Le ça Le Moi Et Le Surmoi

Déséquilibre pulsionnel dû à la puberté entre le ça et le Moi. Le ça va affaiblir le Moi. Donc faible tolérance à la frustration -> plaisir immédiat Angoisse qui conduit à une rigidification des défenses. Le Moi met en place défenses rigides (anorexie, toxicomanie…) L’aboutissemt de la puberté ne se fait pas par diminut° pulsions, il est permis par la tolérance ou l’intolérance du Moi à l’égard de ces pulsions. Relations différentes que le Moi va établir avec le ça 2 modes de réponse (défenses) à ces pulsions :

réalité, mais aussi avec les pressions contradictoires du surmoi et du ça. Le surmoi, c'est la censure inconsciente faite par les interdictions morales, familiales et sociétales, c'est à dire le fruit de notre éducation. Le ça, c'est la dynamique aveugle des pulsions vitales, animales, et des désirs refoulés, qui tentent de faire jour en trompant le surmoi. Il semble assez évident que le surmoi est le résultat de notre éducation, et que le ça est notre partie animale restée en nous. Cette thèse se

inconscient pour qualifier le ça (es), mais aussi pour une part le moi (ich) et le surmoi (überich). Le ça, totalement inconscient est le réservoir des instincts primaires, des pulsions, des désirs refoulés. Il est régi par le seul principe de plaisir. Le moi, qui constitue la conscience, a pour fonction de se défendre contre les pulsions du ça (mécanismes de défense) ou de les adapter aux conditions imposées par le monde extérieur. Il est donc régi par le principe de réalité. Le surmoi qui est formé par l’intériorisation

la mort de Betty et à la solitude de Zorg. Nous pouvons facilement diviser le film en deux parties : la première où la folie de Betty ne se manifeste pas évidemment et la deuxième où Betty est totalement incontrôlable et au-delà de la puissance du surmoi. Le déménagement de chez Lisa à la maison de la mère d’Eddy sert de repère de cette division. Mais Betty, qui nous semble juste un peu capricieuse et enfantin, comment se fait-il qu’elle devient impulsive et incontrôlable avec le développement du

psychisme humain : le Ca qui correspond et contient les pulsions, c'est tout ce qui est involontaire, spontané, il ne connait ni morale, ni temps. Le Moi qui se développe au contact de la réalité extérieure mais une grande partie de ce moi est inconsciente. Le Surmoi ou l'idéal du moi, issu des rapports de l'enfant avec ses parents et la societé. Il représente les interdits sociaux intériorisés. . Ainsi le moi, coincé entre le Ca, régi par le principe de plaisir, et le Surmoi, régi par le principe

l’homme est une âme et qu’il soit maître de « lui-même ».En effet, selon lui, l’homme serait composé de trois « personnalisées » : le surmoi, le ça et le moi. Le Surmoi est un phénomène qui se réaliserait de la naissance jusqu'à l’âge de cinq ans. L’enfant hérite de l’instance parentale, groupale et sociale et emmagasine une quantité de règles de savoir-vivre. Le Ça est associé au principe de plaisir et de la satisfaction immédiate. Le Moi quant à lui est ce qui représente la plus grande partie de

tombe malade en raison du conflit entre les revendications de la vie pulsionnelle et la résistance qui s’élève en lui entre elle. Le surmoi : la conscience morale, idéal du moi. La mélancolie (dépression intense et très profonde) et la manie (exaltation, excitation constante sans contraintes). Le surmoi est l’héritier du complexe d’Œdipe, du surmoi des parents. Le ça : la partie obscure de notre personnalité, ouvert le somatique Voir schéma 2 Ce qui nécessite ce fonctionnement : l’angoisse : avec

conscience, il contiendrait trois instances : le « ça », le « moi » et le « surmoi ». Le « ça » et le « surmoi » seraient inconscients, contrairement au « moi » qui, lui, serait conscient. Le « ça » représenterait le pôle pulsionnel, instinctif. On y retrouverait toutes les pulsions, les désirs primitifs, souvent à connotation sexuelle. Il est antisocial, anticulturel, ne supporte pas règles et les interdits, son seul but étant de se faire plaisir. Le « surmoi », lui, n’est pas naturel. Totalement bâti sur

mauvais éveille en lui l’angoisse de persécution. (rancune du à la frustation,haine du à la résignation etc) Les pulsions destructrices à l’égard d’un autre provoque le sentiment que l’autre pourra devenir hostile. soi : personne entière = moi + ca+ surmoi le moi est dans le soi, le moi existe est fonctionne dès la naissance. Le moi est à l’origine de l’introjection et la projection. un enfant qui accepte de se nourrir montre que l’enfant est capable de surmonter la frustration. introjection

rejet des exigences pulsionnelles par la censure ou le surmoi. Il s’agit d’éléments pulsionnels de la sexualité. Il y a des représentations psychiques qui ne peuvent devenir consciente. Ces représentations sont à l’Etat de refoulement, il y a une force qui les maintient enfermées. Quelle est cette instance de censure ? Au « moi » cohérent s’ajoute des éléments psychiques dont le « moi » ne prends pas conscience. - nous avons tous un Ça : c’est les psychismes inconscient et inconnu qui forment