Les Avantages De La Multinationalisation

Industrielle). 16 Sur ce sujet, voir notamment Garrette et Dussauge (1995, chapitre 6). 1.2. Typologies et enjeux des alliances Même quand on adopte une définition restrictive, le phénomène des alliances reste d’une grande variété, qui reflète des avantages, inconvénients, limites, risques, logiques et motivations diverses. Pour en rendre compte, de multiples typologies ont été proposées. Elles concernent les deux composantes constitutives d’une alliance : les partenaires et leur accord (Figure 1.2)

sont amenées à opérer non seulement sur leur marché local, mais également au-delà de leurs frontières nationales. Cette vision a été pendant longtemps qualifiée d’internationalisation par les observateurs et les firmes elles-mêmes, puis de multinationalisation des marchés et des activités voire même de mondialisation. Cette dernière appellation tend de plus en plus à s’éclipser au profit du terme « globalisation ». La globalisation se présente comme une forme particulière de la mondialisation et

Avant propos Introduction 1. L’échange international et les avantages comparatifs Le principe des avantages comparatifs A. Coûts en travail et spécialisations B. Le prix de l’échange dans le modèle des avantages comparatifs II. Salaires, productivités et spécialisations A. Le cas de deux pays et de deux biens B. Le cas de deux pays et d’un nombre quelconque de biens C. Les tests empiriques III. Structures des spécialisations et avantages comparatifs IV. Les risques des spécialisations A. La nécessaire

(technicité) o High-touch : produit fondé sur un trait culturel d’une nation et qui sera apprécié dans le monde o High-teach : produit à apprentissage rapide, diffusé rapidement par marketing virale (jeux vidéos) - Avantage technologique : coûteux pour l’entreprise à mettre en place RD[1]/CA= % d’investissement fourni par l’entreprise Si le pourcentage d’investissement est supérieur à 3%, l’entreprise est dans une logique de globalisation. - Information exclusive

fournissant aux familles de ses ouvriers tous les services de base que l’État n’était pas en mesure d’assurer à ses citoyens (hôpitaux, écoles, bourses d’étude, etc.), appliqua la journée de 8 heures dans ses usines dès 1912, et instaura d’autres avantages sociaux qui furent repris plus tard dans le droit du travail indien. »1 Mais ce n’est pas tout, « Tata contrôle également plusieurs fondations caritatives financées par une partie de ses bénéfices, car Jamsetji Tata pensait que le premier objectif

on assiste à un mercantilisme éclairé dans un contexte de LE. II) Les théories du commerce international 2.1. Les théories libérales traditionnelles 2.1.1. L’approche classique dite « technologique » - Smith et les avantages absolus : D’après Smith, les hommes seraient naturellement poussés à échanger. Une mise en place d’une division du travail et d’une spécialisation entraînent un accroissement des richesses, stimulants l’échange et donc la division du travail elle-même

ce ne sera pas toujours le même groupe suivant l’évolution du marché politique, il y aura aussi des groupes de pression CSQ il n’y a pas d’intérêt collectif, d’intérêt national parce que à chaque qu’on prend une décision cela se traduit par des avantages privés sélectifs. Cela engendre une concentration des bénéfices, qui est différente de celui des coûts de la décision. b) La nation masse comme lieu d’immobilité Par rapport à la nation firme les analyses aboutissent à 2 suppositions de

multinationale est une société qui produit des effets économiques dans plusieurs pays. C'est-à-dire que les actionnaires ne viennent pas du même pays ou elle implante ses sièges dans deux ou plusieurs pays. Selon Charles-Albert Michacal, la multinationalisation d'une entreprise répond à cinq déterminants principaux[2] : • La recherche d'un accès direct aux matières premières, notamment durant la colonisation. • Le besoin de contourner certaines entraves à l'échange. Il s'agit par exemple

cette idée, en invoquant notamment les « économies d’échelle internationales » (Ethier, 1979). Un pays désavantagé dans toutes les activités peut exporter Ricardo a résolu la difficulté laissée en suspens par Smith, relative à la nécessité d’un avantage absolu de chaque pays pour au moins un bien. En montrant que même la participation d’un pays désavantagé dans tous les biens est à l’origine d’un gain net, ses Principes (1817) constituent le premier ouvrage scientifique d’économie internationale

logique de l’internationalisation s’applique sur le principe de la spécialisation internationale des économies nationales. Il existe une division internationale du travail dans laquelle chaque nation se spécialisera dans les produits ou elle possède un avantage comparatif. Ce sont les différences de productivité qui vont déterminer la spécialisation des nations. Cette spécialisation permet d’accroitre le bien être mondial. Pour que la logique de la spé fonctionne  il faut 2 conditions : (1) il faut que