couvre pas en réalité la totalité du dernier chapitre. 5

concilie l’inconciliable, le riche et le pauvre, l’invalide et le bien-portant, le placide et le vanner, l’esthète et le profane. Ces deux univers au premier abord si opposés vont se rencontrer et chacun va apprendre de l’autre. Le jeune de banlieue apprend (entre-autre) l’art auprès de l’esthète. Philippe, lui, s’ouvre à une vision du plaisir des choses simples qui lui était étranger et reprend goût à la vie. Philippe connaît l’étendue de sa richesse et du « pouvoir » qu’elle lui confère, mais il aspire

la touche tout particulièrement. En outre, issue d’une famille nombreuse, des valeurs de partage lui ont toujours été inculqués, c’est pourquoi il lui semble important d’aider les malgaches et de leur offrir son savoir-faire. De plus, ces nombreux voyages en Afrique lui ont permis de connaître et de s’attacher aux coutumes des autochtones des pays de ce beau continent. Filipe : Trésorier, actuellement en train de terminer son bachelor à la HEG de Genève, en section économie d’entreprise. A finalisé

valeurs fondamentales de cette organisation, basée sur la fraternité. Qui ne s'est pas retrouvé, un jour, au fin fond d'un pays étranger ? La rencontre avec un compatriote devient le prétexte à une fraternisation naturelle. Celui-ci devient un frère de voyage pour une durée limitée : En exemple, les voyageurs du chemin de Compostelle qui se reconnaissent grâce à un signe ostentatoire comme la coquille, le bourdon et la pèlerine. Aujourd'hui, c'est par le K-WAY, le téléphone portable ou le MP3 avec son

L’humanisme va s’étendre en premier lieu en Allemagne et en Autriche. En Allemagne, la diffusion se fait à l’aide de Johannes Rauchlin qui a voyagé à Florence et qui s’oppose à Maximilien Ier qui interdit tout autre ouvrage hébraïques que le Bible. Rauchlin énonce le fait que ces textes interdits font partis du patrimoine de l’homme. En Autriche c’est grâce à Erasme, le chef de file de l’humanisme

Siècle de Louis XIV, 1752 Micromégas, 1756 Poème sur le désastre de Lisbonne, 1756 Étude sur les mœurs, 1759 Candide, 1762 La Pucelle d'Orléans, 1764 Ce qui plait aux dames, 1764 Jeannot et Colin, 1767 Traité sur la tolérance, 1766 Le Philosophe ignorant, 1767 L'ingénu, 1771 Les lettres de Memmius, 1772 Il faut prendre un parti, 1775 Le Cri du Sang Innocent, 1776 De l'âme, 1777 Dialogues d'Euhémère, Candide, ou l’Optimisme est un conte philosophique

l’école normale d’instituteurs de Nice, il est mobilisé en 1915, blessé en 1917 (voir son livre, Touché, souvenirs d’un blessé de guerre). Nommé instituteur en 1920, il s’intéresse tout de suite au renouveau pédagogique : visite des écoles de Hambourg, voyage en URSS en 1923, participation au congrès de la Ligue internationale pour l’éducation nouvelle ou il rencontre Ferrière, Claparède et Bovet. Il diffuse sa première innovation, le texte libre imprimé par les enfants eux-mêmes, grâce à des conférences