Lecteur de nouvelles

L'errance aventureuse devient la succession d'un maître à un autre, faisant ainsi connaître les différents lieux et différents secteurs de la société. L'aventure commence par un surgissement au détour d'un chemin (une personne ou une expérience nouvelle). Don Quichotte est conduit par son cheval plus qu'il ne le dirige, il attend les évènements. Il y a comme dans Lazarillo de Tormès une opposition entre le moi qui écrit et qui juge et le moi qui est émergé dans l'action et dans la jouissance de

romanciers naturalistes, E. Zola, 1881. Documents complémentaires :n vue de rendre leurs propos plus forts, plus convaincants, les poètes utilisent dans la poésie engagée des images, éveillent des sensations, sentiments ou encore des émotions chez le lecteur afin de leur faire prendre conscience de la véracité de leurs dires. Durant la seconde guerre mondiale comme dans de nombreuses guerres qui ravagèrent l'histoire de l'humanité, les poètes se succédèrent pour appeler les peuples à se soulever contre

emportait avec elle une évasion, qui ferait échapper le lecteur à la linéarité originelle du texte. Le lecteur s'émancipe, bousculant l'ordonnancement de l'œuvre. On pourrait arguer que rien n'empêche de lire les chapitres d'un livre papier de manière séquentielle, heurtée et désordonnée. Mais le numérique amplifie cette propension propre à certaines lectures. Le second changement porte sur l'interactivité, avec ses promesses et ses illusions. Le lecteur peut exercer un droit sur le texte, un droit sans

écrit « L'horizon d'attente » dit que le lecteur attend quelque chose ) idée qu'avec la phrase liminaire, la lecteur s'attend à une description des sentiments du personnage, cela suscite l'horizon d'attente, la relation est déceptive puisqu'il ne va pas parler de ses sentiments ni de son deuil. « Aujourd'hui maman est morte » phrase célèbre par le choix d'un événement sinistre qui donne d'emblée entrer dans une technique particulière, cela donne une nouvelle conception romanesque puisqu'on rentre

Elles n'ont pas la moindre ambition exhaustive et privilégient souvent tel fragment d'existence ou tel événement, pas forcément central ni déterminant a priori. Elles recourent volontiers au regard décalé d'un observateur indirect, c'est à dire nous, lecteurs. La biographie imaginaire – ou le rêve imaginaire – témoigne également de la dualité qui existe entre d'une part le réel, le matériau biographique et d'autre part l'imaginaire qui se manifeste dans les œuvres. Chez Schwob, on retrouve de façon plus

I)Le lecteur a besoin de s'identifier au personnage 1) Il s'identifie au personnage banal qui lui ressemble (romans réalistes) 2) Il s'identifie au personnage auquel il aimerai ressembler (ex: la princesse de Clève) 3) Il s'identifie au personnage pour vivre de nouvelles expériences (je n'ai par contre pas vraiment d'exemple pour cet argument) II) LE lecteur n'est pas obligé de s'identifier au personnage ( il faudrait que je reformule la thèse mais je ne sais pas comment) 1) Le lecteur ne

de la fin. Ces deux fragments transforment le récit en journal du professeur, lu et commenté auprès des amis et la narration prend la focalisation interne. [1: Toutes les citations d'après : P. Mérimée, « Lokis » dans : La Venus d'Ille et autres nouvelles, introduction, bibliographie et notes par Antonia Fonyi, Flammarion, Paris, 1982, p. 181-228. ] Le narrateur est un prêtre protestant, professeur de linguistique, grand spécialiste du jmoude et du sanskrit, mais ce n'est pas sur lui que je vais

la littérature jusqu'au XXIème siècle, d'innombrables personnages de roman ont vu le jour sous la plume de bon nombre d'écrivains. Pendant longtemps, la majorité d'entre eux était de véritables héros, accomplissant des exploits et faisant rêver le lecteur par leur assurance, leur bravoure et la lutte acharnée contre le mal dans laquelle ils s'engageaient. Mais au fil du temps, le roman et ses personnages ont évolué, et beaucoup d'entre eux ont perdu l'aspect héroïque qui caractérisait jusqu'à lors

personnage est que les romanciers contemporains ne peuvent plus se contenter de répéter des modèles qui finissent par devenir intimidants ou étouffants. S'affranchir de ces modèles, pour le romancier contemporain, c'est donc accéder à une liberté nouvelle et indispensable, lui permettant de raconter des histoires autrement. On peut comprendre pourquoi Alain Robbe-Grillet, vers le milieu du XXe siècle, veut en finir avec une conception du personnage qui lui semble devenue obsolète. Pour se renouveler

et le besoin que le lecteur nécessite à s'identifier au héros du roman. Donc pour apprécier un roman, le lecteur doit-il s'identifier au personnage principale et partager ses sentiments ? La plus part du temps le lecteur retrouve du plaisir a lire un roman qui propose une histoire et des héros aux quels il peut facilement s'identifier mais le lecteur ne rencontre pas nécessairement des héros et des situations extraordinaires qui aimerait s'identifier. En effet le lecteur s'identifie au personnage