Leffet Ricardo

la loi des débouchés : toute offre créer sa propre demande. David RICARDO, approfondis les travaux de SMITH et analyse le taux d’intérêt comme le prix de la renonciation à des biens présents au profit de biens futurs. Le taux d’intérêt est donc la variable qui est à l’origine de l’arbitrage entre les décisions de consommations et d’épargne. Cet arbitrage guidant le comportement d’accumulation est donc la croissance économique. Ricardo élargis la validité de l’analyse du commerce interventionnel de

pays pour un bien donné. Cette théorie a été introduite pour des situations où un pays a intérêt à produire plus qu'il ne consomme afin d'exporter sa prod° et d'importer ainsi des biens qu'il ne peut pas produire en quantité suffisante. 2. David Ricardo Avantage comparatif : théorie traditionnelle première du commerce international. Théorie selon laquelle un pays doit se spécialiser dans la production pour laquelle sa supériorité est la forte ou dans laquelle son infériorité est la plus faible.

spécialisent dans le secteur dans lequel ils ont un avantage comparatif, c’est-à-dire là où leur avantage en terme de productivité relative est le plus élevé, où là ou leur désavantage est le plus faible, tous les pays seraient alors selon David Ricardo mutuellement gagnants à l’échange, car le libre-échange permets une réallocation optimale des facteurs de production, source de gains de productivité et donc de croissance ● Le libre-échange est à la source d’une spécialisation des pays, ce qui entraîne

intéret à se spécialiser dans la production de biens pour lesquels ses couts de fabrication sont plus faibles qu'à létranger et à importer ceux pour lesquels ses couts sont plus élevés. Cette specialisation permet une DIT entre les nations. David Ricardo complète et prolonge l'analyse d'adam smith en développant l'idée d'avantage relatif. Pour lui un pays doit mieux produire une seule chose et se spécialiser afin de gagner en rentabilité par l'augmentation d'économie d'echelle. B - La notion de

DES PRINCIPES DE L’ECONOMIE POLITIQUE ET DE L’IMPOT David RICARDO (1772-1823) Lorsqu'on 1817 paraît la première édition de cet ouvrage (Gamier-Flammarion, 1992, 508 p.), la Révolution industrielle a déjà largement transformé l'économie britannique. Préoccupé par la perspective de l'état stationnaire, qu'il juge être la voie inéluctable du capitalisme, David Ricardo ne paraît pas pressentir toutes les conséquences de l'industrialisation, notamment ses effets sur la croissance économique. Persuadé

avantage absolu ( ex : pétrole, connaissance du nucléaire, gaz, technolohgies, ouvertures sur la mer…) Théorie d’ADAM SMITH : Soit un avantage comparatif ( spécialisation dans un domaine dans lequel on est le moins mauvais) Théorie de DAVID RICARDO : un pays a intérêt de se spécialiser même s’il n’a aucuns avantanges absolus. Gain à l’échange ( surplus que l’on réalise suite à l’échange marchand que l’on produit) Donc ++ échanges. SI + d’échanges, ALORS, Ouverture plus vaste du marché

théories. Un second courant qui n’est pas homogène, c’est celui du protectionnisme. Que l’on soit libéral ou protectionniste, on se réfère toujours au même cadre théorique. Théorie du commerce international : elle se réfère à 2 modèles : l’un de David RICARDO L’autre de Heckser-Ohlin. 1°) Les avantages comparatifs La question qui se pose c’est de savoir pourquoi les courants d’échanges s’établissent entre tel et tel pays et pourquoi ces échanges concernent telle catégorie de produit plutôt que telle

avantages comparatifs (David Ricardo) La théorie des avantages comparatifs est guidée par la raison. Pour Ricardo, les pays doivent investir tous leurs efforts dans ce qu'ils savent faire le mieux. De cette manière le commerce est profitable à tous. Un pays n'a pas besoin d'être le meilleur dans un domaine pour que le commerce lui soit favorable. 3 – Le modèle HOS (Hecksher, Ohlin, Saluelson) Ce modèle prolonge la théorie des avantages comparatifs de Ricardo en expliquant l'origine de l'avantage

certaines théories classiques qui ont justement encouragé sur le plan intellectuel à la libéralisation des échanges. Ce fût Adam Smith qui posa la première pierre de l’édifice avec la théorie de l’avantage absolu, largement reprise et améliorée par David Ricardo en 1817 dans Principes de l’économie politique et de l’impôt avec l’exemple désormais célèbre des échanges du vin et du drap entre l’Angleterre et le Portugal. L’apport fondamental de cette notion d’avantage comparatif par rapport aux avantages absolus

économiste américain argumentait qu’un pays a intérêt à échanger avec un autre s’il y a un avantage absolu dans la production d’un bien par rapport à l’autre pays. Smith prônait ainsi, en premier, la division du travail international. Rapidement, David Ricardo précisait, dans sa théorie de l’avantage comparatif, que même si un pays avait un avantage relatif dans la production de plusieurs produits par rapport à un autre pays, les deux avaient intérêt à échanger. Il suffirait, dans un tel cas de figure,