Les 7 Contrastes

froides : Bleu et vert. _Nuances : Le vert tire sur le jaune.[Le bout des feuilles d'arbres sont jaune]. Contrastes forts : Le bleu et le rouge sont proches.[La jeune fille porte un chapeau orange et une veste bleu]. 6. L'éclairage : _Contrastes lumineux : Les personnages devant sont plus éclairé que l'arrière plan pour les faire ressortir. La lumière semble provenir du coté droit de la toile. 7. Interprétation : _On peut rattacher cette œuvre au mouvement impressionniste. _Les significations

à l'herbe, il y a des colchiques, plantes vénéneuses (que, dans la réalité, les vaches évitent, mais le poète l'ignore ou feint de l'ignorer). Dans les vers 2 et 3 est dramatisé, par l’enjambement qui divise un alexandrin en deux hémistiches, le contraste entre la placidité des vaches et le danger qu’elles courent. Le colchique est «couleur de cerne et de lilas», couleur de paupières violâtres et fripées : ces fleurs se parent avec trop de coquetterie et leur fard est trop étudié ; elles cachent leur

J'aime l'araignée, tiré du recueil, Les Contemplations de Victor Hugo, constitué de sept quatrains (chiffre impair), formés eux mêmes de deux vers décasyllabiques alternés avec deux vers moitié moins grands, des pentasyllabiques (chiffre impair), ce contraste et ce décalage crée ainsi un effet de rythme renforcé par des anaphores (répétition huit fois de « Parce qu- » en début de vers, etc...) et l'enjambement entre les deux derniers quatrains : « Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie / De les

de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de « Les Animaux malade de la peste ». C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7. I - Une fable habilement menée 1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques - Récit -« Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entraîne des châtiments avec la nécessité d’une victime

2 « sire », l’apostrophe à la mère au vers 3 « ma mère ». On note un jeu très fort sur les contrastes, après le sourire évoqué au vers 1 et la danse évoquée au vers 2, danse évoquée avec une allitération en « se », en sifflante (« Sire », « danserais » et « Séraphins »), qui crée la sensualité de cette danse. On passe donc du sourire et de la danse à la tristesse du vers 3, en antithèse. Ce jeu de contraste se retrouve complété au vers 4 par un autre effet, un 4ème effet de surprise, un jeu sur les

représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7.Analyse : I - Une fable habilement menée            1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques   Récit   « Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entraîne des châtiments avec

...........................2 Exemples ............................................................................3 Mise en marche et arrêt de la calculatrice TI-30XS MultiView ..............................................................3 Contraste d'affichage ..........................................................3 Accueil ................................................................................4 Fonctions secondaires ........................................................5 Modes

des parties claires avec des parties très sombres. Cela créée des contrastes très violents. Très utilisé par Le Caravage. (4) David tenant la tête de Goliath, Le Caravage, 1605 La Nativité, Georges de La Tour, XVIIème siècle Ses caractéristiques : • • • • • C’est un art théâtral : qui veut charmer, surprendre, impressionner et émouvoir. C’est un art du mouvement : il aime les lignes courbes, les jeux de contraste de lumières (ombre et lumière), les jeux de couleurs, souvent vives

sensualité animale et brutale définie par les mots « force », « cou de taureau », « rude chevelure », « beauté sanguine », « chair épaisse et ferme »…. Après avoir étudié les jeux de regards, nous nous intéresserons au portrait naturaliste et contrasté des personnages. Notons d’emblée l’ambiguïté physique et sexuelle de Camille, le mari de Thérèse. Cette ambiguïté est traduite par l’affirmation : Thérèse « …n’avait jamais vu un homme » l.3 et renforcée par le prénom mixte de

pages 43-52 le 30 avril—Discussion de Ch 2 —chapitre 3 pages 53-59 le 1ère mai—chapitre 3 pages 60-69 le 3 mai—chapitre 3 pages 70-75 le 4 mai—Discussion de Ch 3 —chapitre 4 pages 77-87 le 7 mai—chapitre 4 pages 87-93 le 8 mai—chapitre 4 pages 93-102 le 9 mai—Discussion de Ch 4 — chapitre 5 pages 103-109 le 10 mai—chapitre 5 pages 110-120 le 14 mai—chapitre 5 pages 120-Fin le 15 et 16 mai—Discussion