Les Bourgeois Daumier

Julia, par désespoir, absorbe du poison. La pitié et le remords rappellent à son chevet son ancien fiancé. Il s'est arraché à Jeannette pour un jour ou deux seulement. Mais, restée seule, Jeannette se ressaisit, comprenant que pour elle le bonheur bourgeois vient trop tard. Pour être bien certaine, au moins, de ne pas risquer de céder aux impulsions et aux complaisances de son cœur, elle s'empresse de créer l'irrémédiable en épousant son ancien amant qu'elle n'aime pas et avec qui rien ne tire à conséquence

Julia, par désespoir, absorbe du poison. La pitié et le remords rappellent à son chevet son ancien fiancé. Il s'est arraché à Jeannette pour un jour ou deux seulement. Mais, restée seule, Jeannette se ressaisit, comprenant que pour elle le bonheur bourgeois vient trop tard. Pour être bien certaine, au moins, de ne pas risquer de céder aux impulsions et aux complaisances de son cœur, elle s'empresse de créer l'irrémédiable en épousant son ancien amant qu'elle n'aime pas et avec qui rien ne tire à conséquence

l’autre sans un sentiment de décalage radical. Les habitants du bourg, les bourgeois, sont supposés supérieurs par nature à ceux de la campagne : si elle n’atteste pas la rigidité d’une société récemment marquée par l’apparition d’une nouvelle classe populaire issue de la paysannerie (la bourgeoisie), l’équivalence entre « origines » et « nature », clairement établie dans la morale, semble témoigner de la volonté des bourgeois de la voir désormais se figer dans un paradoxal immobilisme. Le renvoi

se développe un art du portrait plus soucieux de vérité, plus attentif à l’aspect réel de la personne. Se faire représenter dans un portrait peint par un artiste était alors un luxe que seuls pouvaient se permettre des aristocrates ou de grands bourgeois. Généralement, le commanditaire (celui qui passait commande du portrait.) attendait du peintre une parfaite représentation de son statut social, bien plus que la ressemblance physique. Le portrait était un document irréfutable révélant, le rang,

conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (étudiant en médecine), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen. Jean-Joachim Goriot[modifier | modifier le code] Article détaillé : Jean-Joachim Goriot. Le père Goriot par Daumier (1842). Ancien vermicellier, le père Goriot a fait fortune durant la révolution. Il éprouve un amour sans limite envers ses deux filles. Celles-ci en profitent et lui demandent de l'argent sans répit : « riche de plus de soixante mille livres de rentes

ce sont des journaux d’annonces et de publicités que l’on retrouve dans toutes les villes de France. Le tirage de ces affiches est faible car leur lectorat est faible (quelques centaines d’exemplaires), limité à la région  et plutôt destinés aux bourgeois I. La presse d’information politique A. Les gazettes Les gazettes en français sont toujours très lues en France et en Europe, et connaissent une grande vitalité dans leurs production. Petit à petit, elles évoluent et on voit apparaitre des opinions

Lors des élections de septembre 1889, les député Boulangiste vont avoir 44 siéges, monarchistes 176 et plus de 300 pour les Républicains. Les boulangistes sont soutenus par les ouvriers (déçu par les radicaux), les quartiers populaires et non bourgeois. François Goguel : A Paris : succès dans des tranches de population hétérogène, déçu par la République, en province, les soutiens vont être différents, Boulanger est soutenu par les bonapartistes. Il y a une redéfinition des valeurs républicaine

à devenir un roi puissant qui détient tous les pouvoirs. Il est absolu ( LouisXIV « l’Etat c’est moi ») Fin XVIIIe siècle, les valeurs de la société évoluent, et l'économie (production économique, producteurs) prend de l'importance. Donc les bourgeois, commerçants qui créent la richesse réclament un pouvoir politique. L'individualisme se développe. Rôle de l’Etat ( du roi ) est d’assurer le bonheur individuel et de protéger l'individu. D'où vers 1750-60 la contestation intellectuelle du système

particulièrement peu perspicaces et qui, en fait, aident les meurtriers (la présence d’Olivier sur les lieux du crime hâte le procès-verbal ; c’est Michaud qui parle le premier à Mme Raquin du mariage de Thérèse et Laurent). Ce sont des petits-bourgeois sans énergie pour qui la vie est forcément banale, la vie des autres et la leur. Le Chat François François, le chat, mérite une mention spéciale. C’est « un gros chat tigré ». Il apparaît d’abord « accroupi » sur le comptoir de la mercerie. Puis

rentrera en France qu’en 1817, et celui qui n’est encore à l’époque que le duc d’Orléans va mener une vie discrète, loin de la cour. Au palais Royal il affiche une certaine bonhomie dans le but de se rendre populaire. Il se comporte davantage comme un bourgeois que comme un aristocrate, avec quelques signes qui ne trompent pas : il envoie ses enfants au lycée Henri IV, signe distinctif de la bourgeoisie parisienne. Il fréquente essentiellement des banquiers, des négociants, et à partir de 1820, il ouvre