Lèpre

Marguerite Duras, Le Vice-consul (1966) Jean-Marc de H. est un diplomate qui remplit les fonctions de vice-consul dans la ville de Lahore, en Inde. Il est rappelé auprès des autorités de Calcutta car il a tiré à Lahore sur des mendiants atteints de lèpre, qu’il ne pouvait plus supporter. A Calcutta, il tombe amoureux de la femme de l’ambassadeur, Anne-Marie Stretter, qui possède plusieurs amants : Charles Rossett, Peter Morgan, Michael Richard, George Crawn. Elle donne un bal à l’ambassade, auquel

une course à cheval, aux jeux olympique romain contre Messala, qu’il remporte, et Messala y perd ses jambes. Il découvre que sa mère et sa sœur ont la lèpre et sont donc dans la vallée des lépreuses. Il les emmène afin qu’elles découvrent Jésus de Nazareth. Jésus de Nazareth est crucifié et le jour même Myriam et sa fille sont libérés de la lèpre.

l’idée de lieu déplaisant. Plus loin dans la nouvelle, la maison est décrite avec des adjectifs comme « ridée ; gercée » ou encore « couverte de lèpre ; n’inspirant aucun respect ». Habituellement, ces expressions sont réservées aux humains. Ici en l’occurrence, le narrateur compare la maison à une vieille dame, encore plus repoussante que le jardin. Car la lèpre est une maladie contagieuse, mutilante, et mortifère, donc le lecteur porte un certain dégout pour cette maison. Ce début ne donne pas l’envie

une série relatant les aventures du chevalier Galeran de Lesneven ainsi qu'une trilogie celte. ( cf à la fin du dossier)Thèmes abordés L’histoire se déroule au Moyen Age. On y découvre l’apprentissage du métier de chevalier, la vie au château, la lèpre, les croisades et le Jugement de DieuDes apprentis écuyers sont à la recherche de la vérité pour retrouver un criminel. Ils surmontent des épreuves et découvrent qu’il ne faut pas soupçonner quelqu’un sans preuves…Analyse :Cet ouvrage qui a pour cadre

récit palpitant. La guerre au début du livre et les actions guerrières mettent de l’action dans le livre.Enfin, le personnage ridicule de Trelawney permet au livre de ne pas devenir ennuyeux. Dans le texte, une femme a des symptômes ressemblant à la lèpre et il ne joue pas son rôle de médecin et s’enfuie au contraire une semaine. Il n’a pas en effet les compétences requises.Par ailleurs, le livre nous instruit. Il nous fait d’abord réfléchir sur l’horreur de la guerre. Celle-ci est un fléau

essentielles du sang menstruel :la lèpre (il y en a plusieurs) celle de la maladie de la peau provoque déformation de la peau et aux parties molles. On sait dès le MA que c'est une maladie contagieuse mais est considérée comme une maladie sexuelle. Les médecins médiévaux et antique la relie donc à la sexualité et au sang menstruel. Cette idée de la contagion repose aussi sur des textes bibliques et notamment le Lévitique qui régit la vie quotidienne où il est dit que la lèpre est liée au sang menstruel par

sa beauté. J’eus honte de ma réaction et murmurai : — Pardon, seigneur.— Voilà pourquoi je me cache de tous, Michel, reprit Guillaume en relevant sa capuche pour masquer ses traits. Pour leur éviter la vue de ma souillure, de mon infamie, de cette lèpre qui me ronge depuis que j’ai quitté Jérusalem. Mais, tu vois, cette maladie est aussi la preuve de mon innocence. Je ne pourrais même pas, si je le voulais, étrangler quelqu’un avec ce qui me reste de force. Mes doigts, comme le reste de mon corps

contre la misère en faisant passer son message dans de nombreux discours. Voilà se qu'il à dit dans un discours fait à l'assemblée nationale le 9 juillet 1849 « La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu ». Il réclame un enseignement et un travail pour tous. Il est convaincu qu'un des moyen pour « détruire la misère » est l'instruction gratuite et obligatoire pour tous. Le deuil cruel de sa fille marque

Moyen-Âge, la lèpre disparaît peu à peu du monde occidental. Toutefois, il subsiste toujours quelques 1900 léproseries à travers toute la chrétienté, selon Matthieu Paris[1], depuis le Haut Moyen-Âge. Les structures restent présent même si la lèpre disparaît. Le relais de la lèpre est pris d'abord par les maladies vénériennes, qui étaient tellement nombreuses à l'époque qu'on envisageait de construire de nouvelles structures. Ces maladies sont très vite considérées comme « la nouvelle lèpre ». Ce mal

prouver et persuader les autres députés présents à l’assemblée qu’il faut réagir face à la misère en France. Tout d’abord, l’auteur en utilisant l’analogie « La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu. » (l.5) cherche à rassurer les gens présents à l’assemblée que la misère n’est pas quelque chose de fatal et qu’il n’est pas trop tard pour la détruire. Ensuite, Victor Hugo, par de nombreuses gradations