Lecture S Instruire Ou Se Divertir

participant à leur élaboration. Pensez vous que la littérature consiste seulement à divertir ? Tout d’abord, nous allons voir comment la littérature arrive à nous divertir puis par la suite nous étudierons que la littérature n’est pas qu’un simple divertissement. Dans les transports en commun, les salles d’attente, aux terrasses des cafés, nous croisons souvent des gens plongés dans la lecture d’un livre. Ainsi le livre semble être un moyen de combler le vide ou de conjurer l’ennui

I. Écrire pour instruire ? Le verbe « instruire » prend de nombreuses significations. En quoi la littérature répond-elle à ces divers sens ? Instruire, c’est d’abord informer. Ainsi les écrivains, se donnent pour mission de faire part de leurs expériences de la vie. Ancrés dans l’actualité, ils éclairent alors les débats qui agitent leur époque. Ils le font à travers des genres variés. La littérature permet ainsi de mieux connaître son temps. L’information passe parfois par des moyens plus

encore relater des histoires passées. L’instruction par les livres est, en effet, une pratique ancestrale toujours utilisée de nos jours. La Bruyère disait d’ailleurs « on ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction ». Il est vrai que la lecture alimente nos quotidiens et ceci dans tous les domaines. Si un sujet nous est difficilement compréhensible ou si l’on veut simplement enrichir notre savoir, les livres peuvent répondre à nos questions. Au delà de la littérature la parole est également

enseignement, plus ou moins implicite qui vise à instruire et/ou à dénoncer. C’est ici que se situe la complexité de l’apologue : sa lecture à deux niveaux. Nous ferons ainsi un lien entre la métaphore extraite du récit de Michel Tournier, Taor, prince de Bangalore et la définition de l’apologue et de ses effets. Nous tâcherons pour cela de montrer en quoi l’apologue a pour vocation de plaire, de divertir mais qu’il cherche également, par son récit, à instruire le lecteur. Tiré du grec « apologos » signifiant

interventions de l’auteur, au fil du texte, qui oriente le point de vue sur les courtisans. On s’aperçoit donc que dans cette fable, à travers un récit qui vise à divertir, La Fontaine se permet une critique des courtisans. A travers ceux-ci, la critique du roi. Nous sommes bien dans la logique de plaire et instruire. Ici « instruire » étant plutôt « critiquer ». En quoi la critique est elle habilement masquée ? OU En quoi ce texte répond il à l’apologue ? Développement I. Plaire : vivacité

réflexion du lecteur, à entraîner sa conviction, soit en faisant appel à sa capacité de raisonnement, soit en faisant appel à ses émotions et ses sentiments. La fable Le savetier et le financier est un apologue car c’est un récit court, qui a pour but de divertir le lecteur, et qui se termine par une morale illustrant la fable, même si elle n’est pas explicite. Dans cette fable, Jean de La Fontaine invite le lecteur à réfléchir sur les effets de l’argent pour un honnête homme tel que la Savetier. De plus

Méthode pour réaliser une fiche de lecture en préparation d'un contrôle de lecture Pendant la lecture du livre: - Faire des petits résumés, courts (2 ou 3 lignes), pour chaque chapitre. -Noter les descriptions des personnages principaux. -Repérer les passages les plus marquants Après la lecture du livre, rédiger une fiche complète avec : - Le résumé du livre. - Le portrait du ou des personnages principaux. Celui-ci doit être physique, mais aussi social et moral. PS: pour le portrait

LECTURE CURSIVE JEAN DE LA FONTAINE :Pistes de lecture 1: Des animaux et des hommes→ ≪ Je me sers d’animaux pour instruire les hommes ≫. Dans quelle mesure cette déclaration de La Fontaine éclaire-t-elle votre lecture des livres VII a XI ? « Les propriétés des animaux et leurs divers caractères y sont exprimés ; par conséquent les nôtres aussi, puisque nous sommes l’abrégé de ce qu’il y a de bon et de mauvais dans les créatures irraisonnables. » Tout au long de sa carrière , jean de la fontaine

le spectateur. Le but même du théâtre est de divertir son public mais ce dernier cherche-t-il autre chose, des réponses sur le mystère humain? S’il est extérieurement passif le spectateur ne réagit-il pas intérieurement? Nous allons premièrement nous intéresser à l’essence du théâtre qui est le divertissement, à son but didactique en second lieu et enfin à la réflexion sur la condition humaine qu’il entraîne. Le théâtre doit avant tout divertir le spectateur qui vient voir la pièce. Cet aspect

nombreuses qualités comme un récit plaisant, plein de vie, clair et assez bref et comportant aussi une morale qui permet de faire réfléchir le lecteur. Pour cela les écrivains utilisent des caractéristiques d'écritures propres à ce genre afin de rendre la lecture plaisante et drôle comme Jean de la Fontaine qui dans ses fables utilise des animaux personnifiés souvent représentatifs de la hiérarchie sociale à cette époque. Cependant le côté plaisant n'est pas suffisant pour dénoncer, défendre ou persuader