Le ça Le Moi Et Le Surmoi

psychanalytique : Le MOI de Titus est l’espace où le SUR MOI moral ( qui s’exprime au travers du tutoiement) affronte victorieusement le « ça » instinctuel : l’interrogation formulée par les 24 syllabes mélodieuses, sans coyupe, par lesquelles Titus réplique à l L’Agression verbale de son double (« Soutiendrai-je…coeur ? ») reflètent bien les affres du « ça « prisonnier de l’image, c’est-à-dire d’une illusion amoureuse qui capte toute son énergie. L’amour est une force émolliente(qui adoucit, rend

s’intéresse aux maladies psychiques, c’est pour les expliquer leur causes qu’il en ai arrivé à la théorie de l’inconscient. 1. L’esprit est tiraillé entre des forces opposées (principes opposés) : 1ère force : Le seule originaire : la libido ou le « ça » Ë ensemble de pulsions orientée vers le plaisir. L’enfant est essentiellement libido, le monde autour de lui se présente comme un ensemble de plaisir possible. Ë curiosité sensuelle de l’enfant. 2ème force : la réalité à laquelle va se heurter

attention au ça qu'au moi et au surmoi. Les pulsions du ça ne sont pas disposées à rester inconscientes. Elles sont naturellement et en permanence à vouloir pénétrer dans le conscient pour s'y satisfaire et essayent d'envoyer vers la surface du conscient certains de leurs dérivés. Pour les éléments refoulés du ça, l'analyste est un auxiliaire et un libérateur. Dans la mesure où les instances du moi se sont appliquées, à l'aide de leurs méthodes propres, à refréner les pulsions du ça, l'analyste

deuil des parents idéaux et tout-puissants de l’enfance : la mère toute bonne, le père invinsible,…. * Perdre lui-même le statut d’enfant idéal et prometteur de ses parents. Il doit trouver sa place et sa personnalité originale et autonome. Pour ca, il va devoir reprendre les interdits, la loi que ces parents incarnaient. En conclusion 2 phases importantes : - remanier son identité( y compris sexuelle) et l’image qu’il a de lui-même. - déplacer ses idéaux

avenir, il n'est pas une fatalité. III. La conscience et l’inconscient fonctionnent ensemble a) Théorie freudienne : inconscient + préconscient + conscient -> ça : réservoir de pulsions qui se développe en même temps que le sujet. Surmoi : impose interdits moraux et sociaux. Moi : gestion des pulsions du ça, des interdits du surmoi et du principe de réalité. Vulgarisation de la notion d’inconscient qui peut conduire à interpréter hâtivement l’inconscient comme une force obscure qui nous gouverne

personnalité : le CA, le MOI, le SURMOI. Le MOI est une instance intermédiaire entre les pulsions du MOI et les doubles exigences du SURMOI et de la réalité. C’est pourquoi il met en œuvre des mécanismes de défense et d’adaptation pour maintenir la cohésion et le fonctionnement de la personnalité. Le CA constitue le pôle pulsionnel de la personnalité ; ses contenus expression psychiques des pulsions sont inconscients pour une part héréditaire et inné, pour l’autre refoulés et acquis. Le SURMOI est

éponyme du fait qu’elle porte le nom même de son personnage principal, Yvette est publiée en 1884. Le problème qu’il semble largement poser ici, dans sa nouvelle, est celui du « combat intérieur contre nos désirs et nos pulsions », celui de l’égo et du surmoi, surtout dans la mise en scène des personnages tels que le nanti Jean de Servigny, et Yvette, d’ailleurs protagonistes principaux, appartenant à deux mondes bien distincts. Jean de Servigny, « était connu par ses noces autant que par son esprit, par

Topique des 3 instances : Ça − − − Moi − − − → Surmoi − −→ −−− pulsions exigences ça : partie primitive de l’appareil psychique réservoir des instincts et des pulsions : libido (pulsion sexuelle) + pulsions agressives : eros (de vie) / tanatos (de mort). Les pulsions cherchent à satisfaire les désirs sans tenir compte de la réalité : obéit au principe de plaisir. Atemporel, ne connait pas la contradiction. moi : se constitue progressivement par différenciation d’une partie du ça au contact de la réalité

improbable de croire que sa conscience régit ses actes et par la même qu'il est lui même. C'est ainsi que Freud démontre qu'il existe trois instances dans la conscience. Le « moi, le ça et le surmoi ». le « moi » est le pôle conscient, le « ça » le pôle inconscient et le « surmoi » l'instance régulatrice du « moi » et du « ça ». D'après la théorie de Freud, même dans l'inconscient on ne cesse d'être nous car nos désir et nos envies sont tous simplement refoulés. Donc Le fou est lui même lorsque l'on considère

défense élaboré par le Moi sous la pression du Surmoi et de la réalité extérieure, et permettant de lutter contre l'angoisse. Il en existe plusieurs. • Ces mécanismes psychiques préservent le Moi et le protègent aussi des exigences pulsionnelles du ça. Mais ce dont le Moi se protège en priorité, c'est de l'angoisse. • Par exemple, une représentation inconsciente va être incompatible avec les exigences du Surmoi. Cette représentation inconsciente du ça apporte du plaisir mais provoque aussi du