Les Assassins de la mémoire

BIOGRAPHIE D’Amilcar CABRAL Né en Guinée Bissau, devenu ingénieur agronome au Portugal, Amilcar Cabral fonda le PAIGC (Parti Africain pour l'Indépendance de la Guinée et du Cap Vert), le parti de libération de la Guinée, avant d'être assassiné en Guinée Conakry en 1973. Amilcar Cabral est né le 12 septembre 1924 à Batafa, en Guinée Bissau, qui est alors une colonie portugaise. Il est le fils de Juvénal Cabral (originaire du Cap-Vert), enseignant dans une école élémentaire. Sa mère, Iva Pinhel

 chaque groupe revendique  sa propre mémoire.    ­> Fin de la guerre en 62 mais on n’en parle qu’en 1984 dans les lycées avec la mémoire  officielle.    Mémoire officielle = ne tient pas compte des autres mémoires et des tortures. Sorte de  propagande, en opposition avec les mémoires plurielles.    Face à ça, quel est le travail de l’historien ?    Chercher la vérité en s’appuyant sur plusieurs documents, donc analyser la mémoire officielle  puis les mémoires plurielles. Ce qui peut être complexe car les documents sont gardés privés 

déchiré entre deux grandes sphères, l’une étant l’honneur de son père assassiné et l’autre étant l’amour qu’il a, à l’égard de Chimène. a)    à    2. Don Rodrigue ne sait que faire entre la vengeance ou l’ignorance. << Faut-il laisser un affront impuni? Faut-il punir le père de Chimène ? >> (v.22-23). Le héros sait que peu importe le choix qu’il fera, il n’en sortira pas gagnant. S’il laisse un affront impuni, c’est la mémoire de son père qui sera déshonoré et si au contraire il se venge en punissant

un des hôtes de ce lieu secret et abject de détention. La prison, une architecture destinée par essence à assassiner toute capacité de création Abdallah Zrika, poète et victime de ces années noires, voyait dans ce besoin d’écrire des vers une échappatoire au carcan : «La prison, dans son essence même, est une architecture pour étouffer la voix, tuer la volonté du prisonnier et assassiner en lui toute capacité de création». Ainsi s’exprimait-il, en 1982, dans les colonnes de la défunte revue Al

Brodeck : résumé Brodeck est le narrateur de l’ouvrage. Il commence par expliquer qu’on lui a demandé d’écrire un rapport à propos d’un incident avec l’Anderer. L’Anderer, c’est un voyageur arrivé depuis longtemps au village de Brodeck, qui a été assassiné par tous les hommes influents de la bourgade. Le narrateur étant instruit, c’est à lui qu’on demande de rédiger un compte-rendu de la situation, en essayant de disculper les habitants. Ce faisant, il raconte également des détails de sa propre vie

Travail Religion : Les Droits De L’Homme Dimanche dernier c’est déroulé, sur la Place Rouge de Moscou, un gigantesque rassemblement. Ce dernier a réuni plus de 70 000 (d’après les organisateurs de l’événement) en mémoire de Boris Nemtsov. Celui-ci a été assassiné par balle à quelques dizaines de mètres du Kremlin dans la nuit de vendredi à samedi dernier. Le coupable de ce crime reste encore introuvable mais tout laisse à croire que ce le gouvernement russe est derrière tout cela. Et cela ne

recevraient ainsi la promesse de l'impunité, la garantie qu'ils seront enfouis à jamais. Les assassins remporteraient la guerre de la mémoire. Préserver la mémoire... Mais l'histoire ne se confond pas avec la mémoire. La mémoire nourrit l'histoire, et parfois la déforme. Les historiens, eux, tâchent d'établir les faits, de faire comprendre les motivations, de proposer des interprétations. Ils encadrent la mémoire et lui donnent un sens. Naturellement, ils fuient l'émotion dans la mesure du possible

Gemayel est élu. Un culte de la personnalité va s’installé. Cette vénération va conduire aux massacres de Sabra et Chatilla lorsque le 14 septembre 1982 Bachir Gemayel est assassiné. Des phalangistes en colère veulent « nettoyer» Beyrouth (« juste les soldats »). Alors qu’en réalité ce sont des civile, en masse, qui ont été assassinés. Les Phalangiste aident les Israéliens en envoyant pour eux des fusées éclairantes. Dans tout cela une question se pose : « Qui est responsable ? » * La manifestation

Pierre = son parapluie : possession l’assassinat de Pierre = son assassinat : rôle sémantique S ou COD (il a assassiné quelqu’un OU on l’a assassiné). Dans ce dernier cas, lorsque le nom déterminé exprime un procès, qui est aussi exprimé par un verbe, le déterminant possessif peut renvoyer à l’agent de ce procès (Pierre a assassiné quelqu’un) ou à l’objet de ce procès (quelqu’un a assassiné Pierre) : c’est l’une des ambiguïtés possibles du possessif. c) Ambiguïtés : 1.Marie a fêté avec Louis

Francis Dupond Journaliste Curieux, Fouille-merde, perspicace  Une enfance oublié   La vie de Francis commença réellement en 1950, à l’âge de 20 ans. Ce qui se passa avant fut effacé de sa mémoire. Il se réveilla le 12 décembre 1950 dans un lit d’hôpital. Il était maigre et fatigué, et ne savait plus qui il était.  Une jeune infirmière lui annonça alors que cela faisait 5 ans qu’il était dans cet hôpital, dans un coma profond. Il avait été retrouvé dans un camp, au milieu de cadavre. Personne