Le ça Le Moi Et Le Surmoi

insuffisante transformation ; et suite à un traumatisme. Le « ça » recherche la satisfaction immédiate avec un « objet but » Le « surmoi » est l’instance qui définit les règles et les interdits inculqués durant l’enfance par les parents. Il donne a différencier le « bien » du « mal ». Rapport « surmoi/moi »: le « moi » est le gérant des autres instances. Il refoule les pulsions dites « néfastes », « mauvaises » tel que l’inceste par le surmoi. Le complexe d’œdipe d’ANZIEU : interdit de fusion avec la

comme un être qui ne conduit pas sa vie selon ces intentions conscientes mais plutôt par ces pulsions inconscientes Freud considère le comportement humain comme la résultante de l’interaction de 3 notions. La première est le : - ça Le moi Le surmoi Le « ça » correspond au désir, à la faim, l’émotion, c’est le principe du plaisir. C’est aussi la partie obscure de l’être humain puisqu’il est régi par l’ensemble des émotions. Le « moi » Il correspond à la raison, se rapporte aux aspects

l’inconscient en trois parties : le ça, le moi et le surmoi. Le ça étant le réservoir pulsionnel ; l’endroit où se situe le psychisme humain dans sa forme originelle. Par exemple, le psychisme du nourrisson n’est qu’un vaste ça traversé par des pulsions de faim et de sommeil. Et ce ça, ces pulsions, sont conservés à l’âge adulte ; l’humain reste un être instinctif, avec des pulsions, il apprend seulement à les canaliser (c’est là qu’intervient le moi), à les refouler dans le surmoi. L’homme peut également exprimer

dominante que la pulsion de vie. 1923: moi, ça et surmoi (deuxième topique), il théorise ses trois instances, réorganise son modèle psychique. Le ça est dans le profond inconscient → pole pulsionnel, l'enfant construit un mur pour le protéger du monde extérieur. Le moi naît de la confrontation avec les frustrations du monde extérieure → pole défensif. Le surmoi est l’héritier du complexe d’œdipe, comme le complexe est résolu alors intervient le surmoi → pole interdicteur. 1938: le clivage du moi

faits de notre vie oubliés mais gardés en mémoire. On y échappe, on ne peut y penser, mais il agit sur notre comportement et notre développement. SUB (PRECONSCIENT) : souvenir dont on peut avoir accès moyennement un effort. 2e topique : CA : il contient les besoins fondamentaux de l’homme et l’effort pour être satisfait – Fond pulsionnel de la personnalité. Contenus INCONSCIENT, une part héréditaires et innés et l’autre refoulés (oubliés) et acquis = présent à la naissance. Pôle pulsionnel

Oedipe roi p.53Ce qui est raconté n’est que le contenu manifeste du rêve, pour arriver au contenu latent il ya un moyen facile, le rêve est la réalisation du désir de la personne qui rêve et non pas de la personne dont on rêve : (déplacement) Projection sur Oedipe qui est encore embryon, du désir maternel de l’inceste. Ce n’est pas a un homme accomplit auquel nous avons affaire ici, c’est un nourrisson (homme en puissance) pâte gluante (ce changement est régressif, on est en train de régresser vers

et a donné lieu à la 2ème topique qui est aussi une tentative de structurer la personnalité. Métaphore qui tente de spatialiser les lieux psychiques. 2ème topique : - Le Ca : correspond à la notion d’inconscient, réservoir des pulsions, des instincts et de la libido. o Fonctionne conformément au principe de plaisir : le Ca est guidé vers l’augmentation du plaisir et la réduction de la tension, douleur. © ASSOCIATION 2ATP 2018-2019 PAGE | 15 Toute reproduction, totale ou partielle, et toute représentation

pour retrouver l’origine du désir inassouvi et la charge émotionnelle qu’il fait peser sur notre inconscient. La deuxième topique freudienne : Au début des années 1920, Freud élabore une représentation spatiale métaphorique du psychisme humain. Le ça : Réservoir des pulsions inconscientes, magma de désirs bouillonnants, forces qui naissent à la frontière entre le corps (somatique) et le psychisme et qui tendent vers une satisfaction immédiate. La libido est l’ensemble des pulsions sexuelles. Le

actes. Cela peut vouloir dire, est ce que c’est possible de ne plus se reconnaitre ... d’être tellement hors de soi qu’on n’est plus la personne qu’on est depuis toujours ; ou est ce que cet état n’existe pas et n’est qu’un moyen d’exprimé notre surmoi et notre ça. On peut également dire que cet état d’inconscience n’existe pas car on ne peut plus être réellement soi même que lorsqu’on est atteint de maladie telle qu’Alzheimer, ou maladies mentales mais également lors de très fortes dépressions. La notion

 DM de philosophie sur Freud : Malaise dans une civilisation Introduction Il y a une histoire assez connue d'un homme à qui on demande pourquoi il se donne des coups de marteaux et il répond que « ça fait tellement de bien quand ça s'arrête » ! C'est un peu l'idée qui est décrite dans cet essai spéculatif Malaise dans une civilisation écrit par Sigmund Freud qui considère qu'à la base de l'angoisse humaine demeurent les contraintes imposées par la civilisation moderne