Le ça Le Moi Et Le Surmoi

autres désirs, qui donne sa force à la raison le Moi est tiraillé entre ses désirs inacceptables venus de son tréfonds (le Ça) et les exigences sociales venues de l’extérieur et incarnées par le Surmoi. C’est le Surmoi qui impose au Moi et au Ça le respect des lois morales et sociales. Moi | Surmoi | Ça | Instance psychique centrale, tiraillée entre le Ça et le Surmoi | Père intériorisé, instance psychique qui représente les impératifs sociaux et les impose au Moi | Désir primitif, aveugle

dans le cadre théorique mais voir comment le théorique évolue de façon permanente. L’inconscient est centrale : idées, comportement… Freud va opérer la révolution, l’inconscient serait le chef d’orchestre du fonctionnement psychique : Ca, Moi et Surmoi. « Le Moi n’est pas maître de sa demeure » La psychanalyse ne se résume pas à la découverte de l’inconscient, l’inconscient n’a pas de localisation cérébrale (Freud a essayé de trouver sa localisation). L’inconscient ne peut pas être visualisé

manière personnelle. Dépasser le stade oedipien est un long chemin d’intégration de la personnalité. Pour Freud c’est le complexe de castration survenant au sortir de cette période qui amènerait l’enfant à une période de latence puis de formation du Surmoi. Pour autant, faut-il obligatoirement que le père représente une menace de castration en réprimant la sexualité par son autorité pour qu’un petit garçon marque la fin de son oedipe ? C’est probable mais je pense qu’il est nécessaire de garder une

bien métapsychologique (surmoi), cliniques (hallucinations, passions) que processuel (identification). L'auteur propose ici en prenant appui sur sa pratique clinique et les quelques éléments théoriques épars existant dans les textes de S. Freud et de J.Lacan de proposer une lecture - d'une part, du rôle de la pulsion invocante dans la naissance du sujet et dans la dynamique de la cure, et - d'autre part d'esquisser les destins de la voix conduisant à la constitution du surmoi. Pulsion invocante et

non-plaisir. C’est là qu’il conçoit les termes de « pulsion de vie » et de « pulsion de mort ». 1923 : Freud écrit « Le Moi et le Ca ». Cela va l’amener à raffiner sa théorie en disant qu’il existe le « moi » qui est la partie consciente ainsi que ses mécanismes inconscients. Le Ca est la partie inconsciente du psychisme. Il rajoute une 3eme instance : le « Surmoi » qui elle aussi est inconsciente. C’est une instance interdictrice qui serait provoquée par l’acquis des interdits que l’enfant a

censure (ou refoulement) pour accéder à cette "zone" accessible à l'attention de la conscience. En 1920, Freud établit une seconde topique comprenant elle aussi trois structures : le ça, réservoir de pulsions inconscientes ; le moi, correspondant à notre centre d'adaptation à la réalité (la conscience) ; enfin le surmoi, intériorisation des interdits et des règles parentales, qui fonctionne comme une instance morale sévère exerçant une partie de la censure (ou refoulement) et représente notre moi idéal

années 1920, Freud distingue trois instances de la personnalité psychique : le ça, le moi et le surmoi. 1) Le ça. Le ça est proprement l’inconscient. Il est constitué par l’ensemble des productions psychiques, issues de l’activité pulsionnelle et ne pouvant jamais parvenir à la conscience parce qu’elles se heurtent à des impératifs moraux et sociaux. Elles sont donc l’objet d’un refoulement. Le ça désigne tous les représentants psychiques liés aux deux grandes forces pulsionnelles

conscience de soi ne constitue qu'une petite part de l'activité du psychisme humain et que le moi est loin d'être le "maître dans sa propre maison". Au contraire, il est tiraillé entre les exigences de trois despotes : le monde extérieur , le surmoi et le ça. Texte 1. La psychanalyse décentre l'homme du moi. Trois grandes révolutions ont renouvelé notre représentation de l'homme : La révolution copernicienne qui sera à l'origine de la révolution scientifique du XVII° siècle. Celle-ci nous fait

contenus inconscients sont régis par des mécanismes spécifiques. Nous avons déjà évoqué le refoulement, la résistance, la censure. Il faut ajouter ce travail opéré dans et par l’inconscient pour déguiser les désirs sous des formes acceptables par le Surmoi et susceptibles de franchir la barrière de la censure. L’analyse des rêves a permis à Freud de mettre en évidence deux processus travaillant en ce sens : - le déplacement, par lequel l'énergie pulsionnelle se déplace d'une représentation à l'origine

du point de vue de la raison => parfois très neutres. => insensé. Il faut passer au sens latent : cohérence, désir et sens. Interprétation : passage du sens manifeste au sens latent. - patients à qui il dit ça, ne reviennent pas => c’est au patient d’interpréter ces rêves. Psychanalyste : amener le patient à comprendre ce dont il ne veut pas entendre parler, comprendre le sens profond de ce qu’il lui arrive. => bouleverse la médecine : le patient