Lébous

représente 40 % de la population Les peuls et toucouleurs : 25 % de la population (peuple nomade) Les sérères : 14% de la population Les diolas : 5% de la population (au Sud du Sénégal) Les mandingues : 4% de la population (à l’Est du pays) Les lébous : peuple pêcheurs de la région du Cap vert Les bassaris : peuple traditionnel (vivant aux pieds des monts de Guinée) 3. Les principales villes Population totale SENEGAL: environ 12 400 000 UNITE ADMINISTRATIVE Populations |REGION

| 2 | 5 | 9 | 11,25 | 35 - 39 ans | 2 | 5 | 3 | 7,5 | 5 | 6,25 | Total | 40 | 100 | 40 | 100 | 80 | 100 | | | | | | | | Source : Enquêtes personnelles, 2005.Les ethnies dominantes sont les Lébous et les Sérères qui représentent à elles seules 68,75 % de l'effectif total. Les Lébous sont majoritaires à Mbour (45%) contrairement à Joal où les Sérères constituent prés de 45 % de l'effectif (tableau 4).Ces ethnies proviennent de différentes zones. A Mbour seuls 5% des individus interrogés

Bouëtville pour donner une consigne de vote aux électeurs en faveur du candidat Carpot. En même temps, la position du clergé a une forte influence sur les ouvriers et particulièrement les cheminots. L’implication du religieux et des notables lébous dans cette campagne électorale dévoile des préférences sur le choix des candidats, notamment l’appartenance religieuse des mulâtres à la communauté chrétienne. Cela remet au jour la manière dont les enjeux de luttes politiques locales influencent

05. - Plans de zones. 20 août - 16 novembre 1905. - Comptes rendus sur les mesures. 22 août - 22 décembre 1905. - Demandes de renseignements sur les instructions par le Gouverneur général. 14 janvier - 2 janvier 1905 - 06. - Convention collective Lébou 25 septembre - 26 juillet 1905 - 06. - Travaux. 16 septembre - 26 octobre 1905 - 09. 30. 1904-14 Hygiène au Sénégal : arrêtés du Gouverneur. Mai 1904. Peste à St-Louis. Mai - décembre 1914. 31. 1905-42 Hygiène : principes. 14 mai -5 juin 1905-42..

l'idôlatrie. Ibrahim a bravé le risque de la mort en détruisant les statues, tellement son degré de droiture l'emportait sur la peur de mourir. C'est un acte de courage inoui si l'on mesure cet acte à celui d'oser détruire les 'Khamb' ( fétiches) des lébous, ou les bois sacrés des diola en Casamance. Ibrahim était au sommum de la droiture et de l'adoration au Seigneur SWT. Son peuple, agacé par ses prêches lui prépare un brasier et l'y jette. Le Seigneur SWT le sauve, d'une manière qui aurait du faire

de bandes de dessins , de signes et de figures inspirés des symboles dans l’art senoufo  autant que des représentations des dieux Maya .   Adama Boye (-) Sénégal Elle intègre de la peau à la toile qui fait référence à ses origines ethniques (lebou) et symbolise la purification par le sacrifice animal . Ses couleurs sont chaudes . Lo Babacar (1929-) Sénégal Autodidacte, il peint avec une grande maîtrise sur le verre comme sur la toile .     L’Afrique du Sud Judith Mason (1938-) Afrique

spiritualité au Sénégal ? Religion et croyances Il existe trois types de religions au Sénégal : l’islam, le christianisme et les croyances traditionnelles. La population est constituée à 80% de musulmans, principalement des Wolofs, des Toucouleurs, des Lébous, des Peuls et des Mandingues. Les diolas et les Sérères pratiquent plutôt le christianisme. Avant l’arrivée des prêcheurs musulmans et chrétiens, les peuples d’Afrique occidentale possédaient tous leur propre religion. Ces religions traditionnelles

nombreux dans la région du Cap-Vert et de Diourbel, sont nettement majoritaires (36 % de la population totale) [1997] devant les Peuls et les Toucouleurs (23 %), les Sérères (15 %), les Diolas (6 %, dans la Basse-Casamance), les Mandingues (4 %) et les Lébous (2 %) de la presqu'île du Cap-Vert. Parmi les autres ethnies, on rencontre des Sarakolés, des Bambaras, des Maures, des Bassaris... La langue officielle est le français. Un décret de 1971 a promu au rang de langues nationales les six langues des

reproduit le modèle simple et répétitif des lotissements sans fantaisie dont la trame régulière s'étend aujourd'hui sur les communes de Pikine et de Dagoudane. En périphérie de la zone lotie par les pouvoirs publics, des terres appartenant aux villageois lebou ont été vendues à des citadins qui ont bâti hors de toute intervention des services d'urbanisme. Ces extensions - Pikine « irrégulier » - reconstituent un environnement villageois aux maisons dispersées dans des concessions ombragées d'arbres fruitiers

christianiser la population que les colons avaient déjà subjugués. Les conditions de détention du cheikh révoltèrent la communauté Lebou du cap-vert qui parle grand Djaraf ibra bint Meriem Gueye somma le gouverneur de lui remettre le Cheikh Ahmadou Bamba qu‟il se charge d‟héberger conformément aux droits et égards dû à un homme de sa troupe et que la communauté lebou dans son ensemble refuse de voir le Cheikh traité de la sorte sur son sol, ce qui risque d‟avoir de fâcheuses conséquences. Le gouverneur