Lecture Analytique Correspondances De Baudelaire

intégrale de toutes les activités proposées à l’élève : lectures analytiques et études de textes en vis-à-vis, questions sur des œuvres intégrales et en histoire des arts, et exercices d’approfondissement de la partie I ; exercices d’ouverture de fiche, puis d’application de la partie II ; questions sur des éléments de cours, et exercices d’entraînement de la partie III. Des études de textes graduelles Le corrigé des lectures analytiques et des analyses d’images de la partie I valorise la progressivité

temps en poésie. Problématiques : – en quoi la fuite du temps est-elle une source constante d'inspiration poétique ? – Quelles sont les spécificités du langage poétique ? Lectures analytiques : 1- Pierre de RONSARD, Sonnets pour Hélène, « Quand vous serez bien vieille », 1578. 2- Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal, « L'Horloge », 1861. 3- Guillaume APOLLINAIRE, Alcools, « Le Pont Mirabeau », 1913. Prolongement : La fuite du temps, thème pictural : les vanités. –

une apparition mystérieuse digne d’un conte de fée de Perrault : « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde ». - Cependant ce portrait stéréotypé et les effets qu’ils produisent encadrent un discours explicatif et analytique qui est le centre du texte et que l’on examinera ultérieurement : c’est la preuve que le paraître n’est pas l’essentiel du propos de madame de Lafayette, contrairement aux préoccupations de la Cour que l’on examine à présent.  - Si la future

retentissement que nous pourrons éprouver des résonances des répercussions sentimentales, des rappels de notre passé. Mais l'image a touché les profondeurs avant d'émouvoir la surface. Et cela est vrai dans une simple expérience de lecteur. Cette image que la lecture du poème nous offre, la voici qui devient vraiment nôtre. Elle prend racine en nous-mêmes. Nous l'avons reçue, mais nous naissons à l'impression que nous aurions pu la créer, que nous aurions dû la créer. Elle devient un être nouveau de notre langage

indiquent plutôt la façon dont il fait ce qu’il fait. Par exemple, le candidat qui relit sa copie, et qui fait attention pour découvrir les fautes qui s’y seraient glissées, n’est pas quelqu’un qui fait deux choses, c’est quelqu’un qui fait une chose, la lecture de la copie, et qui le fait d’une manière attentive. Quelqu'un qui donne une réponse intelligente n'est pas quelqu'un qui fait deux choses (répondre, être intelligent), c'est quelqu'un qui fait une chose d'une manière intelligente. On retrouve ainsi

dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes politiques

lieux de mémoires → l'architecture a un sens ● La ville est une entité abstraite : problématique du tout et du fragment La ville, personnage surhumain ● Rupture avec le passé, la forme pour retranscrire la ville doit elle aussi être renouvelée (Baudelaire) → intérêt pour la forme. ● Lien entre la physiognomie de la ville et sa transription. Haussman → métamorphose du coeur de la ville : grands monuments restent mais leur environnement est transformé → ville unidimensionnelle, uniforme → plus

Livre du professeur Manuel de littérature française Marianne Jaeglé et Danièle Marin 1 2 3 Réponses aux « … à vous… » Lectures analytiques Séquences Bréal | GallimardÉducation Réponses aux «... à vous... » Moyen Âge ... à vous de réfléchir sur la langue et les signes... (p. 23) 1. Les Serments de Strasbourg Pour ce texte juridique, témoignant officiellement d’une alliance politique, le choix de la langue « vulgaire » répondait à une nécessité d’ordre communicationnel

le 1er groupe d’exercices de l’épreuve de français au baccalauréat. Pour mener à bien le travail de résumé, on distingue généralement 2 phases essentielles : la phase préparatoire et la phase de rédaction. I / La phase préparatoire au résumé 1. La lecture compréhensive du texte Le texte à résumer doit être lu autant de fois que possible pour être bien compris. Elle doit permettre : - de dégager l’idée du thème et l’idée générale du texte : ceux dont on parle dans le texte - de déterminer la thèse de

(analyse, réception par le public) (Thomas/François 03/04) Corpus : 1) Lectures analytiques : Incipit, pages 59-61 (« … Tout disparut. ») Ch. V, pages 206-208 (« Mais Claude demeurait immobile… imbécillité bourgeoise ») Ch. VII, pages 284-285 (« Mais Sandoz… culbute au bout ! ») Ch. IX, pages 333-334 (« A toutes les heures… vol de petits nuages ») Ch. XII, pages 479-481 (« Ils se turent… mettre dans la terre ! ») 2) Lectures cursives et complémentaires : Zola, Le roman expérimental (extrait) Zola