Le ça Le Moi Et Le Surmoi

dans les années 1920, Freud distingue trois instances de la personnalité psychique : le ça, le moi et le surmoi. 1) Le ça. Le ça est proprement l'inconscient. Il est constitué par l'ensemble des productions psychiques, issues de l'activité pulsionnelle et ne pouvant jamais parvenir à la conscience parce qu'elles se heurtent à des impératifs moraux et sociaux. Elles sont donc l'objet d'un refoulement. Le ça désigne tous les représentants psychiques liés aux deux grandes forces pulsionnelles traversant

la conscience ». La deuxième topique est celle du Ca, du Moi et du Surmoi. Le ça est le réservoir des pulsions sexuelles, de vie, agressives, de mort, dangereuses pour soi, autodestructives. Le surmoi ou le moi idéal est l’ensemble des interdits de la société, du milieu éducatif. Ces interdits sont intériorisés et représentés par les figures parentales. Le moi est une instance en partie consciente qui cherche à surmonter les exigences du surmoi, une instance entre les pressions des autres.

quelque chose qui se présente comme passé, sans cependant entrer dans le champ de la mémoire consciente. La jeune femme refoule ses sentiments, elle est en fait amoureuse du mari de sa sœur, ses sentiments se manifestent dans le ça et deviennent douleur à cause du surmoi, selon les codes moraux courants elle ne peut pas être amoureuse de cet homme. Après verbalisation de la névrose, la résistance apparaît, et la chute se fait par le transfert, l’action de rejeter tous ses sentiments sur le psychanalyste

Satiété : le message décrit le plaisir à venir de façon à rendre l besoin d’acquisition immédiat. Les trois instances de la personnalité : • le « ça » : réservoir des pulsions et des refoulements. Il échappe totalement à notre conscience. LA publicité fait remonter à la surface ce qui peut être enfouie, pour nous permettre de mieux l’assumer. • le « surmoi » : l’intériorisation de nos interdits, des forces répressives que l’individu a rencontrées au cours de son éducation, de sa vie en société. Il

personnalité. entre les LA PSYCHOSE trois Origine : Le Moi prend le parti du Ça et destruction de la réalité du Surmoi. Il y a alors création d’une néoréalité extérieure que le patient considère comme la réalité ellemême. C'est-à-dire la mise en place d’un délire bâti sur les exigences du Ça. Le Moi (Fonction synthétique de la personnalité) prend le parti du Surmoi (intériorisation des interdits) pour combattre les pulsions du Ça. Il y a alors un contrôle et une interdiction de tous les plaisirs.

elle distingue le Ça, pôle pulsionnel inconscient de la personnalité, le Moi et le Surmoi. Le Moi doit assurer une adaptation à la réalité, là où le Ça ne se préoccupe pas des contraintes extérieures. Mais, le Moi est aussi le responsable de nombreuses « défenses » pathologiques. Le Surmoi est, entre autres, l'intériorisation de l'interdit parental. Freud voyait l'émergence du Surmoi comme tardive dans la vie infantile, mais des psychanalystes comme Melanie Klein ont pensé le Surmoi comme existant très

environnement Aspect fonctionnel des processus mentaux : L’important est de savoir comment fonctionne le psyché. Pas ce qu’il contient. Pourquoi ça fonctionne comme ca Caractère adaptatif des processus mentaux : ? On veut savoir cela pour s’adapter à l’environnement. Fait appelle à l’évolution de l’espace humain. Pk? Théorie de l’évolution! Ex: pourquoi ca fonctionne comme ca? Parce que c’était la meilleur façon de répondre a un besoin (évolution de la vue ou de l’oui par exemple) William James : Fondateur

du caractère et ses volontés. CA : Réservoir chaotique des pulsions les plus puissantes qui ne sont pas intégrés au « moi » et qui sont donc en grande partie inconsciente. Le « ca » sollicite le « moi » pour qu’il l’autorise à se satisfaire. Le « moi » est une sorte de digue face au « ca » . L’IDEAL DU MOI : C’Est-ce à quoi on veut s’identifier. LE SURMOI : L’autorité social intériorisée sous la forme d’interdits. Le « surmoi » inhibe, refoule les pulsions du « ca » qui doivent être interdits.

notion de « Ca ». Le « Ca » est un concept, il ne connait ni normes (interdit ou exigence), ni réalité (temps ou espace). Il serait régi selon Freud par le simple principe du plaisir, d’une satisfaction immédiate. C’est un élément de notre inconscient qui se confronte au « Surmoi ». Pour vous éclairer, le « Surmoi » né lors de la résolution du complexe d’Œdipe où l’enfant prend en compte les interdits posés par le père, et l’interdit de l’inceste. Il filtre les pulsions immédiates, le « Ca », grâce

Annexe 25: Inconscient, conscience, déterminisme et liberté. Freud et Sartre.1. L'inconscient. Analyse de la notion, premières tentatives de fixation conceptuelle. Le mot d'"inconscient" apparaît fréquemment dans nos usages quotidiens: on qualifie en effet d'"inconsciente" la personne qui ne se rend pas compte du danger qu'elle court ou du danger qu'elle fait courir aux autres (en allumant par exemple un feu en forêt en plein été). Pourquoi parle-t-on de cette personne comme d'un "inconscient"