Les 3 Contes Philosophiques Diderot

didactique, utile, conforme au classicisme mais diffère du coup du reste de la poésie. Au XVIIIème siècle : On est alors plus préoccupé par la rationalité, la science, le progrès scientifique et on s’occupe moins de la poésie (surtout lyrique). Diderot dit que « Le laurier d’Apollon n’arrive pas à verdir. » On s’occupe de philosophie très concrète. Il faut attendre la fin du siècle pour que des poètes comme André Chenier s’élèvent. Il ouvre la voie à l’effervescence poétique du XIXème siècle.

Classicisme : 1 - L'homme et l'univers sont éternels et immuables en dépit de quelques changements peu profonds. 2 - Les productions humaines - au premier chef l'art - sont régies par des lois universelles et éternelles. La beauté est une et absolue. 3 - Naturellement inscrit dans l'éternel et l'universel, l'Art ne doit jamais s'en écarter. Pour cela, il doit : - se cantonner dans le domaine du vraisemblable, forme probable du vrai, bannir le merveilleux. - respecter la règle des bienséances

voyage, en même temps qu'il a fait prendre conscience aux hommes de la possibilité d'un ailleurs où vivent des sociétés plus proches de la nature, aux mœurs plus frustes, peut-être, mais moins corrompues. Pour certains philosophes comme Montaigne ou Diderot, le « bon sauvage » mythique et le monde dans lequel il vit mettent en évidence le degré de corruption et le manque de relativisme de nos « nations policées ». Sans pour autant prôner un retour à l'état de nature, de nombreux écrivains ont, par la

relations sociales et les aspirations individuelles. » Texte 3 : 1984 de George Orwell, paru en 1948, « - Comment un homme s’assure-t-il de son pouvoir sur un autre, Winston ? (…) Vous l’accepterez, vous l’accueillerez avec joie, vous en demanderez une part. »  (suite du descriptif : page suivante) Lectures cursives : La philosophie des Lumières Extrait de Qu’est-ce que les Lumières, Kant, 1784 Extrait de l’article Autorité politique, Diderot, Encyclopédie, 1751-1772 Œuvre intégrale :

savoir distinguer les verbes convaincre, persuader et délibérer, mais aussi de savoir distinguer l'argumentation directe de l'argumentation indirecte, à travers les problèmes que posent les différentes formes de l'essai, de la fable ou du conte philosophique. Il s'agit toujours d'analyser les démarches argumentatives et leurs effets sur le destinataire. Il s'agit de bien comprendre que le texte argumentatif est le lieu d'un dialogue avec l'auditoire (ou le lecteur). - un nouveau verbe est

Mai 1778, est un écrivain et philosophe qui à marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des Français. De son imposante œuvre littéraire, on lit aujourd'hui essentiellement ses écrits «philosophiques» en prose : contes et romans (Candide est son ouvrage le plus célèbre). Candide porte le titre complet de Candide ou l'Optimisme, écrit par le soi-disant Docteur Ralph qui, en réalité, n'est que le pseudonyme de Voltaire. Cette œuvre, ironique dès les

savoir distinguer les verbes convaincre, persuader et délibérer, mais aussi de savoir distinguer l’argumentation directe de l’argumentation indirecte, à travers les problèmes que posent les différentes formes de l’essai, de la fable ou du conte philosophique. Il s’agit toujours d’analyser les démarches argumentatives et leurs effets sur le destinataire. Il s’agit de bien comprendre que le texte argumentatif est le lieu d’un dialogue avec l’auditoire (ou le lecteur). -       un nouveau verbe est introduit :

Candide ou l’optimisme (1759) Voltaire Sommaire : Page 1 : Présentation Page 2 : Sommaire Page 3 : Contexte historique, culturel, religieux et économique Page 4 : Biographie de Voltaire Page 5 : Résumé de l’ouvrage Page 6 : Présentation des personnages principaux Pages 7 et 8 : Les problématiques soulevées par le conte Pages 9 et 10 : Les perspectives contemporaines du conte Page 11 : Impressions personnelle I. Contexte historique, culture, religieux et économique

Lyrisme………………………………………………………………………….. II.2 : glissement de sens…………………………………………………………………. II.2.a : Terre d’immanence……………………………………………………………... II.2.b : Relativité du concept d’exotisme………………………………………………. 2 Partie II : L’adhésion au voyage philosophique………………………. Chapitre I : Imitation formelle du voyage voltairien……………………….. I. Le traitement des personnages ……………………………………………………… I.1 : L’onomastique……………………………………………………………………... I.1.a : L’anthroponymie chez voltaire…………………………………………………. I.1.b

mille et une nuits » bien vite reprise par les philosophes des Lumières pour faire passer leurs idées comme Voltaire dans « Zadig » par exemple. D’Holbach, un des rédacteurs de l’Encyclopédie de d’Alembert et de Diderot semble se situer pleinement dans ce mouvement d’orientalisme philosophique lorsqu’il écrit en 1772 son « Bon sens ou Idées Naturelles opposées aux idées surnaturelles ». Nous allons donc tenter de démontrer que le récit est un « apologue oriental » en montrant que c’est un conte oriental