Léandre

ancien quart-arrière au football et, à cause de cela, il accorde un intérêt considérable au travail d’équipe. Sharp résume donc les principaux points avancés durant la réunion. Il demande aux participants s’ils ont des questions. 1. Maillet, Léandre, Psychologie et organisation : l’individu dans son milieu de travail, 2e édition, Laval, Éditions Agence d’Arc, 1993, p. 96-99. © Télé-université, Université du Québec à Montréal, 2010 2 Le cas organisationnel Dupont lui demande alors

la somme récoltée et l'autre se chargeait d'entreprendre les voyages étrangers. 4.3. Éducation et culture La péninsule Ibérique est le conservatoire de la culture antique ; la bibliothèque sévillane en est le centre le plus brillant grâce à Léandre et à Isidore de Séville. L'invasion musulmane du royaume wisigoth explique l'afflux de penseurs wisigoths à la cour de Pépin le Bref et de Charlemagne. Les monastères perpétuent les connaissances antiques. Ces monastères dispensent un enseignement

Pauvre Géronte que feras-tu ? »(l.1) Le comique est aussi ici comique de situation, le spectateur voyant le valet dominer le maître, le prendre dans ses filets, user de sa connaissance parfaite de sa personnalité pour lui extorquer l’argent promis à Léandre. Le comique de caractère est donc bien présent dans la scène, les réactions de Géronte soulignant chaque fois avec verve les défauts de l’avare qui, au lieu de s’inquiéter pour son fils en danger de mort après le récit de Scapin, ne réagit qu’à

d'Architecture de Barcelone, dit, lors de la remise de diplôme : « Nous avons accordé le diplôme à un fou ou à un génie. Le temps nous le dira » . Pour payer ses études, Gaudí travailla comme dessinateur pour divers architectes et constructeurs, comme Leandre Serralach , Joan Matorel, Emili Sala Cortés, Francisco de paula y Del Villar Lozano et Josep Frontserè. Peut-être est-ce pour cela qu'en recevant son diplôme, Gaudí fit ce commentaire à son ami le sculpteur Llorenç Matamala: «Llorenç, il paraît

personne souligne à quel point Silvia cherche à faire valoir une expérience personnelle. Elle se pose ainsi non seulement en observatrice mais aussi en actrice : « je l’ai répondu moi-même » (l. 48), dit-elle à propos d’Ergaste. Dans le portrait de Léandre, Silvia n’apparaît pas directement mais on peut penser qu’elle s’inclut dans le pronom personnel indéfini « on », et qu’elle a eu accès à la vie de famille du personnage. B. Trois portraits d’hommes mariés Il est essentiel de ne pas perdre

lorsqu’ils rentrent chez eux rejoindre leur femme, ce sont de tous autres hommes. D’ailleurs elle fait le portrait de deux hommes qui auraient nombreux visages : celui du ‘galant homme’ Ergaste, qui chez lui est effroyable. Elle fait aussi celui de Léandre, un homme raisonnable, qui devient un homme à l’âme glaciale lorsqu’il pénètre dans sa demeure. L’idée déplaisante qu’elle se fait des hommes est soulignée par les portraits qu’elle mentionne. Elle aborde le mariage comme une sorte de soumission de

successorales pour l’enfant. Il pourra donc hériter de la maison que son père possédait en Bretagne. De plus l’enfant de Lola a une primauté vis-à-vis de la succession, car c’est un descendant direct du père puisqu’il s’agit de l’enfant naturel de Léandre.

tête Je puis vous l’accorder. Venez vous changer les idées chez moi où nous prendrons le thé. Argente, en état de choc M-merci. Huit cents écus ! Ha le scélérat, le scélérat ! Acte 2, scène 2 : Scapin, Léandre

Comique de geste ou de mouvement : Sylvestre déguisé en spadassin, tue la terre entière dans le vide pour terrifier Argante , poursuite de Géronte par Scapin, jeu de la bourse II, 7 - Comique de situation : II, 2 : sentiments opposés entre Léandre et son père III,3 : Zerbinette se moquant de Géronte. - Comique de caractère : II, 6 : la peur d’Argante devant Sylvestre III, 2 : la peur de Géronte dans le sac. Cette comédie est particulièrement une farce avec tout qui s'enchaîne, avec

résumée ainsi par Figaro : « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer. » Comment ne pas se réjouir du divertissement des ridicules de Molière ? Ce sont les fourberies de Scapin, ce valet bouffon qui manœuvre pour se venger de Léandre, un vieux bourgeois qui l’a desservi, en lui administrant des coups de bâton après l’avoir caché dans un sac. C’est la naïveté d’Argan, l’hypocondriaque du Malade imaginaire, qui fait naître un rire jubilatoire en permettant au spectateur de rire