Les Bandits

mariage avec le comte et pour sauver son histoire d’amour avec Roméo. Comme elle le dit a Frère Laurent dans Roméo et Juliette : « Oh ! Plutôt que d’épouser Parîs, dis-moi de m’élancer des créneaux de cette tour là-bas, ou d’errer sur le chemin des bandits […] » ( ligne 77 page 95 ) et : « Et si c’était un poison que le moine m’eût subtilement administré pour me faire mourir » ( ligne : 175-176 page : 99 )  Mais, il y a aussi le risque que Juliette se réveiller trop tôt. Si Roméo n’est

« complices du meutrier », « traîtres de vous-mêmes ». Certes, le tyran est montré tel un criminel ; La Boétie emploie le champ lexical du larcin : « piller », « enlever », « dévaster », « dépouiller », c'est un « larron qui vous pille », un vulgaire bandit, qui n'est pas digne d'estime ou d'admiration. Mais, il n'est pas le seul coupable : le peuple, son complice, partage sa culpabilité. Enfin, après avoir placé le peuple sur le banc des accusés, l'auteur lui lance une dernière

tomberont dans les sous-sols du Pince-Porc et de la Chambre-à-Sous, où on les décervèlera1. Il traite des nobles, des gens de fortune et de pouvoir qui pourraient s’opposer à lui et à ses décisions, comme on ne le ferait même pas pour des bandits. Sans aucun procès, Ubu a prononcé une sentence de mort envers les gens susceptibles de lui compliquer la vie. Et non seulement il les envoie à la mort mais il les torture auparavant pour bien asseoir son pouvoir et dissuader toute révolte. // De

II Le bandit Le lendemain, à minuit. Don Carlos se rend sous la fenêtre de doña Sol. Il souhaite enlever la jeune fille avant Hernani, dont il connaît maintenant l’identité. Trompée par l’obscurité, doña Sol le rejoint. C’est alors que surgit Hernani. Il propose un duel au roi, qui refuse avec beaucoup de mépris. Cette fois c’est Hernani qui a l’avantage. Grand seigneur, il laisse la vie sauve au roi et lui donne son manteau pour qu’il puisse traverser sans dommage, sa troupe de bandits. Restés

fusillé » où Jacques Prévert exprime l’attente longue et douloureuse de la mort par un soldat agonisant. Nous pourrions faire également escale dans «  Le bal des pendus » où Arthur Rimbaud tente de sauver, par des paroles gorgées d’ironie, un poète et un bandit condamnés à la pendaison. Nous voici donc chers lecteurs dans l’univers de la guerre. Depuis des siècles, la poésie a permis de raconter et de dénoncer toutes les atrocités faites durant ces périodes de chaos et d’étiolement. Apollinaire utilise des

 Complète le résumé du chapitre. Après l’enlèvement, Julio est …………………… dans une maison forestière. Julio écoute la discussion mouvementée des deux ravisseurs et d’un troisième homme avec une balafre, le …………… . Celui-ci se fâche avec les deux bandits qui boivent beaucoup d’…………………….. et les quitte. Peu après, Julio réussit à ……………….. sous la pluie et dans le noir. Sur la route, il retrouve son ………., Samuel, M. Argentino et l’homme à la balafre qui venaient le délivrer. 10  Réponds aux questions

ajoutera : « Guerres, conflits : des affaires. Un meurtre, on est un bandit ; des millions, un héros. Le nombre est sanctifié. » On peut faire ici une analogie entre les deux films. Dans Le bon, la brute et le truand, lorsque Tuco retrouve son frère, c’est sensiblement le même discours qu’il tiendra. Lui aussi a dû emprunter les chemins du crime pour faire vivre sa famille alors qu’il n’avait que 12 ans devenant ainsi un bandit, recherché mort ou vif. Et Leone renvoie la même question : qu’en est-il

avec mon mar...votre corrupteur ! AGNÈS : Il ne m’a point fait d’autre chose que de me baiser les mains et les bras. CÉLIMÈNE s’affalant dans sa chaise en poussant un soupir de soulagement, Et ne faites rien de plus ma protégée, je connais ce bandit, et ce n’est pas un honnête homme. Son aspect séduisant, et ses paroles aimables ne sont que le fruit de son hypocrisie. À part, Je m’occuperai personnellement de ce gredin. AGNÈS : Mais il ne me narrait pourtant que de belles paroles qui me

comiques sont : -Nous chantions a pleine gueules (l 30) -vous voulez vivre sans doutes. (l 94) -mais Sorieul l'agennouilla de force et lui verse sur le crane un verres de rome 7) les groupes nominaux sont les suivants : -une sorte de vieux bandit a cheveux blancs sordides déguenillé (l 78) -ce misérable (l 82) -le criminel (l 92 ) -le vieux gredins (l 99) -le prisonnier ( l 118) -mon pauvre vieux (l 127) le changement d'attitude a son égard est le suivant : -au départ , le voleur

peutêtre venu aux mains avant la pièce, tant l’animosité était grande de part et d’autre […]. » Dès le début de la pièce, c’est le tumulte général ; certains sifflent, d’autres applaudissent… » La pièce a fait scandale à cause du sujet (un héros-bandit) ; la manière d’écrire d’Hugo (rejets ; un vers avec un rythme 4/4/4 v. 142), l’ absences des unités. Des personnages caractéristiques du romantisme. Hernani. Grandeur d’âme : dissuader Dona Sol par ses longues tirades / par l’opposition avec